Historique des sommets Afrique-France : Du 1ier Sommet de Paris en 1973 au 27ième Sommet de Bamako, flash-back sur le nouveau cadre de dialogue entre l’Afrique et la France

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Depuis le 1ier Sommet tenu en novembre 1973 à Paris à celui 27ième qui se tiendra demain à Bamako, l’Afrique et la  France se sont rencontrées 26 fois. Au cours de ces rencontres, plusieurs thèmes ont été abordés dont entre autres  « le nouvel ordre économique mondial », «la montée des périls en Afrique», « sécurité et développement »,  « le dialogue Nord-Sud face à la crise mondiale», « autosuffisance alimentaire et développement coordonné », et « pour le partenariat, la Paix et l’Emergence ».    

 

1ier sommet : Paris novembre 1973, sous le thème « un nouveau cadre de dialogue »

A l’initiative du président Hamani Diori, chef de l’Etat nigérien, le premier Sommet Afrique-France se tient sous la présidence du Président Georges Pompidou, chef de l’Etat français. Il est défini comme «un nouveau cadre de dialogue». Ce Sommet a enregistré 11 participants, dont 7 S chefs d’Etat et 4 délégations ministérielles. Parmi les chefs d’Etat on avait celui de la Côte-D’ivoire, de la France, du Gabon, de la Haute Volta, du Niger, de la Centrafrique et du Sénégal. Quant aux 4 délégations ministérielles, elles se composaient du Congo, du Dahomey, du Mali et du Togo.

 

2ième Sommet : Bangui mars 1975, sous le thème « le nouvel ordre économique mondial »

Pour ce deuxième rendez-vous, il s’agissait de se pencher dans le cade d’une réunion amicale sur les problèmes de l’Afrique francophone liés à l’enclavement, la sécheresse, les catastrophes naturelles et sur celui de l’avenir de la francophonie. L’esprit qui présidait à cette conférence était celui d’une «réunion de famille» disait à l’époque feu le président Félix Houphouët-Boigny. Quant au président Valéry Giscard d’Estaing, il souhaitait que cette rencontre s’élargisse aux pays lusophones.

Ce Sommet a connu 15 participants avec 9 chefs d’Etat et 6 délégations ministérielles. Il s’ait des chefs d’Etat  du Burundi, du Centrafrique, de la Côte-d’Ivoire, de la France, du Gabon, de la Haute Volta, du Niger, du Rwanda et du Sénégal.

 

3ième Sommet : Paris mai 1976 sous le thème « priorité au développement »

Inflation, système monétaire international, dialogue Nord-Sud, aide au développement étaient les sujets de cette conférence qui s’est déroulée dans le cadre de l’Afrique indépendante à la recherche de son développement. Deux fonds d’aide été proposés par la France. Il s’agit d’un fonds exceptionnel de promotion de l’Afrique et d’un fonds de solidarité africain. Ainsi, la France a décidé de se joindre au fonds africain de développement de l’OUA.

A retenir que ce Sommet a enregistré 20 participants. Y ont pris part 9 chefs d’Etats. Il s’agit du président de la Côte-d’Ivoire, de la France, du Gabon, de la Haute Volta, du Mali, du Niger, du Rwanda, du Sénégal et du Togo. Les 11 délégations venaient du Benin, du Burundi, du Cap-Vert, du Centrafrique, du Comores, de la Guinée-Bissau, du Maurice, du Sao Tomé et Principe, du Seychelles, du Tchad et du Zaïre.

 

4ième Sommet : Dakar avril 1977, sous le thème «la montée des périls en Afrique»    

«Tout Etat africain a droit à la sécurité intérieure de ses frontières, quelles que soient ses opinions politiques», déclarait le président Valéry Giscard d’Estaing. Toutefois, lors de cette conférence, les problèmes de sécurité n’occultèrent pas, les problèmes économiques liés à l’inflation mondiale, la détérioration des termes de l’échange, l’avenir du dialogue Nord-Sud. L’idée dominante de ce Sommet a été que « le seul combat qui mérite d’être mené en Afrique est celui pour le développement dans la paix, l’unité et la coopération». Comme le précédent Sommet, ce dernier a enregistré aussi 20 participants. 11 chefs d’Etats des pays comme la Côte-d’Ivoire, la France, le Gabon, la Haute Volta, le Mali, du Niger, le Rwanda, le Sénégal, le Seychelles, le Togo  et du Togo ont pris part à ce Sommet. Quant au Bénin, au Burundi, au Cap-Vert, à la Centrafrique, au Comores, à la Guinée-Bissau, au Maurice, aux Territoires des Afars et Issas (Observateur) et au Zaire, ils étaient représentés par des délégations ministérielles.

5ième Sommet : Paris mai 1978 sous le thème « sécurité et développement »

Atmosphère d’inquiétude. De graves conflits déchirent l’Afrique. La décolonisation est en cours en Rhodésie et en Afrique australe. Ainsi, le président Valéry Giscard d’Estaing déclarait que « nous devons refuser que la politique des blocs ne ravage l’Afrique ». Quant au président du Togo, il dénonçait « la violence aveugle, l’immixtion brutale des puissances étrangères dans les affaires de pays souverains» et revendiquait « le droit à la sécurité qui, seul peut garantir la poursuite du développement». 21 participants y ont pris part, avec 16 chefs d’Etats et 5 délégations ministérielles. Les 16 chefs d’Etats étaient du Bénin, de la Centrafrique, de la Côte-d’Ivoire, du Djibouti, de la France, du Gabon, de la Haute Volta, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Rwanda, du Sénégal, du Seychelles, du Tchad, du Togo et du Zaire. Les 5 délégations ministérielles étaient du Burundi, du Congo, de la Guinée-Bissau, du Maurice et du Sao Tomé et Principe.

 

6ième Sommet : Kigali mai 1979 sous le thème « les relations euro-africaines » 

Climat plus serein, malgré quelques incidents qui émaillaient cette conférence. Les problèmes de sécurité demeurent à l’ordre du jour. Cependant, ce sont les problèmes économiques, le développement et les relations euro-africaines qui restaient au cœur des débats. La conférence demanda à la France d’exprimer les préoccupations des Etats ACP auprès de leurs partenaires de la CEE et d’autres pays industrialisés. L’idée d’une Conférence euro-arabo-africaine se concrétise. Ici, on notait 22 participants avec 13 chefs d’Etat et 9 délégations ministérielles.  Les chefs d’Etat des pays comme le Burundi, la Centrafrique, les Comores, la Côte-d’Ivoire, le Djibouti, la France, le Gabon, la Haute Volta, le Mali, le Rwanda, le Sénégal, le Togo et le Zaire ont pris part à ce Sommet. Des pays comme le bénin, le Congo, la Guinée-Bissau, le Libéria, la Mauritanie, le Maroc, le Niger, le Sao Tomé et Principe et les Seychelles étaient représentés par des délégations ministérielles.

 

7ième Sommet : Nice mai 1980 sous le thème « le trilogue à l’honneur »

Pour ce rendez-vous, deux problèmes cruciaux se posent aux participants. Il s’agit dans un premier de réfléchir sur « comment amortir techniquement et financièrement les effets du choc pétrolier sur la balance des comptes des pays africains francophones dépourvus de richesses pétrolières ? » Et, dans un second temps de palier à l’insuffisance alimentaire qui sévit dans les pays africains victimes de la sécheresse. Toutefois, ce Sommet a été dominé par les exposés sur le trilogue. Il en est ressorti que celui-ci ne devait pas seulement viser à l’élargissement de la coopération économique entre pays africains, arabes et européens mais aussi à donner une dimension culturelle à une concertation permanente entre les civilisations arabe, africaine et européenne. 15 chefs d’Etats et 10 délégations ministérielles étaient à ce rendez-vous. Y ont pris les chefs d’Etat du Bénin, de la Centrafrique, du Comores, du Djibouti, de la France, du Gabon, de la Guinée équatoriale( observateur), de la Somalie (observateur), du Togo et du Zaïre. Quant au Bénin, au Cap-Vert (observateur), au Congo, à la Côte-d’Ivoire, à la Guinée-Bissau (observateur), à la Haute Volta, au Maroc (observateur), à la Mauritanie, au Sao Tomé et Principe (observateur) et au Tchad, ils y étaient représentés par des délégations ministérielles.

8ième Sommet : Paris novembre 1981 sous le thème « solidarité et développement »  

La crise économique mondiale qui frappait de plein fouet les pays en développement était  à l’ordre du jour, ainsi que les problèmes tchadien, namibien et celui du Sahara occidental. Sur le plan économique, parlant du « drame du sous-développement », le président François Mitterrand prônait « un développement agricole et industriel mettant en valeur les ressources humaines et naturelles, en cherchant à satisfaire, par priorité, les besoins essentiels des populations». Par ailleurs, un appel fut lancé à la communauté internationale pour la stabilisation des cours des matières premières et pour la transformation de celles-ci dans les pays producteurs. Il importe de retenir qu’à partir de ce Sommet, l’appellation consacrée pour la Conférence à été « Conférence des chefs d’Etat de France et d’Afrique » ou Conférence des Chefs d’Etat d’Afrique et de France ». Ce 8ième Sommet a enregistré 32 participants avec 20 chefs d’Etat et 12 délégations ministérielles. Y ont pris part les chefs d’Etat du Benin, du Burundi, de la Centrafrique, des Comores, du Congo, de la Côte-d’Ivoire, du Djibouti, de la France, du Gabon, de la Haute Volta, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Rwanda, du Sénégal, de la Sierra Leone, de la Somalie, du Tchad, du Togo et du Zaïre. L’Angola, le Cap-Vert, l’Egypte, la Guinée Bissau, la Guinée Équatoriale, le Maurice, le Maroc, la Sao Tomé et Principe, les Seychelles, le Soudan, la Tunisie et le Zimbabwe étaient représentés par des délégations ministérielles.

 

9ième Sommet : Kinshasa, octobre 1982, sous le thème « le dialogue Nord-Sud face à la crise mondiale»   

Une crise secouait l’OUA et les participants à ce Sommet se retrouvèrent dans une atmosphère assez tendue. De plus, la crise économique mondiale qui frappe davantage les pays africains a fait l’objet une grave préoccupation. Sur ce point, les participants ont souhaité la ratification de l’accord portant création d’un fonds commun et d’un programme intégré des produits de base. Des négociations globales devraient être entreprises dans le cadre du l’ONU et de la CNUCED en faveur d’une régularisation des cours des matières premières.

36 Etats y étaient dont 18 par des chefs d’Etat et 17 par des délégations ministérielles. Ainsi, le Bénin, le Burundi, la Centrafrique, les Comores, le Congo, la Côte-d’Ivoire, la France, le Gabon, la Gambie, la Haute Volta, le Mali, le Niger, le Rwanda, le Sénégal, la Sierra Leone, le Tchad,  le Togo, et le Zaïre étaient représentés par leur chef d’Etat. Et, l’Angola, le Cap-Vert, le Djibouti, l’Egypte, la Guinée-Bissau, le Maroc, Maurice, la Mauritanie, le Mozambique, le Nigéria, le Sao Tomé et Principe, les Seychelles, le Soudan, la Tanzanie, la Tunisie, la Zambie et le Zimbabwe y étaient présents à travers des délégations ministérielles.

 

10ième Sommet : Vittel, octobre 1983, sous le thème « l’intégrité du Tchad »

Pour cette Conférence, le problème tchadien domine la rencontre. La France réaffirme ce qui avait été dit à Kinshasa. « La Conférence des chefs d’Etat de France et d’Afrique n’est ni une institution, ni une organisation. Elle n’entend se substituer à personne, notamment à l’OUA ». Pas de résultats spectaculaires à l’issue de ce Sommet. Cependant, plusieurs points ont été clarifiés : le président Mitterrand réaffirme l’engagement de la France à accroitre son aide, y compris au sein des instances financières mondiales, l’appel à l’OUA de s’engager dans la recherche pratique des moyens d’en revenir à la Paix au Tchad, le problème de la Namibie et celui du Sahara occidental et les relations Nord-Sud. Aussi, 36 délégations y ont pris part avec 24 chefs d’Etats, un chef de Gouvernement, celui de Maurice et 11 délégations ministérielles.

 

11ième Sommet : Bujumbura, décembre 1984, sous le thème « autosuffisance alimentaire et développement coordonné »  

La situation de crise mondiale aggravée place les problèmes économiques comme l’endettement, la stabilisation des recettes, l’autosuffisance alimentaire au cœur des discussions. Le sujet de la course à l’armement en Afrique, qui grève les budgets au détriment du développement, est pour la première fois introduit dans les débats. Les délégations, dont celle du Burundi, soulignent la nécessité de mobiliser l’Afrique pour la lutte pour le développement. Ce Sommet a enregistré 37 participants avec 17 Chefs d’Etats, 2 chefs de Gouvernement et 11 délégations ministérielles.

 

12ième Sommet : Paris décembre 1985, sous le thème « l’endettement croissant de l’Afrique »

Ici, les participants se montrent gravement préoccupés par le problème de l’endettement croissant des Etats africains. Les efforts fournis dans le domaine de l’autosuffisance alimentaire sont minés par les aléas climatiques, le prix en chute libre des matières premières, les caprices du dollar. D’où la convocation d’une session  extraordinaire de l’ONU sur la dette africaine avec l’appui de la France qui soutiendra la position de l’OUA. Autres sujets débattus à cette 12ième Conférence ont été le Sahara Occidental, l’Afrique du Sud et les Comores-Mayotte.

Là, on notait 34 participants avec 18 chefs d’Etats, 1 vice-président, celui de la Mozambique, 3 chefs de Gouvernement, 11 délégations ministérielles et 2 autres représentations.

 

13ième Sommet : Lomé novembre 1986, sous le thème « un Plan Marshall pour l’Afrique »

Après 12 Sommets, un constat se dégage : la Conférence n’est plus « des retrouvailles entre la France et l’Afrique francophone ». Elle s’est élargie aux autres pays africains anglophone, lusophone et hispanophone. Le problème tchadien était toujours à l’ordre du jour mais a évolué. Autres sujets récurrents abordés, le Sahara Occidental, l’Afrique australe et le terrorisme international.  39 délégations y ont pris part avec 20 chefs d’Etat, 1 vice-président, 2 chefs de Gouvernement, 9 délégations ministérielles et un autre, le Togo.

 

14ième Sommet : Antibes décembre 1987, sous le thème « la dette et les matières premières »

Les thèmes dominants de ce Sommet sont les problèmes économiques et en premier lieu, la dette africaine et les matières premières. A l’issue de la rencontre, les résultats obtenus ont été : l’accroissement des ressources de la facilité d’ajustement structurel, du FMI, l’avenir de la zone franc après 1992, la transformation de certains prêts en dons, la réalisation d’une Conférence internationale sur la dette.   37 délégations ont pris part avec 14 chef d’Etat, 2 chefs de Gouvernement, 1 chef de parlement (Mozambique), 17 délégations ministérielles et 3 autres représentations.

Le 15ième  Sommet  a eu lieu au Casablanca en décembre 1988.

Quant au 16ième, il a lieu à  La Baule en juin 1989. Cette Conférence consacrera le fameux discours du président Mitterrand sur « la prime à la démocratie », en termes exacts: «Il y aura une aide normale de la France à l’égard des pays africains, mais il est évident que cette aide sera plus tiède envers ceux qui se comporteraient de façon autoritaire, et plus enthousiaste envers ceux qui franchiront, avec courage, ce pas vers la démocratisation».

 

17ième Sommet : Libreville décembre 1992 sous le thème « la rigueur économique »

Pour la première fois, on note l’absence du Chef d’Etat français, représenté par son premier ministre. Il y avait aussi l’absence de plusieurs chefs d’Etats africains dans les pays desquels le discours de La Baule et «sa prime à la démocratisation» ont eu des retentissements.

Ici, la France et les Etats africains on été unanimes à qualifier de « draconiennes » les conditions imposées par les institutions internationales en échange de leur aide. Le président gabonais, hôte du Sommet fait le constat des graves difficultés financières, économique et sociales sur lesquelles luttent les pays africains. On notait 34 participants avec 14 chefs d’Etat, 2 vice-présidents, 17 délégations ministérielles  et une autre représentation, l’Egypte.

 

18ième Sommet : Biarritz novembre 199, sous le thème « sécurité et interventions militaires »

Ce Sommet intervient dans un contexte de politique intérieure difficile pour le président français, marqué par la cohabitation. Deux grands événements concernant l’Afrique dominent largement les débats : la dévaluation du franc CFA et l’opération turquoise. Le président français fait ses adieux à ses pairs africains en rappelant qu’il s’est toujours personnellement « opposé aux tentations déclarées ou insidieuse de brader la politique africaine de la France ou de décider pour tel ou tel pays, à la place de ceux qui en avaient la charge». 27 chefs d’Etat, 1 vice-président, 3 chefs de Gouvernement, 4 délégations ministérielles et une autre délégation y ont pris part avec un total de 36 participants.

 

19ième Sommet : Ouagadougou décembre 1996, sous le thème « bonne gouvernance et développement »

Avec 46 participants, dont 27 chefs d’Etats, 18 délégations ministérielles et une autre délégation, à l’issue des discussions, il y a eu la publication d’une déclaration finale sur le développement durable et la nécessité des reformes économiques, sur la dimension sociale du développement, sur l’Etat de droit et les obligations qu’il implique.

20ième Sommet : Paris novembre 1998 sous le thème « la sécurité en Afrique »

Les questions de sécurité sont à l’ordre du jour des travaux de la Conférence : maintien de la paix et rôle de l’ONU et des organisations régionales, lutte contre les trafics d’armes de petit calibre, élimination des mines anti-personnel. L’étude du dossier SIDA permet aux chefs d’Etats africains d’apporter leur soutien au projet de création d’un fonds de solidarité thérapeutique international présenté par le président Chirac. Ici, on notait 49 participations avec 35 chefs d’Etats, 3 vice-présidents, 7 chefs de Gouvernement, 4 délégations ministérielles. On notait également la présence du secrétaire général de l’ONU et celui de l’OUA.

 

21ième Sommet : Yaoundé janvier 2001, sous le thème « l’Afrique face aux défis de la mondialisation »

L’ampleur et la complexité du thème retenu pour ce Sommet ont permis d’entendre les exposés introductifs qui avaient été attribués à plusieurs chefs d’Etat. On notait 52 participants avec 26 chefs d’Etat, 3 vice-présidents, 6 chefs de Gouvernement, 17 délégations ministérielles et autres.

22ième Sommet : Paris février 2003, sous le thème « ensemble dans le nouveau partenariat »

Avec 52 participants, dont 26 chefs d’Etat, 6 chef de gouvernement, 1vice-premier ministre, 7 délégations et autres, cette Conférence donnera lieu aux interventions e différents chefs d’Etats sur les thèmes : le partenariat politique, le partenariat pour le développement et le partenariat sur les grands enjeux pour le monde.

Notons enfin que le Mali abritera le 23ième  Sommet à  Bamako, le 3 décembre 2005 sous la Présidence Chirac.  Le 24ième a eu lieu à  Cannes, le 15 février 2007, le 25ième  du 31 mai au 1er juin 2010 à Nice et le 26ième à Paris du 06 au 07 décembre 2013. Et pour la deuxième fois, notre pays organise, le 27ème sommet à Bamako du 13 au 14 janvier 2017.

Dieudonné Tembely

tembely@journalinfosept.com

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