La nouvelle est tombée comme un coup de massue, en fin de semaine . Il s’agit du limogeage de l’entraîneur du Djoliba AC, Fagnéry Diarra. Cela était attendu, depuis les contre-performances qui ne cessent de s’accumuler, ces derniers temps, et surtout, devant l’intransigeance du coach à maintenir certains joueurs du club.
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Depuis les deux défaites face au Stade malien et l’ASB, une dernière chance lui avait été donnée pour se racheter face au COB, lors de la 1/2 finale de la coupe INPS, le 28 novembre.
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Malheureusement, le Djoliba a été battu encore. Aussi, la colère couvait un peu partout. Après avoir mis en cause l’entraîneur et les joueurs, on savait que la première victime visée était l’entraîneur.
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Malgré les démentis de certains responsables et supporteurs, sur l’éventuel départ de Fagnéry Diarra, on était persuadé que le mécontentement, voire la crise, qui se dessinait allait emporter le coach.
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Selon le communiqué officiel des responsables du club, la séparation d’avec Fagnéry est uniquement due au programme très chargé de ce dernier dans ses nouvelles fonctions.
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A noter qu’en plus de Fagnéry, Malick Faye, l’adjoint a été aussi remercié. Le nouvel entraîneur du Djoliba s’appelle Badara Alou Diallo, dit Conty, qui aura comme adjoint, Jonas Komlan.
rn Le premier grand test du nouveau coach sera la rencontre du 12 novembre prochain, face au Stade malien en super coupe.
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Le tournoi Cabral a démarré le 30 novembre dernier à Bissau. Le Mali, qui est présent à ce tournoi, est logé dans la poule B.
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Les Aigles ont livré leur premier match, face à la Gambie qui était en train de devenir notre bête noire au niveau des catégories Cadet, Junior et Espoir. Mais cela n’a pas suffi aux Gambiens.
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Ainsi, le Mali a réussi son entée en matière, en battant la Gambie par 2 à 0. Les buts maliens ont été marqués par Bakary Coulibaly et Souleymane Dembélé. A noter que les Aigles du Mali vont livrer leur deuxième match cet après-midi face à la Guinée Conakry, avant de boucler leur dernier match face au Cap Vert, le 5 décembre prochain.
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En tout cas, les Maliens renferment de grandes potentialités humaines pour se hisser au podium, et cela, pour la troisième fois de leur histoire, après les sacres de 1989 et 1997.
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Rassemblées par Sadou BOCOUM
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