En concédant un nul, dimanche dernier, face au maillon faible du groupe H, le Rwanda, les Aigles du Mali ont compromis leurs chances de qualification pour le prochain tour des éliminatoires de la coupe du monde. Cependant, tout reste encore possible, mais les nôtres doivent impérativement gagner lors des deux prochaines journées. Mais, le nul du Rwanda commande un certain nombre d’enseignements.
Avec deux victoires et un nul, plus deux matches retour à domicile, les Aigles du Mali avaient beaucoup plus de chances de se qualifier pour le prochain tour des éliminatoires de la coupe du monde. Et l’espoir d’une qualification historique pouvait commencer à germer. Mais, hélas les Maliens sont passés à côté du sujet, dimanche. Ils ont compromis leurs chances de qualification en concédant un match nul, face au Rwanda, le maillon faible du groupe (2 points sur 12 possibles). Et l’Algérie qui s’est imposé à Cotonou face au Bénin 3-1 conforte sa position de leader du groupe avec désormais 2 points d’avance sur le Mali. Du coup, les Fennecs prennent une option sérieuse pour la qualification.
Au-delà de ce match nul, deux constats sautent à l’œil.
D’abord, ce résultat démontre que notre équipe nationale, malgré la pléiade de grands joueurs a besoin d’un entraîneur de haut niveau pour gagner. Les différentes troisièmes places ne reflètent pas le niveau réel de notre football. Ces résultats, enregistrés lors des deux dernières CAN, nous ont trop passés par la tête. Et nous pensions même être au firmament du football africain. Mais, ce match nul contre le Rwanda, nous remet les pieds sur terre. Sans revoir nos ambitions à la baisse, il convient désormais de ne sous estimer aucun adversaire.
Le dimanche dernier, l’équipe a manqué cruellement d’efficacité et a beaucoup souffert de l’absence d’un vrai dépositaire. Seydoublen Kéïta qui aurait dû jouer ce rôle ne s’est pas décarcassé aux moments cruciaux. Ajouté à cela la carence d’un encadrement technique qui a multiplié les erreurs techniques.
Ensuite, ce match nul met en évidence l’incapacité de l’entraîneur Amadou Pathé Vieux Diallo. Il est évident que la carence de l’éternel « adjoint » ne fait l’objet d’aucune ambiguïté, et pour la rencontre du dimanche prochain, il sera nécessaire de former un collège d’entraîneurs, ou, à défaut, lui faire assister par un coach qui a plus d’expérience et plus de carrure. Et à juste titre, parce qu’en aucun moment, Vieux Diallo n’a pas pu s’imposer. Parallèlement à son poste d’adjoint, à deux reprises, on lui a confié une équipe nationale locale, il n’a pas dépassé le premier tour.
Dans ces éliminatoires de la coupe du monde 2014, son bilan n’est pas reluisant : une victoire, un match nul et une défaite. La seule rencontre qu’il n’a pas dirigée s’est soldée par une victoire à l’extérieur, contre le Rwanda (2-1). Ce qui dénote de la nette différence de niveau entre l’éternel doublon et l’entraîneur principal démissionnaire. Par cette défaite, Amadou Pathé Vieux Diallo prouve qu’il n’a pas encore acquis les galons d’un entraîneur principal. L’homme doit encore apprendre.
Pour les deux prochaines journées, les données sont claires dans notre groupe. Excepté le Rwanda, l’Algérie (9 points), le Mali (7 points) et le Bénin (4 points) peuvent tous prétendre à la qualification. Certes les résultats seront liés, mais chacun aura également son sort entre ses mains.
Pour le cas des Aigles, il faut impérativement gagner les deux matches pour accéder au prochain tour. A défaut, un deuxième scénario alternatif est possible : battre le Bénin à Bamako, espérer sur une défaite de l’Algérie à Kigali et aller négocier un match nul à Alger.
O. Roger Sissoko
MALI 3EME NATION AFRICAINE 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀
Désolé, les chances de qualification ne sont pas égales entre les trois. L’Algérie a pris une option sérieuse pour la prochaine étape de qualification au mondial du Brésil surtout qu’lle recoit le Mali en finish. Certe, le foot n’est pas des maths, mais il y ades signes révélateurs; l’avantage des points, la différence des buts, les résultats réalisés par chacune d’équipe dans cette compétition notamment contre ce que vous appelés le maillon faible du groupe et surtout le fait que le dernier match ce joue en algérie.
Au non de l’amitie africaine.
Moi meme je ne comprend pas les Maliens. dans le foot ball tout est possible avec un nul a Bamako vous racontez tout et ceux qui ont battu a Kigaly? Ou et ils n ont pas de coeur? dans le foot ball tout est possible victoire defaite ou nul font partir du sport.
Le probleme au Mali, tout le monde est entreneur. quesque les ampechent de gagner a Alger? Ce que je veux dire mes amis on peut gagner comme on peut perdre les deux derniers matchs c est le sport. 👿 👿 👿
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