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Coupe du Monde 2018: le Mexique fait chuter l’Allemagne !

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Guardado et Lozano ont brillé

Pour la première rencontre du groupe F entre l’Allemagne et le Mexique au Stade Loujniki de Moscou, le tenant du titre s’est fait surprendre par la furia aztèque (0-1). Emmené par un Hirving Lozano intenable dans son couloir gauche et un Chicharito Hernandez reconverti en attaquant altruiste, le Mexique a profité des espaces laissés par la défense allemande pour piquer en contre-attaque. Lozano avait donné un premier frisson dès la deuxième minute, mais Boateng était parvenu à tacler en catastrophe la frappe de l’ailier du PSV. On sentait tout de suite que les petits bonhommes verts allaient poser de sérieux problèmes à cette Allemagne. Deux minutes plus tard, Timo Werner disposait d’une cartouche dans la surface, mais son tir croisé du pied droit filait de peu à côté de la cage d’Ochoa. Alors que l’on voyait dans cette réaction un début de révolte, les Mexicains ne pliaient pas et, à force d’insister en contre, profitant des largesses défensives allemandes, finissaient par ouvrir le score.

Hirving Lozano, toujours lui, filait à toute vitesse, pénétrait dans la surface, crochetait Ozil et terminait d’une frappe croisée imparable pour Neuer (1-0, 35e). Une ouverture du score qui réveillait les Allemands, mais le sublime coup franc de Toni Kroos était dévié du bout du gant par Guillermo Ochoa sur sa transversale (38e). Dans le deuxième acte, l’Allemagne se réveillait mais la tentative de retourné de Kimmich filait juste au-dessus (64e) et la frappe de Draxler connaissait le même sort (68e). La Mannschaft infligeait une pression de tous les instants à ses adversaires lors du dernier quart d’heure, mais la bande à Rafa Marquez, entré en cours de jeu et qui dispute son 5e mondial (record co-détenu par 4 joueurs), tenait bon. El Tri avait même l’opportunité de plier la rencontre à plusieurs reprises, mais les contre-attaques mexicaines péchaient dans la finition. Malgré quelques frayeurs sur les dernières offensives allemandes, une tête de Mario Gomez et un missile de Julian Brandt, sortis du banc, le Mexique s’imposait et faisait sensation d’entrée.

Par footmercato.net 

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1 commentaire

  1. Ce n’est que du foot…

    Un peu comme ces médias comme RFi qui préfèrent nous parler de Léonard de Vinci ou plutôt Léonard du Vagin vu qu’ils sont à fond dessus… que de l’attaque qui a fait près de 100 morts ce jour!

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