CNOSM : La présence de Tidiane Niambélé ternit encore plus l’image de notre CNOSM !

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Tidiani Niambelé
Tidiani Niambelé

Le président Habib Sissoko est à la tête du Comité National Olympique et Sportif du Mali depuis 2000. De cette date à aujourd’hui, l’homme ne cesse de faire des progrès, mais aussi de cultiver la paix, le dialogue et les valeurs olympiques comme il a indiqué dans son discours. «Les résultats engrangés par le monde sportif me rendent fier et heureux», a-t-indiqué avant de poursuivre : « Cependant, j’en appelle à votre conviction dans le devenir radieux du sport national pour barrer le chemin de la division, la grande menace de nos associations ».  Ce discours est tombé dans l’oreille d’un sourd, car aveuglé par la haine et la vengeance, le vice-président du CNOSM  Tidiane Niambélé est aujourd’hui la peste du football malien. C’est lui qui est à l’origine de l’ensemble des problèmes de notre sport et particulièrement le football, malgré le résultat des dirigeants sportifs.

Malgré que Habib Sissoko a rappelé et continue de rappeler que le sport est dialogue perpétuel, dialogue et volonté de trouver des solutions consensuelles à nos incompréhensions, comme le veut notre culture, son vice-président n’en a cure. Car, tous les moyens sont bon pour détruire, lui qui n’a jamais servi notre sport. Rappelez-vous les 120 millions de la quatrième place du Mali à la CAN 2004 en Tunisie qu’il a mis dans son propre compte et que le ministre des sports de l’époque, le docteur Moussa Balla Diakité l’a obligé de restituer. Il en a toujours sur le cœur.

Aujourd’hui, la fédération malienne de football ne reconnait plus Tidiane Niambélé comme son représentant au mouvement olympique malien et l’a signifié par écrit au président Habib Sissoko. Et sa présence est mal perçue par la plus part des représentants du mouvement sportif malien. Et pour cause,  l’ex président de la Femafoot de 2002 à 2005 continue de mettre de l’huile sur le feu du football malien. Il est toujours signataire de pétitions, ce que lui interdisent les valeurs Olympiques. «Sa présence est une honte pour nous du mouvement olympique», disait un président de fédération dont nous taisons volontiers le nom, même s’il désire d’être cité dans notre papier. « Il n’a pas sa place parmi nous  et surtout au présidium à côté de l’homme qui incarne les valeurs olympiques maliennes, à savoir Habib Sissoko » disait-il. Le patron des dirigeants sportifs  malien est même gêné par sa présence, mais le mois d’avril sonne comme la fin de son mandat et comme il ne représente plus le football, il devra faire ses bagages comme dans les ligues et les clubs qui l’ont chassé en Aout 2005, comme aussi le Djoliba et les supporteurs l’ont chassé. Décidément, le monde du football n’en veut plus. Pauvre Tidiane Niambélé !

Diakaridia CAMARA

Source : Info sport

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2 COMMENTAIRES

  1. Monsieur le journaleux tu as des problèmes personnels avec NIAMBELE ou quoi ? Arrête de nous divertir donne nous des preuves de ce tu avances.
    Au moins lui, il a une suite dans ses idées. C’est l’un des rares responsables de ce pays qui dit le fond de sa pensée à qui veut l’entendre. Merci de nous donner des informations au lieu de t’attaquer aux personnes innocentes.

  2. J’ai toujours dit que Tidiani Niambele est un nul et une calamité pour le sport national. Ce type, sous le couverts de ses grands airs d’intello mal inspiré a toujours trompé les gens avec son sourire hypocrite et espiègle. Le CNOSM l’utilisait pour régler et gérer les conflits au sein des fédé; mais allez demander aux fédé de tae kwondo, de natation, hand ball judo et de karaté; ils vous diront à quel Point ce type est un poltron et un couard. Il a TOUJOURS, TOUJOURS et TOUJOURS éviter et éluder la vérité. Je l’ai vu s’engager à dire des choses très responsables à certains dirigeants véreux avec force démonstration et de confiance pour se dégonfler comme une poupée de baudruche à la seule vue des intéressés. J’ai entendu des tous jeunots le remettre à sa place et dans ses petits souliers au point oú j’en avais des larmes aux yeux. Aussi, sur ces mêmes pages, j’ai l’habitude de dire aux toutes premières heures de son élection a la presidence du Djoliba, que c’en était fini de ce club. Non, Niambélé, c’est le dernier des dirigeants sportifs de ce pays.

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