Basket-ball, NBA : Dwight Howard Rempile

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Le meilleur pivot de NBA a supprimé la clause de son contrat qui lui aurait permis de quitter Orlando de son propre chef dès le mois de juin prochain. Engagé jusqu’en 2013, “Superman” touchera environ 9 milliards de F cfa la saison prochaine.

“Je suis content que cette histoire soit enfin terminée !” Dwight Howard est soulagé. Le feuilleton de son départ annoncé de la franchise d’Orlando a pris fin ce jeudi avec l’annulation de sa clause de rupture de contrat anticipée. Il ira donc au bout de son engagement avec le Magic, c’est-à-dire à l’été 2013. Avec cette fameuse clause, il aurait été libre de partir gratuitement pour une autre équipe en juin prochain. Dallas et les Lakers étaient notamment sur les rangs.
Le boss de la franchise floridienne, Alex Martins, a de quoi se réjouir également. “Je veux remercier Dwight pour sa loyauté”, a-t-il indiqué. Cette loyauté a un prix. Environ 19,4 millions de dollars (presque 9 milliards de F cfa), que le Magic devra déverser à son pivot pour le garder à ses côtés en 2012-2013. Qu’importe, les fans d’Orlando se satisferont d’une issue qui semblait impensable il y a encore un mois, quand le meilleur défenseur de NBA avait un pied à New Jersey, chez les Nets, qui étaient encore à l’affût jusqu’à jeudi dernier. “J’aime trop la ville, les gens ici et l’organisation.
Nous avons une belle opportunité de faire tous ensemble quelque chose de spécial”, a affirmé Dwight Howard en conférence de presse. Sur la scène nationale, Orlando n’est pourtant pas au niveau des meilleures franchises comme Chicago par exemple. Pour l’instant. “Tout le monde doit y croire”, dit-il.
A en croire CBS Sports, le joueur de 26 ans aurait signé le document brisant la clause en question sans l’accord de son agent. “Je suis loyal, c’est ce que je suis, assure en tout cas “Superman”.
C’est ma nature. Je l’ai dit à mes partenaires, je suis all-in.” La saison prochaine, cependant, les mêmes cartes risquent d’être redistribuées pour Orlando, qui devra cette fois proposer un nouveau contrat et non compter sur la suppression d’une clause pour conserver son joyau. Mais ça, gageons que tout ce petit monde ne veut pas encore y penser.

La Rédaction
lundi 19 mars 2012

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