Contrairement à l’information selon laquelle l’affaire qui oppose l’icône du football africain du ballon rond Salif Keita et Sekouba Keita le gérant de la Pharmacie Tenemakan, président délégué, rentrait dans sa phase active le 18 août 2010, c’est- à-dire mercredi dernier, il n’en était rien. Nous nous étions personnellement transportés au Tribunal de la C. IV ce jour là, où une dévouée source interne éclaira notre lanterne.
L’affaire, à en croire la source en question, serait toujours en instruction. Mais selon une source indépendante très proche du dossier, ce gros retard pourrait s’expliquer par les interventions de coulisses qui se dérouleraient présentement. Des proches des responsables du Centre, toujours selon notre source, négocieraient une autre issue à l’affaire auprès de Salif Keita.
Mécontent par le fait que votre hebdomadaire suit le dossier de près afin d’éclairer la lanterne de millions de fans du foot en général et de la gravité de l’affaire opposant Salif à ses anciens partenaires en particulier, puisque le ballon d’or en attendant une bonne suite judiciaire, conserve toujours sa position de recul par rapport au club, le patron intérimaire du Centre, Sekouba Keita appela notre rédaction dimanche dernier, aux environs de… 22 heures pour nous informer de son souhait de rompre le contrat d’abonnement qui le liait à La Nouvelle Patrie. Comme si un abonnement donnait tous les droits à un abonné, fut – il tout puissant président délégué du Centre. Notre réponse a été à la hauteur de la requête. Nous renonçons aux abonnements ! Mais jamais à la collecte, au traitement et à la diffusion de toutes informations susceptibles d’intéresser nos lecteurs, cela en toute objectivité. Ce qui d’ailleurs reste la raison même de notre existence.
La Rédaction
