C’est un peu le privilège de l’âge. Le temps qui passe vous vaccine contre les vapeur vénéneuses de l’illusion lyrique. Instruit par l’expérience, on s’en tiendra à ce vademecum: auteur hier à Dakar d’un discours prometteur, François Hollande sera jugé sur pièces. « Le temps de la Françafrique, claironne le locataire de l’Elysée, est révolu. Il y a la France et il y a l’Afrique. Et il y a le partenariat entre la France et l’Afrique. » Fort bien. Reste qu’on se souvient avoir entendu, en mai 2006 à Cotonou (Bénin), son prédécesseur Nicolas Sarkozy prononcer non sans panache l’oraison funèbre de la même Françafrique. Laquelle doit bien avoir une carte de fidélité des pompes funèbres : on l’a portée en terre sans fleurs ni couronnes tant de fois qu’elle aura droit sous peu à des funérailles gratuites.
« Les émissaires, les intermédiaires et les officines, jure l’ex-timonier du PS, trouveront portes closes à la Présidence de la République comme dans les ministères ». Parfait. Mais le propre des agents d’influence est de passer par la fenêtre ; qu’il conviendra donc de doter de robustes barreaux. En la matière, le pedigree politique du nouveau pouvoir hexagonal ne l’immunise nullement contre les turpitudes françafricaines. Sous François Mitterrand et au-delà, maints trafiquants d’influence réputés « de gôche » ont sévi entre bords de Seine et sud du Sahara. C’est ainsi : secoués par les bourrasques de la mondialisation, les réseaux mutent, mais ne se rendent pas.
François Hollande aurait-il une âme de poète ? A tout le moins, il aime les allitérations rimées. Devant le députés sénégalais, il a ainsi exalté une histoire commune « belle, cruelle et rebelle ». De là à y voir un préambule subliminal à son arrivée, ce samedi à l’aube, à « Kin-la-Belle/Kin-la-Poubelle », formule empruntée à ces Congolais que navre le naufrage urbain de leur capitale… Ne quittons pas le royaume de la rime. Vantant les vertus de la « confiance », de le « transparence » et de la « bonne gouvernance », le tombeur de Sarko prône une amitié « sans ingérence, mais avec exigence ». Manière de moderniser le « ni-ni » cher à Lionel Jospin millésime Matignon : « Ni ingérence, ni indifférence ». Précédent peu convaincant au demeurant, tant fut tiède l’intérêt que portait le camarade Lionel au continent noir. Pour lui, ce ne fut pas « la Corrèze avant le Zambèze », mais Cintegabelle avant le Sahel. Remarquez qu’à ce jeu-là, les héritiers de Charles de Gaulle -Jacques Foccart plutôt que Madagascar- avaient montré la voie du repli. Giscard ? Trente carats avant Sankara. Mitterrand ? Latché plutôt que Kagamé. Chirac ? Bity avant Nairobi. Et Sarkozy ? Au choix, Neuilly avant le Mali, ou bling-bling plutôt que Jean Ping.
A propos de lexique, une ultime remarque. S’agissant du lien postcolonial, François Hollande récuse avec vigueur le concept de « normalisation ». Etrange. Pour avoir grandi au temps de la Guerre froide, serait-il hanté par les cauchemars soviétiques de Prague et Budapest au point d’oublier le sens profond du mot ? Que le président « normal » œuvre à rendre « normal » ce qui ne l’est pas, quoi de plus… logique ?
lexpress.fr/ LE 13 OCTOBRE 2012 10H37 | PAR VINCENT HUGEUX
LETTRE A VOUS SŒURS ET FRERES DES PAYS DU MONDE, SOLIDAIRES ET EPRIS DE PAIX ET DE JUSTICE
Par la présente, je voudrais vous rappeler que le Mali est malade et alité, presque sans assistance ; en tous cas pas à la hauteur de mes attentes. Les médicaments prescrits, qui ne sont disponibles essentiellement que dans les pharmacies CEDEAO, UA, OTAN et ONU, tardent à venir. Or le cas échéant, le malade risque des complications très graves voire fatales.
Déjà, la « décapitation du pays » (fuite d’Amadou Toumani TOURE) a mis à rude épreuve un Etat qui avait du reste de la peine à assurer convenablement son propre fonctionnement régulier sans l’appui des Partenaires au Développement tant les maux étaient trop nombreux.
ATT en dégringolant les marches de la colline de Koulouba (lieu d’implantation du Palais présidentiel) nuitamment sans la moindre possibilité de donner au revoir à son « Peuple de consensus » mettait en exergue les limites d’un système politique sans opposition crédible et axé sur un unanimisme trompeur, malhonnête et suicidaire.
La prise éphémère du pouvoir par des soldats corrobore cette gestion artisanale et le délitement de l’Etat malien, géré par un homme comparé à un démiurge par des griots et assimilés. Cette iconographie consacrée à l’Ascension d’un Ex-putschiste Président a naturellement occasionné la gestion paternaliste du pouvoir tout en entraînant l’unilatéralisme inédit en l’absence d’une opposition digne. C’est ainsi que des accords irréfléchis et de traîtrise ont été signés en catimini avec les rebelles il y a des lustres (Alpha Oumar KONARE et ATT). En effet, il y a eu une politique de discrimination positive sans précédent en faveur des régions du Nord (surtout les Tamasheq) au détriment des autres Régions du pays et la mise en œuvre précipitée de la décentralisation alors que le pays n’y était pas préparé. Ce cafouillage a été mis à profit par les caciques de la rébellion pour se renforcer. D’ailleurs, ils ont pu convaincre Alpha et ATT après leur intégration à être affectés dans le Nord. En dépit des renseignements des services en charge de la sécurité d’Etat, ATT se mêlait de tout ; même de la mutation du Caporal. Et chaque fois que les rapports de force leur étaient favorables, les rebelles n’ont pas hésité à poser des actes de sédition comme le massacre des militaires sous-équipés à Tombouctou, à Gao, à Abeïbara, à Tinzaouatène… ; militaires enfouis en terre sans dignité et sans honneur parfois même exhumés par des intempéries comme si on s’était débarrassé du « cadavre » d’un mauvais animal de compagnie. Quelle ingratitude des premiers responsables de ce pays à l’endroit de ceux qui ont choisi comme vocation le métier des armes pour défendre la nation. Et les auteurs de ces crimes étaient promus au détriment des militaires mutilés et au grand dam du sacrifice ultime consentis par les soldats assassinés sur le champ de l’honneur, comme si il y avait « une prime du crime accompli ». Pouvez-vous comptez sur une armée pareille ayant le moral au talon ? Certainement pas. Mais, l’armée en dépit de cette irresponsabilité au sommet de l’Etat à continuer à faire preuve de bravoure, à se sacrifier davantage pour le pays. Mais un militaire affamé, sans munition ou avec des munitions avariées et doté de matériel suranné ne peut pas faire face à tes terroristes surarmés et bénéficiant de complicités extraordinaires tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Pour avoir été témoin oculaire, je peux dire sans risque de me tromper que l’armée du Mali est brave et patriote, engagée et responsable. Seulement avec la félonie au sommet de l’Etat, « personne ne pouvait remplir un sac troué ».
Ces mouvements tamasheq qui n’ont jamais déposé les armes malgré les accords signés se sont regroupés grosso modo dans une alliance contre nature. Iyad AG HALY, tamasheq irrédentiste, fin calculateur, ancien rebelle, ancien diplomate du Mali en Arabie –Saoudite où il a été déclaré persona non gratta pour connexion avec le réseau terroriste international, pour des raisons de leadership, a créé le sulfureux Aneçardine dans l’optique du retour à l’ordre féodal : la suprématie de la fraction Ifoghas à laquelle il appartient. Aussi « le nom Aneçardine » visait aussi à créer une confusion terrible à Bamako et dans le reste du pays avec Aneçardine du prêcheur Cheick Chérif Ousmane Madane HAÏDARAB. Heureusement que le Peuple a compris en dépit de l’équivoque savamment créée par la presse internationale Suite à leur dernière rébellion, l’Etat malien avait utilisé la politique de la division et était parvenu à propulser d’autres Tamasheq que les Ifoghas considèrent comme des hommes de seconde zone. C’est pourquoi presque tous les cadres Ifoghas de loin ou de près soutiennent le terrorisme appelé injustement rébellion. Je veux faire allusion aux plus connus qui ont eu le courage d’agir de façon ostentatoire comme les députés Alghabas, fils du patriarche Inthalla AG ATTAHER de la grande famille Ifoghas de Kidal, AG BIBI d’Abeïbara et bien d’autres. Les deux groupes Tamasheq MNLA et Ançardine, après avoir supputé et trouvé minces leurs chances dans un affrontement armé contre les forces régulières de Bamako, ont décidé de faire cause commune et de faire appel aux Jihadistes que Iyad a toujours côtoyé et avec lesquels il a renforcé ses rapports quand il était en Poste en Arabie-Saoudite. Ces deux mouvements ne sont pas étranges aux enlèvements d’Occidentaux dans le Sahel et aux paiements de rançons.
La guerre pouvait alors commencer. C’est cette complicité opérationnelle qui explique les tentatives de rapprochement Islamiste-MNLA, relayée par la presse internationale. Et même-là, il fallait être prudent et compter sur les cadres tamasheq acquis à la cause, restés dans l’armée et l’administration pour donner des informations et divulguer des secrets d’Etat. C’est pourquoi, des convois en provenance de Bamako ou des renforts militaires de Gao, Tombouctou et Kidal étaient constamment attaqués. Et ATT dans sa démarche esseulée et irresponsable, parfois au mépris des rapports de bon voisinage, n’a pas su relever les défis. Au contraire, il s’en enfonçait chaque jour un peu plus avec la création de nouvelles circonscriptions « ethniques et irrédentistes » sans consultation préalable mais pour faire plaisir à quelques hommes.
Les trois régions à savoir Gao, Tombouctou et Kidal sont tombées avec une armée démoralisée, abandonnée, vilipendée et « vendue ». Les agissements de l’armée malienne sont moins des actes de défiance que les manifestations de sa déstructuration et l’injustice qui prévalait en son sein.
Certains officiers proches du pouvoir d’ATT comme dans tous les régimes de corruption avancée étaient devenus des administrateurs, des financiers, des hommes d’affaires, des diplomates…. dans les endroits de leurs choix alors que les autres, déshérités étaient balancés dans la nature sans consultation comme de vils objets et souvent oubliés. Le soldat recruté durant ces vingt dernières années pas le plus souvent par vocation mais par affinité et d’autres méthodes peu orthodoxes était livré à son triste sort. Vous voyez que l’armée à besoin de soutien: la formation, la réorganisation, le matériel approprié, la discipline, la sanction de la faute et la compréhension de nos sœurs et frères que vous êtes. C’est à ce prix que la nouvelle armée du Mali que je baptiserai la FAMA ( Force Armée du Mali) pourra relever le défi sans amalgame ; oui sans amalgame car Tamasheq (Touareg) n’est pas égal à Terroriste et le MNLA n’est pas égal à Tamasheq encore moins égal à Aneçardine. Il ya des Tamasheq qui ne sont ni Aneçardine ni MNLA et qui sont pour un Mali uni, indivisible et paisible. C’est pourquoi, quand le MNLA parle d’autodétermination après avoir, vers les années 90 pratiquement précipité la mise en œuvre de la décentralisation comme évoqué in limine, pense s’acheminer subtilement vers l’indépendance dans une contrée où la majorité des Tamasheq, des maures, des arabes, les sonrhaïs, les peulhs, les bamabas, oui des bambaras dans le nord depuis des siècles, des Bozo, des Bellas et j’en passe, aspire à un Mali uni, indivisible, fort, prospère et paisible.
L’appui de la CEDEAO, de la Communauté Internationale à l’armée malienne sera indispensable pour éviter des règlements de compte regrettables entre populations chaque fois qu’une ville est reconquise, en d’autres termes pour protéger la minorité tamasheq et les quelques-uns qui par peur de se faire tuer ou humilier ont fait allégeance car n’ayant pas parfois où aller. Cette démarche mettra aussi l’armée malienne à l’abri de critique infondée.
Dans tous les cas au Mali, nous reconnaissons nos erreurs et fautes du passé et du présent. Je pense que cela n’est pas une excuse valable pour que la Communauté Internationale nous tourne le dos. Nous avons aussi droit à la vie et à l’assistance. En écoutant nos pamphlets, vous vous tromperez de combat et nous risquerons de vous poursuivre un jour pour non-assistance à Peuple en danger. Qu’attendez-vous alors pour débloquer nos armes et nous aider à délivrer :
– Ces femmes battues et violées ;
– Ces femmes qui en voulant donner la vie y perdent la leur chaque jour, faute d’agents qualifiés, de matériel et de médicaments ;
– Ces femmes enceintes battues et emprisonnées pour le non port du voile dans un milieu où il fait 50° à l’ombre ;
– Ces filles violées et séquestrées avec des risques de maladies de toutes sortes, des traumas et des grossesses indésirées et indésirables ;
– Ces filles exposées à l’excision dans des conditions ignobles ;
– Ces enfants qui meurent de faim et de malnutrition ;
– Ces enfants qui meurent faute de soins ;
– Ces enfants qui ne vont plus à l’école ;
– Ces filles contraintes de se marier ;
– Ces enfants contraints à l’exil avec ou sans leurs parents tués ;
– Ces enfants contraints à la corvée d’eau ;
– Ces enfants endoctrinés, drogués et enrôlés dans l’armée du Jihad ou de l’irrédentisme ;
– Ces enfants qui errent, pleurent et meurent parfois sans assistance ;
– Ces bras et pieds coupés ;
– Ces mausolées profanés et détruits ;
– Ces personnes du troisième âge et les grands malades sans assistance ;
– Des dizaines de militaires massacrés en violation de toutes les conventions internationales en présence d’enfants, d’élèves et la population utilisés pour filmer et relayer la cérémonie funeste;
– Ces archives séculaires nationales et mondiales emportées ou brûlées…
Soyons justes. Quand la sécurité de l’Occident est menacée, la Communauté Internationale s’organise et se mobilise illico presto pour aller traquer le terroriste où qu’il se trouve comme en Afghanistan, en Irak ou au Pakistan. Mais quand la sécurité de l’Occident n’est pas en jeu directement, ce n’est pas grave ; ça peut attendre et il faut peut-être négocier. Le terrorisme, c’est comme du feu dans une usine d’air liquide. Aucune bouteille n’est à l’abri de l’explosion quelque soit la qualité de la fermeture.
Nous ne sommes pas des sous-hommes, nous sommes comme tout le monde et nous avons droit à la vie, à la dignité comme tout peuple. Et d’ailleurs, nous avons apporté notre contribution dans la limite de nos moyens modestes à l’extinction de foyers de tensions en Afrique et en dehors du continent. C’est notre tour et l’assistance ne devrait pas à mon avis faire l’objet de tergiversations. Je salue la CEDEAO de Son Excellence Monsieur Alassane Dramane OUATTARA, Président de la République de Côte d’Ivoire et Président en exercice de la CEDEAO et la France altruiste de Son Excellence Monsieur François HOLLANDE, Président de la République Française, qui par leur sens de responsabilité, ont soutenu une intervention armée qui ne veut pas dire extermination d’une ethnie ; ce sont des professionnels qui y seront avec l’armée du Mali. Autant l’Amérique et l’OTAN n’ont pas négocié avec Oussama BEN LADEN, autant le Mali ne pourra pas négocier avec les ramifications de cet islamiste. Sachons surtout que le MNLA est une organisation terroriste tout comme Aneçardine, AQMI et ALQAÏDA.
Des enjeux géostratégiques terribles parfois insoupçonnés au niveau sous-régional et international compliquent aussi la gestion de ce dossier. C’est pourquoi, en cas d’opérations militaires, il faut absolument le renforcement de la sécurisation des chancelleries, des institutions de la République, des sièges des organisations sous-régionales et internationales. Sinon la surprise peut-être très amère ; le Mali n’ayant pas une expertise solide dans la gestion du terrorisme international.
Pour terminer, je vous demande de ne pas prendre en considérations nos diatribes du désespoir se manifestant parfois par des insultes et manquements graves aux rapports de bon voisinage, aux organisations sous-régionales et internationales sans lesquelles le Mali ne vaut pas une brindille. Et sachez surtout que c’est la position d’un groupuscule d’opportunistes en mal de popularité, tout en opérant par désinformation d’une population majoritairement analphabète et par insanités de tous genres, pense que l’occasion est opportune pour s’implanter et s’imposer avec la situation politique actuelle.
Je sais que vous me comprenez et que ma petite plume parfois acerbe ne vous découragera point. C’est à ce prix que moi et bien d’autres Maliennes et Maliens retrouverons la joie de vivre et savourerons à juste raison notre appartenance aux organisations communautaires et internationales.
Salutations et estime fraternelle.
Rien a ajouter. Votre lettre m’a touché du fong du cœur.
F:.
Nous disons que les présidents français avant d’être présidents ont cette fâcheuse habitude de dire durant la campagne présidentielle qu’ils mettront fin à la « France-Afrique » ou « Parrainage » 1fois élus
Nous disons 1fois élu le nouveau devient plus « France-Afrique » plus « Parrain » que le précédent
Nous disons comme l’exige les us et coutumes de ce type de rapport les présidents des anciennes colonies viennent faire allégeance au nouveau Parrain
Nous disons le nouveau président Parrain n’a pas également déroge à ce principe sacro saint lui qui dit mettre fin à la « France-Afrique » ou Parrainage
Nous disons chaque président de la France 1fois élu apporte sa « touche » en tant que Parrain selon sa personnalité
Nous disons regarder comment le nouveau président impose dicte au Mali menace au Congo Démocratique ferme les yeux sur le Gabon le Cameroun le Congo Brazza etc.
Nous disons au lieu de faire 2poids 2mesures il serai bon de laisser les gouvernements des anciennes colonies gouverner
Nous disons les présidents français n’ont jamais fait le Parrain avec l’Allemagne la Grande Bretagne la Suisse etc.
Nous disons décidément la France ne peut pas se passer de la « France-Afrique » ou du « Parrainage »
Parfait… Parfait… 😀 😀 😀
…”partenariat entre la France et l’Afrique”… 😀 … Haaa ! j’adore ce mot “PARTENARIAT”… La balle est dans notre camp. A nous de présenter des candidats sérieux pour des partenariats féconds entre les investisseurs français et les nôtres pour le développement de nos pays.
Finie la FranceAfric… Vive le partenariat….. 😀 😀 😀 😀
😆 😆 😆 😆
………TROU là , on inaugure aujourd’hui …
…TROU là ……cé …..PARTENARIAT ……
..Suffira maintenant de réclamer au nouveau “partenaire” le fric déjà volé et bouffé par l’autre ..chez lui .
L’aura juste à dire :….jé ten donneu un pé moins …….ké …..Tu sé pourkoi ké ! Jé remboursé ké !……..TROU là , on inaugure aujourd’hui …
…TROU là ……cé …..PARTENARIAT ……
.c’est moins compliqué , de toutes façons les dossiers sont déjà connus dans les chancelleries , et çà fait moins de bruit !
Il est vraiment bon ce Hollande .
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