Contrairement aux années passées, le championnat national 2007-2008, prévu pour démarrer le 14 Décembre 2007, est de moins en moins envahi par les entraîneurs étrangers.
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Selon des observateurs avertis de la scène sportive, plusieurs facteurs expliquent cette rareté. Pour les uns, ces entraîneurs étrangers coûtent excessivement chers, et surtout, …pour les mêmes résultats. Les pus chanceux remportent le championnat national ou la coupe. Mais ceeux qui ont moins de veine s’en sortent les mains vides.
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Pour les autres, la plupart de ces entraîneurs ne sont pas, en réalité, de vrais entraîneurs. Et aujourd’hui, on commence à découvrir la duperie de certains d’entre eux. En tout cas, le championnat 2007-2008 engagera uniquement deux entraîneurs étrangers : le Guinéen Cheick O. Savané de l’ASB et le Burkinabé, M. Sawadogo, entraîneur du Débo club de Mopti.
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C’est dire qu’il n’y aura que ces entraîneurs nationaux: Alou Badara Diallo (Djoliba), Cheick Diallo (Stade malien Bamako), Adama Keïta (COB), Nouhoun Diané (CSK), Amadou Tidiane Camara (USFAS), Sékou Coulibaly (Réal), Ibrahima Konaté (Onze Créateurs), Moussa Keïta (Bakaridjan), Seydou Dembélé (Stade malien Sikasso), Hamidou Keïta (Nianan) et Djibril Dramé (ASKO).
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Ces entraîneurs tenteront de rivaliser pour décrocher le titre de champion 2008. Espérons que ces coachs nationaux seront bien traités pour mieux être à la hauteur, comme leurs homologues étrangers. Car c’est une tâche aussi exaltante que complexe.
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C’est dire aussi que les différents responsables commencent à comprendre la nécessité de mettre leurs propres entraîneurs en valeur. Mais la question qui hante tous les esprits, c’est de savoir si tous ces entraîneurs nationaux ont un contrat dûment signé avec leurs employeurs, et surtout si leur salaire est assez consistant.
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rnCOUPE CABRAL 2007 : Et de trois pour le Mali !
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Le 10 Décembre 2007, les lampions de la 19e édition de la Coupe Cabral -à laquelle ont participé sept pays sur huit-, se sont éteints à Bissau (Guinée Bissau), avec la finale disputée entre le Mali et le Cap-Vert.
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Le Mali était dans le groupe B en compagnie du Cap-Vert, de la Guinée Conakry, et de la Gambie. Finalement, ce sont les deux pays de la poule B qui se sont retrouvés en finale. Ce qui prouve que la poule B était la plus relevée.
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En finale, les Aigles du Mali se sont imposés face au Cap-Vert sur le score de 2 à 1. Les deux buts maliens furent l’oeuvre de Bakary Coulibaly (3e minute) et par Souleymane Dembélé (23e minute). A noter que les Cap-verdiens avaient égalisé à la 8e minute.
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Avec cette victoire, le Mali vient de confirmer son statut de favori, selon tous les observateurs sportifs présents au tournoi. Du coup, les Aigles remportent leur 3e Coupe de leur histoire, après celles de 1989 (Bamako, Mali) et de 1997 (Banjul, Gambie).
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Avec cette victoire finale, les Aigles du Mali et l’entraîneur Cheick Oumar Koné viennent de se racheter vis-à-vis du public sportif malien. En effet, tout le monde se rappelle encore de la manière dont la même équipe a été “poussée vers la petite porte” , lors du tournoi UEMOA joué à Ouagadougou (Burkina Faso).
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Cette coupe Cabral produira donc un impact positif sur la prestation des Aigles à la CAN 2008. Pour rappel, le Mali a livré cinq matches, avec 4 victoires et une défaite, pour 8 buts marqués et 4 buts encaissés. Sur les 8 buts marqués, 7 ont été les oeuvres de Bakary Coulibaly (3 buts) et Souleymane Dembélé (4 buts).
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