Reconnaissantes à Habib Sissoko, les fédérations sportives répliquent à ses détracteurs
Comme à la veille de chaque assemblée générale du Comité national olympique et sportif du Mali (Cnosm) ou de la Fédération malienne de judo et jiu-jitsu (FMJJ), les détracteurs du président Habib Sissoko ont encore relancé leur campagne de dénigrement, de calomnie et de diffamation. Les démentis des fédérations et d’autres acteurs du sport et de l’olympisme n’y changent rien. Quant à celui qui les empêche de dormir sur leurs deux oreilles, il s’en est toujours remis à Dieu en faisant sien l’adage selon lequel le chien aboie la caravane passe.
Ces temps-ci, ils n’ont trouvé mieux que de tenter d’intoxiquer l’opinion en lui faisant croire que le torchon brûle entre Habib Sissoko et la Fédération malienne de judo et jiu-jitsu (FMJJ) dont il est pourtant le président d’honneur.
Ainsi, sur les réseaux sociaux, ils ont fait circuler le 20 novembre 2022 la rumeur d’une prétendue humiliation du président du Cnosm par les membres du bureau fédéral de judo lors de la présentation de la médaille remportée par le judoka Sory I. Sacko à l’édition 2022 de l’Open international de Dakar (Sénégal, les 12 et 13 novembre 2022).
Une rumeur aussitôt démentie par la FMJJ, qui a tenu le lundi 21 novembre 2022 à apporter “un démenti ferme à cette allégation”, tout en invitant “les confrères, nos partenaires privilégiés, à venir à la source avant de publier quoi que ce soit le concernant”.
Et de poursuivre : “Le comité exécutif et l’ensemble de la Fédération malienne de judo et jiu-jitsu demeurent reconnaissants au président du Comité national olympique et sportif du Mali, Habib Sissoko, pour tout ce qu’il fait dans le cadre de la promotion du judo au Mali”. Et un responsable fédéral de renchérir : “Pour nos sorties à l’extérieur, nous sommes souvent épaulés par le président du Cnosm”. On ne peut plus clair.
Vouloir minimiser la contribution du président Sissoko (directeur au développement du judo pour l’Afrique de Fédération international de judo – FIJ après avoir été président de la Fédération malienne et de l’Union africaine de judo – UAJ) au développement du sport, notamment du judo, c’est avoir la prétention de cacher la lune avec une couverture.
Comme l’a dit l’entraîneur national de judo, Tiéfing Sissoko, “Habib est un allié potentiel pour l’épanouissement du sport au Mali, notamment du judo”. L’auteur de cette tentative d’intox de l’opinion a été identifié et il est très connu dans la famille du judo malien pour ses malheureuses et infructueuses tentatives de prendre les commandes de la Fédération.
La preuve qu’il manque sérieusement de crédibilité pour bénéficier de la confiance et du suffrage des acteurs du judo malien. Et pour lui, c’est Habib qui est responsable de ses échecs et non son incompétence aux postes qu’il a occupés aux différents niveaux de management de cet art martial.
Bouc émissaire idéal pour des ambitions personnelles contrariées
Il est en de même de ceux qui veulent faire croire à l’opinion nationale que c’est le président du Cnosm qui est le principal bénéficiaire du contrat de partenariat qui le lie à Moov Africa Malitel. Curieusement, à chaque compétition, les responsables fédéraux saisissent l’opportunité pour saluer le leadership de ce dernier et pour magnifier ce partenariat qui, depuis des années, permet aux Fédérations sportives nationales (FSN) de multiplier les compétitions au niveau national. Autrement dit, ce contrat de sponsoring est de bon augure pour la promotion et le développement du noble art dans notre pays.
“Je salue la bienveillance du président du Cnosm, Habib Sissoko qui a bien voulu démarcher Moov Africa Malitel afin que toutes les fédérations sportives puissent souffler financièrement parce que sans argent c’est impossible de mener les activités. Avec ces financements, nous arrivons à exécuter tous nos programme”, reconnaissait le colonel Abdoulaye Kéïta (1er vice-président de la FMJJ) lors d’un entretien accordé à nos confrères de “Aujourd’hui-Mali”.
Et en termes de gestion des fonds alloués par l’opérateur historique des télécommunications au Mali, les audits (interne et externe) n’ont jamais remis en cause la transparence avec laquelle ils sont gérés. Comme nous l’ont expliqué plusieurs responsables fédéraux, avant chaque compétition, la Fédération dépose un devis au niveau de la comptabilité du Cnosm et le montant arrêté est mis à sa disposition pour mener l’activité programmée. Une fois l’activité terminée, elle rassemble les justificatifs pour les remettre à la comptabilité.
Et pour avoir droit au financement d’une nouvelle activité, il faut que ces justificatifs répondent aux critères.
“Vous savez, franchement le président du Cnosm est une personne digne de confiance, un bon partenaire, généreux et sociable. Il prend tellement de coups que, s’il tenait compte de cela, il ne ferait pas du bien pour quelqu’un. C’est lui qui a démarché le Moov Africa Malitel et le PMU-Mali pour que ces deux entités puissent appuyer les fédérations sportives nationales afin qu’elles puissent tenir des activités”, a témoigné le colonel Abdoulaye Kéita dans les colonnes de “Aujourd’hui-Mali”.
Les oiseaux de mauvais augure peuvent continuer à verser leur bile sur le président du Cnosm (en s’acharnant sur lui par méchanceté gratuite), mais les responsables de nos fédérations savent ce que ce partenariat leur rapporte. Et nous le disons sans crainte, sans démagogie et sans complaisance aucune : Habib a toujours été présent pour la presse et sans rien exiger en retour que le respect et le soutien aux activités sportives ! Aussi bien pour les journalistes (à titre personnel) que pour les organes et des organisations de presse. Certes, cela ne doit pas être prétexte d’un traitement partisan de l’information en sa faveur. Mais, ce n’est pas non plus reconnaissant que nous prêtions nos plumes et nos micros à des gens qui lui en veulent juste par jalousie, par hypocrisie ou par méchanceté gratuite. Surtout que ceux qui alimentent ces calomnies et cette cabale n’osent jamais l’affronter à visage découvert parce qu’ils savent qu’ils ne peuvent objectivement rien lui reprocher.
La preuve est que toutes les assemblées générales du Cnosm sont sanctionnées par une motion de soutien (adoptée à l’unanimité des fédérations) en reconnaissance de son leadership, de sa vision et de son immense contribution au développement du sport au Mali. Sans parler de toutes ces distinctions de reconnaissance qui lui sont régulièrement décernées au pays, dans la Zone II de l’Association des comités nationaux olympiques d’Afrique (Acnoa), sur le continent et sur la scène internationale ! Alphaly