En l’absence du maire du district empêché, c’est son premier adjoint, Hari Makan Kéita qui a présidé la cérémonie d’ouverture solennelle de la deuxième session du conseil du district. C’était hier dans la salle de conférence de la mairie du district, en présence des députés élus à Bamako, des conseillers de Bamako, des chefs de service de la mairie du district de Bamako, du coordinateur des chefs de quartier et des représentants des syndicats.
L’examen de la situation financière est un exercice récurrent inscrit à l’ordre du jour des différentes sessions du conseil de la mairie du district de Bamako. « Cependant la présente situation revêt un caractère particulier en raison du faible niveau de mobilisation des ressources », a d’emblée déploré Hari Makan Kéita. Cette situation, consécutive à l’incivisme et à des difficultés de suivi du recouvrement, mérite toute l’attention des responsables du district. En analysant la situation qui a été présentée à cet effet, ils doivent envisager des mesures idoines susceptibles de relever ce qui revêt le caractère d’un défi majeur.
Le premier adjoint a rappelé aussi que le 28 août 2013, la ville de Bamako enregistrait une des plus fortes précipitations de ces dernières années, provoquant des inondations dans certaines communes du district. Le début de l’hivernage a déjà été marqué par quelques fortes pluies mettant à rude épreuve notre réseau de drainage des eaux et des vieux caïlcédrats. « C’est pourquoi le curage des caniveaux permet une évacuation rapide des eaux, évitant ainsi à la population le spectre d’une calamité aux conséquences incommensurables », diagnostique Hari Makan Kéita. Ces repères permettent aux conseillers de recentrer leurs efforts de curage pour cette année et en appelle à la vigilance accrue de tous les élus et de toute la population.
C’est le lieu de préciser qu’avec plus de 2 millions d’habitants, la ville de Bamako doit se doter d’un système adéquat d’assainissement pour un cadre de vie sain. Aussi, le besoin de stations de pompage et d’épuration réel dans le cadre de la gestion des déchets liquides. La mairie du district suit avec beaucoup d’attention l’exécution des travaux relatifs au curage des caniveaux et au balayage des rues non seulement avec la société Ozone-Mali mais également avec les services techniques des ministères en charge de l’équipement et de l’environnement. A la lumière de l’exposé qui a été fait par les services techniques, les participants ont été appelés à formuler des suggestions fortes afin d’éviter des scènes d’inondations à la ville.
Les travaux d’entretien intenses des artères initiés par le ministère en charge de l’équipement dans le cadre des préparatifs du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement d’Afrique et de France prévu en 2017 se poursuivront afin de créer les meilleures conditions d’accueil de nos hôtes. Cette session offre l’opportunité d’échanger sur les derniers développements des préparatifs du prochain sommet. Le schéma d’urbanisme du district de Bamako et environs du 25 juin 2006 avait déjà souligné la problématique du développement spatial de la ville. La création de la cellule de préfiguration de l’agence d’urbanisme de Bamako par le district et ses partenaires visait à corriger ce déséquilibre et offrir à notre capitale et à ses environs une cohérence territoriale et une maîtrise à terme du développement.
S. DOUMBIA
Bmamako la crotte!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
bamako = une ville dégelasse, remplie de poussière, d’égouts a ciel ouverts, des caniveaux ouverts, des routes trouées sans trottoirs…
ils vont vole de l’argent pour faire soit disant la toilette de cette ville poubelle, alors qu’en vrai ils vont detourner l’argent…
pourquoi les pays francofous aiment tant se soumettre a leurs maitres franSSais, avec ces structures sans issue comme la francofolie, le franc des colonies franSSaises d’afrique, la franSSafric…
dieu m’a puni pour m’avoir fait malien, un pays de fougaridens…
Bamako la coquette !!!!!
La grande illusion !!! Vous avez dit toilette ? Quelle toilette ? Gestion désastreuse des espaces publics par les mairies qui autorisent toutes les installations inopportunes (kiosques, restaurants par terre et face aux murs, ateliers divers…..).
Visitez les trottoirs de Bamako , ACI 2000, Centre Commercial, Quartier du Fleuve, “Corniche” des SOTRAMA et les vitrines de la ville ( Route de l’Aéroport ).
Une ville gérée par des incompétents qui ne savent pas ce qu’est la ville, à coup de destruction des espaces verts et équipements collectifs.
L’aménagement d’une route bitumée est systématiquement un appel d’air pour toutes les installations anarchiques, selon le bon vouloir des édiles….. La notion d’espace préservé n’existe plus, les servitudes des monuments devenant des refuges pour marginaux avant de se transformer bientôt en zone de spéculation foncière.
Merci de qualifier plutôt Bamako de ville poubelle !!!
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