Le fait marquant au lendemain de cette Assemblée Générale est la décision sage du président sortant Boubacar Baba Diarra, à ne pas briguer un second mandat. A notre avis, il a fait preuve de sagesse et de sens élevé de responsabilité. Quand on sait que son mandat a été émaillé d’évènements malheureux qui ont entravé l’essor du football malien. Deux clubs ont été éliminés en ligue des clubs champions. Pour manque de compétition, les deux autres ont payé cash la sentence de la CAF. Des situations qu’on pouvait éviter. Aujourd’hui le président de la Fémafoot met l’intérêt du pays au-dessus de ses convictions. Parce qu’en réalité son bilan en termes de résultats plaide en sa faveur et il a réussi là où ses prédécesseurs ont échoué.
Eu égard à tout ce qui s’est passé, sa candidature pour les prochaines élections ouvrirait un autre débat qui risque d’empoisonner encore le milieu footballistique avant le jour même de l’élection. Et l’on assistera une fois de plus à une guerre fratricide entre les acteurs du football. Or une solidarité à leur niveau est gage de réussite.
Cependant, une autre candidature est déclarée, celle de Mamoutou Touré dit Bavieux, premier vice-président du bureau sortant. Il occupe le même poste à l’As Réal de Bamako. C’est un homme du sérail pour avoir vécu dans le milieu du football depuis des décennies.
Sa candidature est celle de la continuité et l’optimisme qui l’entoure se situe à un seul niveau: son intention de réunir, de réconcilier les acteurs du football malien, toutes tendances confondues. Parce que, selon lui, notre football a trop souffert de considérations inutiles, de guerres stériles, qui n’emmèneront nulle part la discipline, si l’on ne prend pas garde. C’est pourquoi, il a commencé déjà à poser les jalons de sa démarche. Son vaste programme et sa politique de développement du football malien sont des argumentations solides, pour démontrer qu’il est l’homme de la situation. A.B.H
Ce n’est pas une affaire de griot ici. c’est une confrontation d’idées et d’objectivité.,nous voulons tous le bonheur du foot malien .alors évitons les prendre partie.
Ce monsieur Baba Diarra, je ne le connais pas, mais c’est un grand monsieur. S’il avait plusieurs comme lui au Mali le pays allait avancer.
Malgré les agitations du Président de la République IBK Contre Baba à tord, il est resté droit dans ces boîtes, il est resté digne.
Un grand respect pour toi mon général, digne fils du Mali.
Savoir partir est important!!!
Le gouvernement doit jouer un role d’observateur dans l’election du nouveau bureau.
Il ne faut pas vendre la peau de l ours avant de l avoir abattu.Ne vous mefiez pas aux apparences avant de dire que Bavieux est mieux que Baba Diarra.je ne supporte personnel c est mon Avis personnel c est tout
Faux! Il a. vu l’échec venir. Quand ses patents étaient insultés tous les jours il est accroché. Est cela la dignité ?
Il y a la lâcheté et la dignité.
La lâcheté c’est abandonné la partie quand tu es attaqué.
Certains opportunistes ont voulu le pousser à la sortie pour jouir des finances de la fédération,il l’ a compris et défendu,en bon soldat,les intérêts de la fédération contre les prédateurs.
Ils ont échoué en levant les sanctions inopportunes .
Dans l’intérêt du football,il a accepté les termes de la médiation.
L’ exécution étant en marche,il peut s’en aller dignement.
Après le neveu qui a quitté,de lui-même,le gouvernement,le général aussi quitte son poste librement.
La dignité réside dans cette famille.
Un phénomène très rare dans ce pays.
La quête aveugle de l’ argent facile a perverti nombre de maliens préférant sacrifier leur dignité.
N’est ce pas ce qui anime le ministre des sports actuel?
Ça ne regarde que toi et personne ne te suis parce-que ils savent tous que tu es un griot
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