Leader du groupe E, mais sous la menace du Japon et du Costa Rica, la Roja affrontait les Nippons avec pour objectif de valider leur ticket pour les huitièmes de finale. Mais ce qui devait être une formalité a bien failli tourner au cauchemar pour les hommes de Luis Enrique. Battus par les Japonais (2-1), les Ibères accèdent quand même aux huitièmes de finale et sont reversés dans la moitié de tableau de la France.
Première du groupe E avec un point d’avance sur son adversaire du soir, l’Espagne restait très bien placée pour accéder aux huitièmes de finale. Toutefois, la Roja se devait d’éviter tout excès de confiance. Une défaite face aux Japonais couplée d’un exploit du Costa Rica ou d’une très large victoire allemande aurait anéanti les chances ibères. En face, les Nippons ont décidé de jouer crânement leur chance. Alors qu’on leur prédisait une rencontre à courir derrière les Espagnols, les partenaires de Takefusa Kubo sont venus presser les Espagnols dès l’entame de match.
Un pressing qui a parfois mis Sergio Busquets en mauvaise posture comme sur cette perte de balle qui a débouché sur une frappe dangereuse de Ito (8e). De belles intentions rapidement refroidies. Un peu bousculée, mais maitresse du cuir, la Roja a commencé sa séance de toro grandeur nature avant d’ouvrir le score sur un centre d’Azpilicueta magnifiquement repris de la tête par Morata (1-0, 12e). À partir de là, le match a basculé dans un monologue ibère. Les Japonais ont-ils eu peur d’une déconvenue à la sauce costaricaine ? Toujours est-il qu’ils n’ont presque plus attaqué de la première période.
L’Espagne a frôlé le désastre
Un scénario parfait pour des Espagnols passés en mode économie avec une défense libre de ses mouvements et des milieux faisant circuler le ballon sans encombre. Pas de quoi se procurer plusieurs occasions, hormis un centre-tir de Williams juste avant la pause (45e+1). Au retour des vestiaires, le sélectionneur nippon a tenté d’insuffler un vent nouveau à ses troupes avec les sorties en remplaçant Kubo et Nagatomo par Doan et Mitoma. Un coach payant. Trois minutes seulement après le coup d’envoi de la deuxième période, les Nippons ont recollé au score. Sur un mauvais dégagement de Simon repris à l’arraché par Doan, le nouvel entrant est venu mettre une mine dans le but espagnol (1-1, 48e). À force de la jouer trop facile, la Roja a logiquement été punie par un adversaire démotivé à la pause. Et puis le match a basculé dans la folie.
Sur un centre fuyant de Doan, l’autre entrant, Mitoma, s’est arraché pour remettre le cuir devant la cage espagnole pour la reprise victorieuse de Tanaka. Le ballon semblait sorti en six mètres, mais la VAR a finalement accordé le but (1-2, 54e). Incroyable, d’autant que dans le même temps, le Costa Rica égalisait face à l’Allemagne. Un but de plus des partenaires de Keylor Navas éliminait donc la Roja et les champions du monde 2014 ! Un scénario qui s’est produit à la 70e minute lorsque Vargas a mis les siens devant. Heureusement pour les Espagnols, Havertz égalisait dans la foulée, avant de doubler la mise à la 85e minute. Un énorme soulagement pour Luis Enrique et ses ouailles. S’en est suivi un siège du camp nippon, mais avec une possession stérile. Un jeu de passe façon handball sans mettre la balle dans la boîte. De quoi rendre encore plus surprenant le remplacement de Morata avant l’heure de jeu. Mais c’est finalement passé pour une Espagne trop sûre d’elle en première période et inoffensive en deuxième. Résultat : le Japon termine cette phase de poules à la repère place du groupe E et affrontera donc la Croatie. De son côté, la Roja défiera le Maroc, mais bascule dans moitié de tableau de la France qu’elle pourrait retrouver en demi-finale.
Source: https://www.footmercato.net/
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https://www.liberation.fr/societe/police-justice/mort-de-shaoyao-liu-tue-par-la-police-letat-francais-condamne-pour-faute-lourde-20231124_B2O3EAHASZAJHJSP6KDDLBDFA4/
Un voisin, témoin depuis le couloir, assure qu’il n’a jamais entendu les policiers crier «il me plante» avant le coup de feu.
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