Le vice-champion d’Afrique a mordu la poussière. La sélection du Burkina Faso, finaliste de la CAN 2013, a chuté dès son premier match dans cette CAN 2015. Les Burkinabè se sont inclinés 2-0, ce 17 janvier 2015, face à des Gabonais soutenus par plusieurs milliers de supporters venus à Bata, en Guinée équatoriale.
Durant cette deuxième rencontre du groupe A, les « Etalons » n’ont été que la pâle copie de l’équipe qui avait tant brillé en Afrique du Sud, il y a deux ans. Résumé.
Aubameyang à la hauteur
Entre les équipes du Gabon et du Burkina Faso, le « round » d’observation dure un bon quart d’heure. C’est Pierre-Emerick Aubameyang, l’une des rares grandes vedettes de cette Coupe d’Afrique des nations, qui débloque la situation, à la 19e minute. Après avoir buté sur le portier adverse Germain Sanou, l’attaquant gabonais prend le temps de récupérer le ballon, de faire une feinte de frappe, avant de loger le ballon au fond des filets avec un tir enroulé : 1-0.
On voit alors toute la différence entre un buteur plein de sang-froid et des attaquants burkinabè en proie au doute. A la 30e minute, le Burkinabè Jonathan Pitroipa est ainsi en bonne position d’égaliser, mais son tir est trop écrasé. A la 37e minute, une reprise du plat du pied du même Pitroipa est repoussée par Didier Ovono, le gardien de but adverse. L’attaquant Alain Traoré, lui, manque le cadre, sur une reprise de demi-volée (45e).
Les « Panthères » gabonaises, elles, ont failli doubler la mise à la demi-heure de jeu, avec un tir légèrement trop croisé d’Ibrahim Ndong. Le ballon est passé au ras du poteau gauche adverse (31e).
Evouna enfonce le clou
En seconde période, la rencontre repart sur un rythme plus lent. Il faut attendre les 59e et 62e minutes et deux coups francs directs d’Alain Traoré pour qu’un petit frisson traverse l’échine des nombreux supporters gabonais. A la 64e minute, c’est son petit frère, Bertrand Traoré, qui manque le coche. L’ailier burkinabè déboule sur le côté gauche et tente de placer le ballon au ras du poteau droit adverse. Mais Didier Ovono laisse traîner sa jambe droite et repousse la balle…...Lire la suite sur rfi.fr
Les étalons n’ont pas démérité.
L’équipe du Gabon était à son bon jour aussi et a fait la différence.
Courage les étalons….. Rien n’est perdu….
bravo les Gabonais
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