Obnubilé par le matériel et l’argent facile, le 1er Ballon d’or africain Salif Kéita qui n’aime que s’abriter derrière ce titre pour commettre ses basses besognes a fini par tout mettre en œuvre pour demander à la justice malienne d’expulser Sékouba Kéita de son sobriquet Diogo du Complexe sportif LCBA, situé en zone ACI. Mais en vain. Et pour cause : il n’a jamais eu le droit et la vérité de son côté.
Toutes choses qui font que Salif est mal fondé à réclamer la paternité ou la propriété d’un terrain d’entraînement qui a poussé à la place d’un espace herbacé du fait de Sékouba Kéita en sa qualité à l’époque de président délégué pendant que lui Salif, naguère président du CSK, s’occupait de la présidence de la Fémafoot.
C’est de là qu’est née la contestation. Aveuglé par la jalousie, Salif a assigné Diogo en justice pour détournement de fonds…. Mais, jusqu’à ce jour, il n’a pu apporter la moindre preuve de cette accusation. Outrecuidant, il va jusqu’à demander l’expulsion manu-militari de Sékouba du terrain d’entraînement devenu aujourd’hui le Complexe sportif LCBA.
Une demande que Salif ne verra qu’en rêve d’autant plus que l’espace en question comme c’est écrit noir sur blanc est une propriété de la mairie de la Commune IV et non de quelqu’un intuitu personae. D’ailleurs, le protocole d’entente dont se prévaut Salif Kéita, liant à l’époque la mairie de la Commune IV et au CSK, est expiré depuis 2013.
Puisque le ridicule ne tue pas, Salif dans ses manœuvres est parvenu à induire en erreur la justice de son pays en invoquant la dissolution de la société CSK au motif que le capital n’a pas été libéré. Pis, il attribue ces propos au notaire Alassane T. Sangaré qui réfute.
Mensonges
Ce dernier dans des enquêtes préliminaires affirme qu’il n’a jamais dit que le capital de la société CSK n’a été libéré. Il reconnaît tout de même qu’il était présent à l’assemblée générale qui a décidé de la dissolution du CSK mais que son rôle en tant que notaire s’est juste limité à expliquer les conditions de liquidation d’une société. Ni plus ni moins.
C’est le premier mensonge utilisé par Salif pour faire croire à la justice que la société étant liquidée, il demande l’expulsion de Sékouba Kéita. Alors qu’il n’est rien en ce que celui-ci en tant que détenteur de la majorité bloquée (40 % des actions) n’a jamais été consulté encore moins associé au processus. L’autre incongruité est qu’en aucun moment un liquidateur n’a été commis pour ce faire par la société. Comme cela se doit dans des conditions normales.
Le second mensonge, monté de toutes pièces par Salif Kéita pour prétendre à l’expulsion de Sékouba Kéita son ex-sociétaire, c’est qu’il a fait croire au tribunal qu’il est lié à la mairie de la Commune IV par un protocole d’entente qui court jusqu’en 2018. Une information qui s’est révélée fausse, car c’est l’autorité municipale elle-même qui s’est inscrite en faux contre cette allégation dans les colonnes du journal qui avait distillé la nouvelle.
Malgré les nombreuses correspondances de la mairie de la Commune IV, dont la dernière date de février 2015, l’invitant à se présenter afin de prendre connaissance de la nouvelle situation, Domingo ne s’est jamais présenté. Son refus de s’y rendre cache bien de choses.
Mais le mensonge a beau courir, la vérité finira toujours par triompher nous enseigne l’adage. Les subterfuges de Salif Kéita étaient ignorés du grand public et il avait induit en erreur les juges en charge du dossier. Mais étant donné que ces mensonges grotesques sont déballés, ce sont des éléments nouveaux qui sont versés au dossier et la lanterne de l’opinion et des hommes chargés de dire le droit est plus qu’éclairée.
E les arguments antérieurs ne sauront plus prospérer. Il est constant que Salif Kéita a toujours fait de son titre “le 1er Ballon d’or africain” un passe-droit pour arriver à ses fins mais l’on ne savait pas qu’il était aussi mal inspiré jusqu’à nier l’évidence.
Mohamed Daou
On connait tous ces deux Messieurs :
Salif , lui , il ne veut que de l’argent. Il s’en fiche de la
Jeunesse ni de la commune IV.
Quant a Sekouba , il a mit sa fortune pour le developpement sportif de la jeunesse en commune IV
Aussi bien qu’ailleurs.
La mairie sait bien qu’en donnant ce centre a Domingo
Il va le vendre apres avoir signe faillitte financiere.
Avec tout mon respect a Salif , il m’inspire pas confiance
Vu ses autres actes. Bonne chance Dr. Sekouba Keita
Tu as.a faire avec un “caiman” .
De quoi tu te mêles le faux journaliste. Ce Sekouba dont tu pretends defendre, ne peut pas posseder un centre de formation digne de ce nom. Il doit avoir honte car tous les maliens savent que Salif est le propriétaire de CSK et personne d’autre ne peut pretendre lui usurper ce centre à moins que tu sois un inconcient comme ce Sekouba que tu defends.
Toi le journaliste, tu ferais mieux d’aller d’exercer d’autre metier pour avoir ton pain que de te mettre à dire des imbecilités qui ne te profiteront pas.
Mr le journaliste Daou toi tu vis sur quelle planète, c’est la Cour suprême qui tranché ce problème donc il est impossible de revenir sur ce problème.
Mohamed Daou,
Arrêter de dire des conneries. Dans un pays sérieux, ou la justice est fore et non corrompu, Sekouba Keita n’utilisera ce terrain pendant 1 minute. je dis bien 1 minute. Ce monsieur est un inconscient et insouciant, car Salif lui délègue le pouvoir de gérer le CSK et il profite de l’occasion pour devenir le propriétaire et posséder le droit sur tout (matériel-terrain…etc)
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