C’est au conseil national du patronat que s’est tenu le samedi dernier, un panel de haut niveau sur la zone de libre-échange continentale africaine(ZLECAF) et cela dans le but d’échanger sur des difficultés qui minent les pays membres.
Cette cérémonie, initiée par la promotion Drissa Keita s’inscrit dans le cadre de la commémoration de la Journée de l’Afrique et celle de la CEDEAO dont le 48ème anniversaire est célébré le 28 mai. Par ailleurs, dans le souci de contribuer à la préparation de l’ensemble des acteurs concernés par la mise œuvre de cet instrument d’intégration économique au niveau continental, la Promotion Drissa Keita (1995-1999) des Sciences Economiques ( Ex ENA ) a organisé ce cadre d’échanges en vue de permettre à la population et les acteurs évoluant du secteur privé de s’imprégner davantage sur l’état des lieux de ce mécanisme d’intégration, son importance et ses difficultés. Au cours des travaux, les panelistes ont échangé au tour du thème : ” La zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF) : Enjeux, défis et perspectives pour les États membres de la CEDEAO: Cas du Mali”. Et les intervenants ont tous souligné la nécessité d’impliquer davantage le secteur privé dans les actions que mènent les membres de l’organisation; de faciliter le libre-échange des populations au niveau des frontières et de mettre en œuvre les politiques et stratégies connexes entre autres. Rappelons que parmi les 54 pays d’Afrique, seulement 46 ont signé et ratifié l’accord instituant la ZLECAF dont le Mali en 2018. Enfin, le président de ladite promotion Aboubacar Diop avait à ses côtés le représentant de la CEDEAO, Mario Gomez Fernández, Boubacar Ballo du ministère du Commerce et de l’industrie, Amadou Traoré de la CCIM, les responsables des services techniques de l’Etat et des Organisations du Secteur privé.
Yacouba COULIBALY
Coulibaly, quand on regarde l’Afrique a l’image de l’Inde, c’est la meme taille de population et les memes nombres de langues d’origine et d’ethnies meme si l’Afrique est plis balkanisée avec 54 eats alors que l’Inde en a 36, mais tres bien l’avantage que l’Inde a est qu’il n y a pas de barrières entres ses états c’est la libre circulation des biens et des personnes sans restriction aucune, et la meme chose aux Etats-Unis, le résultat de cet avantage est la force unie de tous autour du développement et le libre exchange, alors produisons Africain et consommons Africains nous allons tous sortir de la pauvrete en 5 ans au plus!
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