Coupe du Monde 2018 : le Brésil et la Suisse valident leur ticket pour les huitièmes de finale

2
Le Brésil s'est débarrassé de la Serbie et s'offre un huitième de finale
Le Brésil s'est débarrassé de la Serbie et s'offre un huitième de finale

Dans le cadre de la dernière journée de ce groupe E, la Serbie et le Brésil croisaient le fer à l’Otkrytiye Arena. Les hommes de Tite s’imposent 2-0 et filent en huitième de finale. Malgré son résultat nul (2-2) la Suisse verra également les huitièmes de finale.

Pour cette dernière journée du groupe E, la Serbie et le Brésil jouaient leur avenir dans ce Mondial. Dans cette optique, le sélectionneur serbe Mladen Krstajic optait pour un 4-2-3-1 avec Mitrovic en pointe. Côté brésilien, Tite alignait son traditionnel 4-3-3 avec le trio Neymar-Gabriel Jesus-Willian en pointe. Dès les premiers instants du match, le Brésil tentait de prendre le contrôle du jeu. Mais les hommes de Tite connaissaient un premier coup dur avec la sortie prématurée sur blessure de Marcelo, remplacé par Filipe Luis (10e). Il fallait attendre la 24e minute pour entrevoir la première opportunité brésilienne.

Sur la gauche, Neymar combinait avec Gabriel Jesus. L’attaquant auriverde se heurtait à la défense serbe dans la surface mais le numéro dix brésilien qui avait bien suivi décochait une belle frappe déviée par Stojkovic. Le Brésil se procurait une nouvelle occasion suite à une belle ouverture en profondeur de Filipe Luis pour Gabriel Jesus. Le buteur de Manchester City qui crochetait bien un adversaire butait sur le retour de Milenkovic (29e). La Serbie se montrait enfin dangereuse peu après la demi-heure de jeu. Décalé sur la gauche, Tadic parvenait à centrer point de penalty pour Mitrovic dont le retourné passait au-dessus (34e). Mais les hommes de Tite ouvraient le score quelques minutes plus tard. Suite à une ouverture lumineuse de Coutinho, Paulinho prenait la profondeur et devançait la sortie de Stojkovic pour l’ouverture du score (1-0, 36e).

Thiago Silva libère le Brésil

Au retour des vestiaires, le rythme du match chutait. Sur une contre attaque, Philippe Coutinho lançait dans la profondeur Neymar qui voyait sa tentative repoussée en corner par Stojkovic (58e). La Serbie manquait de peu l’égalisation à l’heure de jeu. Sur un bon débordement de Rukavina, le latéral serbe centrait et obligeait Alisson à détourner du bout des gants sur Mitrovic dont la tête était sauvée par Thiago Silva (61e). Dans un temps fort, les hommes de Mladen Krstajic dans un temps fort jouaient crânement leur chance. A l’entrée de la surface, Milinkovic-Savic enroulait son ballon, mais sa frappe filait à côté (63e).

Deux minutes plus tard, Rukavina distillait un excellent centre pour la tête de Mitrovic bien captée sur sa ligne par Alisson (65e). Après avoir laissé passer l’orage, le Brésil doublait la mise sur un corner de Neymar repris victorieusement de la tête par Thiago Silva (2-0, 68e). Les joueurs brésiliens manquaient de prendre le large suite à un corner mal renvoyé, Filipe Luis décochait une belle volée repoussée difficilement par Stojkovic (71e). Le Brésil voulait asséner le coup de grâce mais la volée de Neymar suite à un centre de Willian passait au-dessus (83e). Grâce à ce succès, la sélection brésilienne terminait première du groupe E et affrontera le Mexique pour le compte des huitièmes de finale (lundi, 16 heures).

La Suisse lâche deux points

Invaincue depuis le début de la Coupe du monde, avec un match nul et une victoire à son actif, la Suisse avait son destin entre ses mains. Face au Costa Rica, la Nati devait simplement s’imposer pour passer en huitièmes de finale. En cas de match nul, il fallait attendre le résultat de l’autre rencontre. Pour tenter de décrocher la victoire, Vladimir Petkovic alignait toujours son 4-2-3-1 en apportant un seul changement avec la titularisation d’Embolo sur la gauche en lieu et place de Züber. En face, le Costa Rica se présentait en 5-4-1, Oscar Ramirez faisant largement tourner pour cette dernière sortie au Mondial.

Dès les premiers instants, les Suisses mettaient la pression sur les cages adverses. Après un bon travail, Shaqiri servait d’ailleurs parfaitement Gavranovic qui voyait sa frappe en première intention être repoussée (4e). Mais les Costaricains répondaient rapidement. Sommer sortait une magnifique parade sur une tête à bout portant de Borges, et se couchait ensuite sur une frappe lointaine de Gamboa (6e). Petit à petit, les joueurs d’Oscar Ramirez prenaient le dessus et Colindres tentait sa chance à son tour, en vain (8e). Le festival offensif continuait mais la barre transversale sauvait cette fois-ci les Suisses sur un boulet de canon du numéro 9 costaricain (10e). La réaction suisse intervenait plus tard mais la nouvelle frappe de Gavranovic fuyait le cadre (17e). Mais sur la pelouse du Spartak Stadium, les Costaricains était bien plus entreprenants. Sur une nouvelle frappe limpide d’Oviedo, Sommer était obligé de se coucher pour sauver les siens, encore une fois (19e). Si les Costaricains n’arrivaient pas à trouver la faille malgré de nombreuses occasions, les Suisses se montraient plus précis. Sur un centre de Lichtsteiner, Embolo s’imposait dans les airs pour trouver Dzemaïli qui terminait le travail d’une frappe puissante (1-0, 31e). Le numéro 16 de la Nati n’était d’ailleurs pas loin du doublé sur un tir repoussé (33e). Un léger avantage à la pause dont les Suisses se satisfaisaient au vu du scénario du premier acte.

En deuxième période, les intentions costaricaines semblaient inchangées puisque Cambell n’était pas loin de l’égalisation sur une reprise (48e). De son côté, Ricardo Rodriguez frôlait un but sublime sur une longue demi-volée (49e). Pas très en vue en première période, Navas s’illustrait finalement sur une tentative d’Embolo (53e). Le gardien du Real Madrid faisait plus que sauver les meubles puisque quelques instants plus tard, Watson égalisait de la tête sur un corner de Campbell (1-1, 56e). Malgré une bonne possession, les joueurs de Vladimir Petkovic tardaient à répondre. La réaction intervenait plus de vingt minutes plus tard avec c e poteau de Drmic sur un coup de tête (78e). Et comme souvent, les Costaricains répondaient derrière mais Borges trouvait encore et toujours Sommer (79e). Le montant costaricain ne faisait que retarder l’échéance puisque en fin de rencontre, Drmic ajustait Navas d’un superbe plat du pied sur un centre d’Embolo (2-1, 87e). Mais après un premier penalty annulé par la VAR pour un hors-jeu, le Costa Rica obtenait finalement un nouveau penalty pour une faute de Zakaria, marqué contre son camp par Sommer sur une frappe repoussée par la barrez de Ruiz (2-2, 90e+4). Un match nul finalement suffisant pour la Suisse, deuxième du groupe E derrière le Brésil, qui jouera son huitième de finale mardi (16h) contre la Suède.

Par footmercato.net – Publié le : 27/06/2018 – 21 h 56

Commentaires via Facebook :

2 COMMENTAIRES

  1. Erratum ;
    Pour les Personnes soucieuses des droits humains… Et qui ont le privilège de regarder la chaine de télévision d’information sportive Française, nommée la Chaine 21, version télé du journal ” L’EQUIPE “. Ce qui se passe dans ce média d’information est un scandale qui ne fait réagir grand monde. Car, les Auteurs étant des journalistes, on n’ose pas trop leur faire de reproche. Le pouvoir de la Presse sans doute… ? On l’appelle le quatrième Pouvoir… C’est pas usurpé. Les Responsables de lutte pour les Droits Humains devraient quand même intervenir et dénoncer le comportement des Journalistes et Commentateurs de cette chaine sportive, à savoir leurs critiques d’une méchanceté inouïe qui n’aide pas l’EQUIPE de FRANCE de foot…
    Ce qu’ils font est une Entreprise de démolition à l’égard de certains Jeunes Joueurs de l’Equipe de France de Football. Le tort de ces Jeunes est tout simplement d’avoir le profile qui ne convient pas à ces Messieurs-Dames. Des Journalistes et des Commentateurs qui viennent s’assoir tous les jours autour d’une table, pour critiquer en longueur de journée ces Jeunes dont la profession est de jouer au foot. C’est ce qu’ils savent faire et rien d’autre pour le moment en tout cas, à ma connaissance… Et leur enlever ça…, c’est les condamner à la misère. Ces commentateurs sont là à vouloir briser leur carrière pour rien. Leur commentaire n’a rien d’innocent. Il est motivé par un racisme non pas de couleur de peau, mais de confession qui ne dit pas son nom.
    Ce média d’information est habitué aux critiques . Ils ont eu une attitude critique injuste et injustifiée à l’égard du Sélectionneur de l’EQUIPE de FRANCE pendant la coupe du monde 1998. A tel point que c’est toute la direction de la rédaction du journal, qui a été virée à l’issue de la compétition de 1998, à cause de leurs critiques envers le Sélectionneur. A l’époque on a préféré parler de démission collective de la direction de la redaction du journal. Une démission collective…, c’est moins blessant que le terme renvoyés ou virés.
    Cette fois, ils sont plus prudents si j’ose dire. Car, comme ils n’osent pas critiquer le Sélectionneur, ils n’osent pas trop lui reprocher d’avoir sélectionner ces Jeunes…, ils se sont rabattus sur les jeunes eux-même de l’équipe de France. Qui j’espère, ne regardent pas leurs émissions d’entreprise de destruction, ça les démoraliserait.
    Ils ont peur du Sélectionneur actuel… Par ce que, il est différent de celui de 1998 qui encaissait les critiques sans réagir du tout. Or l’Actuel Sélectionneur, répond aux critiques avec pédagogie… Mais quand ça suffit pas il passe carrément par la voie judiciaire pour diffamation et autres chefs d’accusation. Donc ces Messieurs-Dames font gaffe.

  2. Pour les Personnes soucieuses des droits humains… Et qui ont le privillège de regarder la chaine de télévision d’information sportive Française, nommée la Chaine 21, version télé du journal ” L’EQUIPE “. Ce qui se passe dans ce média d’information est un scandale qui ne fait réagir grand monde. Car, les Auteurs étant des journalistes, on n’ose pas trop leur faire de reproche. Le pouvoir de la Presse sans doute… ? On l’appelle le quatrième Pouvoir… C’est pas usurpé. Les Responsables de lutte pour les Droits Humains devraient quand même intervenir et dénoncer le comportement des Journalistes et Commentateurs de cette chaine sportive, à savoir leurs critiques d’une méchanceté inouie qui n’aide pas l’EQUIPE de FRANCE de foot…
    Ce qu’ils font est une Entreprise de démolition à l’égard de certains Jeunes Joueurs de l’Equipe de France de Football. Le tort de ces Jeunes est tout simplement d’avoir le profile qui ne convient pas à ces Messieurs-Dames. Des Journalistes et des Commentateurs qui viennent s’assoir tous les jours autour d’une table, pour critiquer en longueur de journée ces Jeunes dont la profession est de jouer au foot. C’est ce qu’ils savent faire et rien d’autre pour le moment en tout cas, à ma connaissance… Et leur enlever ça…, c’est les condamner à la misère. Ces commentateurs sont là à vouloir briser leur carrière pour rien. Leur commentaire n’a rien d’innocent. Il est motivé par un racisme non pas de couleur de peau, mais de confession qui ne dit pas son nom.
    Ce média d’information est habitué aux critiques . Ils ont eu une attitude critique injuste et injustifiée à l’égard du Sélectionneur de l’EQUIPE de FRANCE pendant la coupe du monde 1998. A tel point que c’est toute la direction de la rédaction du journal, qui a été virée à l’issue de la compétition de 1998, à cause de leurs critiques envers le Sélectionneur. A l’époque on a préféré parler de démission collective de la direction du journal. Une démission collective…, c’est moins blaissant que le terme renvoyés ou virés.
    Cette fois, ils sont plus prudents si j’ose dire. Car, comme ils n’osent pas critiquer le Sélectionneur, ils n’osent pas trop lui reprocher d’avoir sélectionner ces Jeunes…, ils se sont rabatus sur les jeunes eux-même de l’équipe de France. Qui j’espère, ne regardent pas leurs émissions d’entrprise de destruction, ça les démoraliserait.
    Ils ont peur du Sélectionneur actuel… Par ce que, il est différend de celui de 1998 qui encaissait les critiques sans réagir du tout. Or l’Actuel Sélectionneur, répond aux critiques avec pédagogie… Mais quand ça suffit pas il passe carrément pas la voie judiciaire pour diffamation et autres chefs d’accusation. Donc ces Messieurs-Dames font gaffe.

Comments are closed.