La 5e édition du championnat national de natation qui a bien eu lieu comme prévu à Kayes le 26 novembre dernier, a enregistré la participation de 43 nageurs dont 21 de Bamako, 22 des régions de Kayes, de Sikasso, de Gao, de Ségou, de Mopti, de Tombouctou, de Kidal et de Gao.
Il était convenu que chaque nageur bamakois devait percevoir la somme de 20.000 FCFA comme argent de poche. Mais, à leur grande surprise, le président de
A la fin du championnat, les joueurs qui voulaient avoir la prime ne l’ont pas reçu et ont boudé le car du président avec leurs coupes. Ils ont pris en charge leurs frais de retour sur Bamako. En principe, le nom de
Qu’à cela ne tienne à l’issus de ce 5e championnat Bamako qui était représenté par 5 clubs en occurrence l’USFAS, l’AS Commune II, Aka Club et Djidon s’est emparé de la première place devant Kayes 2e et Gao 3e.
Yacouba S. Tangara
Championnat national de Boxe :
L’USFAS se taille la part du lion avec 8 médailles d’or
Placée sous la présidence du ministre de
Ce championnat qui marque la fin des activités 2010-2011 de
Les médaillés d’or de ces différentes catégories sont respectivement, Mohamed Adjawakoye de l’Usfas, Djakaridja Diarra de l’Usfas, Sotigui Sidibé de l’Usfas, Daouda Adjawakoye de l’Usfas, Massa Guilavogui de l’Usfas (il a représenté le Mali aux jeux Africains en Algérie en 2007), Daouda Traoré de l’Usfas, Mohamed K Sodogodo de l’Usfas, Moussa Konaté dit Mogopuissant de l’Usfas, Guy Mor de l’As réal, et Ousmane B Haidara de Ségou.
Aux termes des 10 combats de la phase finale de ce championnat national, il y a eu 2 cahots, Siaka Diallo du Tata de Sikasso mis en cahot à la deuxième reprise du combat par Daouda Traoré de l’Usfas et Mohamed Condé du Club Pierre Diakité de Bamako mis en cahot au même que le premier par Daouda Adjawakoye de l’Usfas. Sans la participation d’aucune femme.
Il faut regretter le fait que les différents champions n’ont pas eu de diplômes de participation, ni de médailles (or, argent et bronze) encore moins, de primes de participation. Pire, les combattants utilisent les mêmes protège-dents alors qu’ils ont rares les combattants qui descendent du tapis sans être blessés à sang. Une situation qui expose les combattants à des infections du VIH-Sida.
Bintou Danioko