La cherté de la vie au Mali est un sujet au centre de tous les débats. Depuis des années, les populations nourrissent l’espoir de voir le bout du tunnel pour sortir définitivement de cette situation difficile. Malgré tout, cette situation persiste.
Avec la crise socio-politique dans notre pays, le prix des produits de première nécessité on connue une hausse alors que l’argent, qui est le nerf de la guerre, se fait rare. Ce qui impacte sur le panier ménagère et le quotidien de la population. Cette situation affecte aussi les commerces. “Nous avons beaucoup de mal à vendre nos produits à cause de l’augmentation des prix des denrées de première nécessité”, souligne Ibrahim Touré, boutiquier.
En faisant un tour au marché le constat est amer. Le kilo du riz est vendu entre 350 et 400 F CFA selon les lieux et les qualités. Le prix du kilo du sucre varie entre 450 et 500 F CFA selon les boutiques. Le kilo du mil va de 250 à 300 F CFA, le maïs quant à lui se trouve à 200 ou à 225 F CFA. Le prix du sorgho est de 325 à 350 F CFA selon les lieux de vente et l’arachide est à 525 F CFA le kilo.
Les prix des denrées de première nécessité sur les marchés de Bamako sont instables. Face à cette situation, les populations ne se fatiguent pas de dénoncer cette hausse constante des produits sur le marché. “Visiblement ce n’est qu’un début, les commerçants testent la réaction des consommateurs et de l’Etat, quand il n’y a pas de réaction contre leur cupidité, la flambée est maintenue. Et comme on a un gouvernement laxiste, il ne faut plus s’attendre à ce que les prix redescendent à un niveau supportable pour les pauvres consommateurs”, s’emporte Youssouf Niambélé, un chef de famille.
Cette augmentation des prix concerne tous les produits que ce soit les produits importés et ceux fabriqués localement. “Sur le marché tout est cher, même les légumes”, assure Fanta, une ménagère. Avant de rappeler que cette augmentation des prix impacte sur la vie socio-économique des Maliens.
Pour changer cette donne, les populations ne doivent compter que sur elles-mêmes. “Réveillons-nous ! Parce que nous ne pouvons plus compter ni sur les autorités, ni sur les syndicats, encore moins les associations de consommateurs pour nous défendre contre la cupidité machiavélique de nos commerçants et opérateur économique”, suggère Moussa Koné.
La principale raison évoquée par les uns et les autres, est que la cherté de la vie est la conséquence directe de la mauvaise gouvernance.
Il est temps que les autorités tiennent compte des réalités que vivent les Maliens pour songer à alléger leurs souffrances. Les associations de consommateurs devront se réhabiliter aux yeux des citoyens en rompant le silence.
Zié Mamadou Koné
Stagiaire
Je crois que dans cette situation même si le gouvernement à une part à jouer; il revient aux associations des consommateurs d’entreprendre des actions en vue de dénoncer toutes augmentations injustifiées et mener des actions afin que des solutions puissent y être trouvé.
La principale raison évoquée par les uns et les autres, est que la cherté de la vie est la conséquence directe de la mauvaise gouvernance. 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8)
Que des ignorants le disent c’est compréhensible mais que toi journaliste ait le courage de publier cela ; cela démontre que ces personnes sont plus intelligentes que toi. 💡 💡 💡 💡 💡
On doit pouvoir dire que l’état subventionne les denrées de premières nécessités mais ce sont nos commerçants qui voulant se remplir les poches à tout prix ne manquent pas d’astuces pour renchérir les prix des marchandises.
Vie chère : Le calvaire sans fin des consommateurs 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8)
Mais si nous sommes des spécialistes de la spéculation comment pouvons nous bien nous ne sortir.
Malgré les normes que posent l’état concernant la fixation des prix; chaque commerçant impose le prix qui lui sied prétendant qu’il a obtenu les marchandise à un coup élevé pourtant souvent il s’agit des produits subventionnés par l’état. C’est donc normal que les choses deviennent chères.
Cette situation est imputable à nos commerçants car ils augmentent les prix comme bon leur semble.
Imaginez vous un instant je prends un exemple banal: une plaquette d’œufs que j’ai l’habitude d’acheter à 2000 et que le commerçant me dit que le prix est de 2300 francs sans pouvoir donner de raison valable à mes questions. Est ce que là encore c’est la faute au gouvernement?
Soyons objectifs et voyons les choses en face car nous sommes nous même responsables de cette situation.
Aujourd’hui nous faisons face à une triste réalité car nous aimons vivre au-dessus de nos moyens; comment pouvons nous nous en sortir?
Ce n’est pas une question de gouvernement mais une question de limiter ses dépenses au strict NÉCESSAIRE car on ne peu pas dépenser son salaire dans des futilités.
A quelle fin? Et on veut bien vivre. Les cours du carburant sont ajustés selon les cours mondiaux mais il n’y a pas répercussion sur le coût du transport. Il revient aux associations de consommateurs de mener des actions dans ce sens.
Les dispositions sont déjà prises car l’état subventionnent les engrais et certains produits de premières nécessités afin que les produits puissent revenir moins chers aux populations. Mais les commerçants qui veulent se faire des profils allant souvent jusqu’à 150% sont les responsables de cette situation.
Comment comprendre par exemple qu’on achète 1 kilo de tomates au paysan pour 400f et le revendre à 1000 f?
Ça aussi c’est le gouvernement?
Il faut vraiment que les autorités chargées du contrôle des prix prennent des mesures répressives contre les personnes qui ne respectent pas les prix fixés par le gouvernement et aussi ceux qui font de la concurrence déloyale.
Ne cherchons pas de bouc émissaire ce sont nos commerçants et vendeurs qui sont à la base de cette situation. Il faut donc punir par des amendes ceux qui se rendront coupables de spéculations car l’état fait déjà sa part à travers les subventions de certains produits.
Tout ce que nous pouvons faire c’est de soutenir le président pour ce qu’il fait dans le sens du bien être des maliens.Encore à vous… 😛 😛 😛
Les livres saints ont dit que chacun mangera à la sueur de son front.Mais toi tu es assis dans un salon à écrire des articles de merde,c’est sûr que tu vas souffrir.Mais de là étendre ta situation à tous les maliens,vous êtes dans le faux.Le président fait tout son possible pour que ses compatriotes soient à l’aise.Merci à IBK et vive le Mali.
Vous vous acharnez sur le Président et sa politique.Lui il travaille sans même vous écouter.Comprenez donc que ce que vous dites n’est pas du tout important.IBK a un seul souci: le bien être de ses compatriotes.Merci président,ton peuple te soutient. 😛 😛 😛 😛
Il est vraiment important de reconnaitre les efforts des uns et des autres pour sortir ce pays du trou.
Le président IBK a réussi à faire en deux ans ce que d’autres n’ont pas pu faire en deux mandats.
Que voulez vous de plus?
Soyez quand même honnêtes et reconnaissez les mérites de l’homme…
Dire que la vie est devenue plus chère avec l’arrivée du président IBK,c’est vraiment faire preuve de mauvaise foi.
Il est venu trouver cette situation et c’est lui qui fait tout pour y apporter des solutions.
Les maliens commencent même à ressentir les retombées de ses actions.
Merci IBK…
Dans un pays qui sort d’une crise comme le nôtre,nous ne devons pas être aussi pressés pour ressentir les impacts de la croissance.
Nous devons plutôt être patients pour permettre aux autorités de consolider cette croissance afin que les retombées soient durables.
Je suis malien et je suis fier voir même heureux d’apprécier avec honnêteté les bienfaits de IBK. Pendant que d’autre pays souffre de martyre soyons tous fier des compétences d’IBK. C’est le meilleur.
J’ai confiance en l’état malien. En sa souveraineté et en sa qualité de gérer les affaires de l’état.
De part et d’autre nous pouvons affirmer que le mali est un pays ordonné depuis la superbe venu de IBK. J’ai confiance en notre président et je croix en lui
la politique n’est pas faite pour ceux qui ne veulent pas comprendre. Le journalisme du mali court directement à la dérive. Pour parler d’un état en faillite il faut d’abord évaluer les médias qui n’informent pas la population des actions posées par l’état malien.
Un pays développé c’est un pays d’abord non corrompu. Qui travaille sur les règles du chef de l’état. Si les média maliens ne travaillent pas sous les règles de la nation. Notre pays cours vers la ruine.
Par le biais de la corruption que subit notre pays Nous pouvons affirmer que la corruption des médias bat son plein dans ce pays. Les différents partis politiques contrôlent les médias en vue de solliciter leurs œuvres
la vie a toujours été cher et personne ne s’est plein depuis les présidents antecedants
Pour moi l’état malien est à sollicité. Il faut comprendre et savoir qu’en moins de 2ans IBK n’a jamais cessé de nous surprendre, à savoir les 3milliards d’euros et l’arrivée des futurs investisseurs.
IBK est à saluer et à encourager
“Quotidien des Bamakois : La vie n’est pas facile ! ” dixit DK dans la parution du quotidien Tjikan.
Effectivement, la vie n’a jamais été facile. Mais, l’Etat est entrain de mettre tout en place pour remédier à ce phénomène grandissant dans notre société. Cela ne saurait se réaliser sans la volonté de tous car nous population sommes coupables aussi de cette cherté de vie.
Vous savez chers journalistes le mali regorge en lui d’énormes qualité politique et un entourage intellectuel et travailleurs. C’est ça le mali .il faut encourager l’état malien dans ces action pour vous mettre en sécurité. Merci IBK et vive le Mali.
Vous savez aussi bien que le mali de par se terre importe certains produits des pays voisins.
Alors IBK a quoi à voir là dédans. Président le peuple t’encourage.Travaille
« Le dernier trimestre 2014 a été marqué par des efforts importants pour renforcer la gestion des finances publiques en insistant sur le respect des règles budgétaires et de passations des marchés », a-t-il ajouté.
Se félicitant de la confiance retrouvée entre son pays et le FMI, Mamadou Igor Diarra, le ministre malien de l’Economie, a déclaré que « le gouvernement malien était décidé à lutter contre la culture de l’impunité et à s’atteler à avoir une économie performante pour assurer le développement du Mali ».
Alors qu’a fais le président
« En 2014, l’économie malienne a renoué avec une croissance vigoureuse, enregistrant une augmentation de 7,2% du PNB. Ce chiffre est à comparer aux résultats de 2012, année où la croissance a été nulle en raison de la crise sécuritaire », a déclaré vendredi Christian Josz, chef d’une délégation du FMI qui s’est rendue à Bamako.
Au cours d’une conférence de presse, il a rappelé qu’en 2013 « la croissance n’a pas dépassé 1,7% à cause d’une mauvaise récolte ». Le pays avait plongé en 2012 dans une très grave crise marquée par un coup d’Etat militaire et la prise de contrôle du nord du pays par des groupes islamistes – alliés à Al-Qaïda – jusqu’au début 2013.
Se félicitant de la confiance retrouvée entre son pays et le FMI, Mamadou Igor Diarra, le ministre malien de l’Economie, a déclaré que « le gouvernement malien était décidé à lutter contre la culture de l’impunité et à s’atteler à avoir une économie performante pour assurer le développement du Mali ».
Alors qu’a fais le président
Alors on constate que l’économie malienne accroît et aussi la jeunesse comm)ience à beneficier des emploi alors quel est le problème
” Et comme on a un gouvernement laxiste, il ne faut plus s’attendre à ce que les prix redescendent à un niveau supportable pour les pauvres consommateurs ”
Mon cher Zié Mamadou Koné , concernant la cherté de la vie dont vous évoquiez, l’Etat a déployé tous les moyens possibles pour lutter contre ce phénomène malgré la crise que nous traversons. Arrêtez d’empirer la situation comme quoi la population Bamakoise souffre le martyre.
Tout à fait, les autorités mettront tout en oeuvre pour alléger les souffrances des Bamakois voire toute la population entière. Cependant, l’Etat lui seul peut pas tout faire. Donc, il faut que nous lui facilitons cette tâche.
Pour ma part, je pense que monsieur le journaliste, vous feriez mieux de relayer les faits tels qu’ils sont. Cette cherté est du en partie par nous même du jour au lendemain le prix des denrées alimentaires grimpent sans aucune raison valable. L’Etat est-il le seul responsable? Je NON ! Il faut que chacun joue son rôle.
A mon humble avis, cette situation incombe en grande partie à nos commerçants. En effet, les prix des denrées augmentent tout le temps par ces derniers malgré les efforts de l’Etat. Ils sont responsables de cette situation. A eux de jouer leur partition pour le bien-être de tous.
La flambée des prix des denrées alimentaires sur le marché de jour en jour est le fait de nos commerçants malgré les efforts consentis par l’Etat. Il faut que chacun joue son rôle pour le bien-être de la population.
Le défi de la cherté de la vie nous interpelle tous, mais en particulier nos commerçants. Car, ces derniers sont les premiers responsables de cette cherté de la vie. Que voudraient les efforts de l’Etat si ceux-ci n’honorent pas leurs engagements dans ce challenge ? Je dirai à RIEN. Donc que chacun respecte ses engagements dans cette lutte commune.
” Vie chère : Le calvaire sans fin des consommateurs ”
Mon cher Mamadou Koné, contrairement à ce que vous vous voulez nous faire croire, le gouvernement fait beaucoup d’effort pour le bien-être de la population. Nous encourageons le gouvernement à toujours oeuvre pour le bonheur de la population malgré les difficultés.
Malgré la crise que nous traversons, l’Etat n’a aménagé aucun effort à se consacrer au bien-être des citoyens. Il faut que les uns et les autres comprennent cet état de fait et encourager le gouvernement dans cette dynamique.
Le gouvernement malien a entrepris de nombreuses réformes incitatives afin de valoriser son formidable potentiel naturel. Grâce à un code des investissements très attrayant, Bamako entend redorer son image et devenir la plaque tournante des investisseurs.
Selon le FMI, le taux de croissance prévu pour 2016 s’établirait à 5,4 %
Pour conforter cette relance économique, le Mali mobilisera 453 milliards de F CFA au terme de l’année 2015 sur le marché sous-régional, où le pays jouit à nouveau d’une bonne cote. Ce qui laisse augurer de belles perspectives.
les finances publiques ont recouvré leur santé. En ce qui concerne les opérations avec l’extérieur, le compte courant de la balance des paiements s’est considérablement amélioré ces douze derniers mois, ce qui traduit le gain de compétitivité de l’économie malienne.
Les critiques toujours des critiques, rien que des critiques et encore des critiques à l’encontre de l’État. La presse malienne, depuis fort longtemps a stoppé son rôle primordiale qui reste celui de l’information, elle a maintenant pour rôle de perturber la conscience publique et stabilité politique.
Le compte courant de la balance des paiements s’est considérablement amélioré ces douze derniers mois, ce qui traduit le gain de compétitivité de l’économie malienne
Il faut des volontés privées car l’état seul ne peut tout faire.
Les réformes qui ont apporté une bouffée d’oxygène à notre économie. L’annulation des 45 milliards de F CFA [68,6 millions d’euros] de dette avec la France, le retour de l’aide au développement, ainsi que la signature de nombreuses conventions de financement portant sur la réalisation d’un grand nombre de projets illustrent ce retour de confiance de nos partenaires
Mr le stagiaire vous êtes à la fois sadique et cynique
Vous manquez de formation de journaliste sinon IBK a fait beaucoup il faut que les commerçants lui emboîtent pas.
Une honte pour notre pays si jamais vous en êtes un
INTOXICATEUR vous demeurerez stagiaire
Avec IBK l’espoir est permis, Oui, l’espoir est permis, parce qu’il existe un cadre pour le processus de paix, avec la signature de l’Accord d’Alger, dont la mise en route permettra à notre cher pays de recouvrer la souveraineté perdue dans la région de Kidal.
Oui, l’espoir est permis, parce que le Mali bouge. Malgré les difficultés conjoncturelles, le Mali progresse, avec un taux de croissance de 7,2%, contre 1,7% au moment où IBK venait aux affaires, en septembre 2013. Qui dit mieux!
Oui, l’espoir est permis, parce que le Mali est un pays où le climat des affaires est propice, un pays prisé par les investisseurs, qui se bousculent au portillon. Le Représentant de la Banque Mondiale pour les opérations au Mali vient de confirmer que les clignotants à Bamako sont au vert et son institution encourage les porteurs de projets à venir au Mali.
Même son de cloche chez le Représentant du FMI au Mali, qui martèle haut et fort qu’avec l’avènement d’IBK au pouvoir, «le Mali a décollé».
Pourquoi inciter la haine mon cher pacotille de journaliste
Le travail du Ministre de l’économie et des finances, son dévouement, son envie de bien faire, son engagement et sa volonté de voir ce pays se développer font qu’aujourd’hui notre pays a atteint un niveau de croissance record jamais égalé, soit 7,2% de croissance !!!
La cherté de la vie est un phénomène mondial donc ne cherchons pas à soulever des discours de sourds.
Des mesures sont en cours sur le coût des maisons. Les propriétaires des maisons profitent pour augmenter les loyers.
Cette cherté nous avons notre part de responsabilité dans cette histoire. Les commerçants augmentent les denrées comme ils veulent alors qu’il n’y a plus de barrages sur nos routes
Nous venons d’une crise donc cela n’est pas facile. IBK a mis une équipe très compétence pour la lutte contre la pauvreté
La cherté de la vie ne date pas d’aujourd’hui c’est la loi du commerce celle de l’offre et de la demande.
Elu à 77% par le peuple malien en 2013, le Président IBK a fêté les premiers deux ans de son accession au pouvoir le vendredi 4 septembre dernier, dans un climat de confiance et d’espoir de toute une Nation.
Oui, l’espoir est permis, parce qu’il existe un cadre pour le processus de paix, avec la signature de l’Accord d’Alger, dont la mise en route permettra à notre cher pays de recouvrer la souveraineté perdue dans la région de Kidal.
Oui, l’espoir est permis, parce que le Mali bouge. Malgré les difficultés conjoncturelles, le Mali progresse, avec un taux de croissance de 7,2%, contre 1,7% au moment où IBK venait aux affaires, en septembre 2013. Qui dit mieux!
Oui, l’espoir est permis, parce que le Mali est un pays où le climat des affaires est propice, un pays prisé par les investisseurs, qui se bousculent au portillon. Le Représentant de la Banque Mondiale pour les opérations au Mali vient de confirmer que les clignotants à Bamako sont au vert et son institution encourage les porteurs de projets à venir au Mali.
Oui, l’espoir est permis, avec des projets structurants pour sortir des villages du noir, de l’obscurité, avec tout l’impact que l’électrification peut apporter, en termes de développement, de sécurité et de joie de vivre dans une agglomération.
Oui, l’espoir est permis, parce que le Mali s’acquitte ses dettes intérieures pour relancer l’économie, avec le payement aux banques et aux particuliers de la somme de 500 milliards de nos francs en l’espace de six mois.
Oui, l’espoir est permis, parce que l’école se stabilise d’année en année. L’enseignement supérieur se modernise, les examens se crédibilisent davantage, les bourses sont distribuées dans la plus grande transparence, performance jamais égalée au Mali.
Oui, l’espoir est permis, parce que notre armée nationale, auparavant dans un dénuement total, est en train d’être équipée, doucement mais sûrement. Avec la Loi de programmation militaire, soit 1500 milliards de nos francs sur 5 ans. Ses primes et autres avantages ont également connu une hausse sensible.
Oui, l’espoir est permis, parce que la lutte contre la corruption, qui anéantit tous les efforts du gouvernement, est bel et bien engagée. La volonté politique et la détermination du chef de l’État à combattre ce fléau ne font l’ombre d’aucun doute. Tous les dossiers à son niveau ont été transmis à la justice. Il revient donc à celle-ci de jouer pleinement sa partition.
Merci IBK! Merci pour votre utilité à votre peuple, merci pour les routes, les logements sociaux, le désenclavement intérieur du pays, les centres de santé, les instituts et centres de formation. Merci pour votre respect envers le peuple. Merci pour tout et, surtout, beaucoup de courage.
Peut-être que la vie est chère maintenant, mais je suis sûr que ça va aller avec IBK !!! Même son de cloche chez le Représentant du FMI au Mali, qui martèle haut et fort qu’avec l’avènement d’IBK au pouvoir, «le Mali a décollé». Donc on a vraiment pas à s’inquiéter !!! 😥 😥 😥
Moi ce dont je ne comprends pas dans mon quartier, les commerçants détaillants ont pas tous la même quantité malgré que les prix sont les même. Surtout concernant les denrées de première nécessité. J’ai fait ma petite enquête et j’ai remarqué que c’est toujours la faute des fournisseurs mais très souvent des revendeurs aussi. Tout le monde à sa part de responsabilité dans cette affaire de la hausse des denrées de première nécessité.
😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 En toute franchise, les prix des denrées alimentaires ne font que flambée. On se demande même parfois si le Mali des autorités. 😳 😳 😳 😳 😳 😳 C’est lamentable, mais essayons encore de mettre un peu de l’eau de nos vins. 👿 👿 👿 👿 👿 👿 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Je comprends l’inquiétude de la population, mais la population doit prendre son mal en patience. Vue cette crise multidimensionnelle dont traverse le pays, le gouvernement n’arrive pas à ce tourner comme il le faut dans ce problème. Le gouvernement est conscient des maux de la population malienne, le gouvernement est en train de chercher une sortie de crise plus favorable.
Tu as raison, le gouvernement malien depuis un certain temps commence à faire des travaux salutaires dans ce domaine. Le gouvernement au paravent a reçu à subventionner le prix de plusieurs denrées alimentaires sur le marché.
Certes, actuellement la vie est dure, le quotidien de la vie devient de plus en difficile pour plusieurs personne, le gouvernement est au courant de cette situation. Le gouvernement est en train de prendre des dispositions possibles pour que la population malienne puisse au moins être soulagée dans l’obtention de son quotidien.
Certes, le gouvernement est le premier concerner, mais en réalité le gouvernement pas le fautif. C’est la faute de la société civile en particulier, les revendeurs. Le gouvernement n’est en œuvre pour que les couts des denrées soient abordables à la population.
Dans tous les pays d’Afrique la cherté de la vie est devenue presqu’un quotidien. Notre pays traverse l’une des crises les plus pénible de son existence. Les marchandes, transporteurs, opérateurs économiques et commerçants grossisses comme détaillants de mauvaise foi profite de la situation.
Les autorités ne méange aucun effort pour améliorer les conditions de vie des maliens. Tout récemment, le président de la république à tenu à dire aux maliens sa volonté d'offir une sorte de paradis sur terre aux maliens.
Certes, le gouvernement à sa part de responsabilité dans cette affaire mais, les commerçants aussi. Les commerçants doivent être de bonne foi et tarifié raisonnablement leurs marchandise.
Je pense que le gouvernement fait de son mieux, pour la régularisation de cette situation. Le gouvernement ne reste pas indifférent vis-à-vis de la situation mais, la crise dont traverse le pays est connu de tous.
La cherté de la vie n’est une chose étrange dans ce pays. Depuis le jour où le premier président du Mali démocratique a été relevé de ses fonctions par un coup d’état militaire, les maliens n’ont pas connu de vie aisée. Au lieu de se mettre à situer les responsabilités, ensemble trouvons une solution à cela en accompagnant les autorités en place.
Le président de la République n’a pas besoin de dire aux maliens d’être patient, mais en tant que citoyen lambda nous seront être patient. Il suffit juste que nous comprenons qu’au bout de deux ans le Mali ne peut complètement sortir de son trou. Il faut du temps, il a encore trois ans devant lui pour donner un résultat satisfaisant.
Le mois passé nous avons assisté à la rechute du prix de la viande, seulement pour vous soulignez que le gouvernement n’est pas en reste même le gaz butane est subventionner par l’Etat. L’Etat fait de son mieux comme il peut pour qu’au moins les denrées de première nécessité soit à la porter de la population. Comme on le dit si bien « Il n’y a pas de fumée sans feu ». Les autorités ont simplement poussés le bouchon loin pour que l’économie de notre pays puisse se redresser et voler de ses propres ailes.
Vue la crise multidimensionnelle dont traverse le pays les commerçants et les fournisseurs doivent faire preuve de patriotisme et de bonne foi. Les fournisseurs, les commerçants grossis et détaillants profitent toujours de la situation pour rehausser le prix des denrées de première nécessité. Le pays appartient à tous et tout le monde doit donner le meilleur de soit pour sa bonne cause. Le gouvernement produit des efforts à la population en particulier les vendeurs d’en faire de même.
La cherté de la vie n’est pas une chose d’extraordinaire dans un pays qui traverse la crise. Au moins Ibrahim Boubacar a pris le pouvoir en faveur de cette crise, contrairement à ses prédécesseurs. Les gestions de ces derniers ont été toutes frappées par les maux que vous dites ici, M. le journaliste. Et pourtant eux ils sont venus en temps normal. Je peux même dire qu’IBK a hérité de ces mauvaises gestions des affaires publiques qui ont donné naissance à la crise d’aujourd’hui.
Ibrahim Boubacar Keïta a donné l’impression aux maliens de faire mieux que ses successeurs à travers ses actes patriotiques. Il s’agit de la signature d’un compromis de paix, de la loi de programmation militaire, de l’institution du poste de chef de file de l’opposition politiques, des 15552 logements sociaux de N’Tbacoro, des 16000 emplois créés, de la première place qu’a occupée notre aéroport dans l’Afrique de l’Ouest, des commandes des aéronefs, j’en passe. Cela pendant deux ans de crise multidimensionnelle. Il faut être un ingrat pour ne pas valider le bilan des 2 ans de gouvernance d’IBK.
Je me demande ce que les attendaient et attendent toujours d’IBK. Après avoir été élu à la Magistrature Suprême de notre pays en période exceptionnelle, la rébellion qui n’épargne rien. Les compatriotes malintentionnés disent encore que la vie est devenue chère sous le régime d’IBK. Aucun malien n’est censé ignoré cette cherté depuis le régime d’Alpha Oumar Konaré. Mais je ne suis pas surpris d’attendre cela de la bouche d’un journaliste. Car nos journalistes sont tous des corrompus et des détracteurs payés par les opposants, tels que Soumaïla Cissé et Tiébilé Dramé.
Le peuple ne peut jamais se sentir trahi, si c’est vrai qu’IBK compte réellement se présenter au second tour des élections présidentielles. Car c’est- dans son intérêt qu’il fera les choses sans qu’on ne lui force. Donc, wait and see.
C’est aussi facile que cela de dire que la vie est chère au Mali. Notre pays vient de traverser une crise. C’est le fondement de la cherté de la vie.
C’est vrai qu’IBK et son gouvernement ont fournis des efforts, mais l’important reste à venir encore. La réduction des prix des premières denrées alimentaires est l’une des attentes favoris des maliens.
C’est vrai qu’IBK et son gouvernement ont fournis des efforts, mais l’important reste à venir encore. La réduction des prix des premières denrées alimentaires est l’une des attentes favoris des maliens.
Quand est-ce que les maliens comprendront que le président de la république ne doit et ne peut pas être tenu responsable de tous les maux du pays. Les frais de transports relèvent d’une structure qui a une tutelle. Pourquoi ne pas s’en prendre au ministre des transports?
Soyons patient et comprenons que ces deux dernières années ont été très dure. N’oublions pas non plus qu’il a été élu pour cela, donnons-lui le temps d’ici la fin de son mandat le maximum sera fait, s’il tient au deuxième mandat bien sûr.
La cherté de la vie n’est pas du tout une fin. Comme on a l’habitude de le dire, çaa fini touours bien. Donc si ça va pas c’est que ce n’est pas la fin.
Il y a des services qui doivent s’occuper de certaines choses. Le président à plein de choses à faire qu’il ne peut tout seul s’occuper de tout. Raison pour laquelle aussi les tâche dans une république sont partagés entre différentes structures.
Vous êtes un sale égoïste, cher journaliste. Aujourd’hui, les maliens peuvent dire Dieu. Grâce à l’avènement d’Ibrahim Boubacar, les maux des maliens ont tendance à disparaître pour de bon. LA vie n’est plus chère comme elle l’était avant l’arrivée d’IBK.
Monsieur le journaliste, en toute franchise, j’ai été déçu par votre article du jour. Je m’attendais pas à une telle analyse de votre part. Dites-moi en toute sincérité si la vie est toujours chère, malgré les efforts déployés par les autorités en places depuis fin 2013?
Ne soyons pas ingrat vis-à-vis de ses efforts fournis pour ressortir ce pays dans l’impasse. La crise multidimensionnelle que traverse notre cher Mali empêche notre pays de s’envoler. Néanmoins, nos dirigeants peuvent trouver une solution pour diminuer les prix des premières nécessités.
Elu à 77% par le peuple malien en 2013, le Président IBK sait pertinemment ce qu’il fait. Ce climat de confiance le peuple malien a envers lui ne s’effondra jamais dans le cavité. Je suis sûr que d’ici la fin de son quinquennat il saura combler au minimum les attentes des maliens.
Tout à fait l’espoir est permis, rien n’est perdu, si nous avons perdu la bataille, la guerre non. Ces deux ans et demi restants doivent apporter la joie sur le visage du peuple malien. Si IBK veut opter pour la présidence en 2018, il faut qu’il revoie des détails comme celui-ci.
L’espoir est permis, Malgré les nombreux obstacles qui s’opposent, IBK fait tout pour maintenir la vie des maliens. Mais l’Etat doit penser à réduire les prix, il faut que le euple se sente mieux quelque part d’autre en dehors de l’insécurité. 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥
C’est vrai que la bonne nuit se sent depuis le crépuscule, mais la patience aussi est un chemin d’or. Même après deux ans de gestion peu raffiné, a mon humble avis rien ne nous empêche d’attendre et espéré encore. N’oublions pas qu’il a été à 77 % par nous les citoyens lambda, quoi qu’il en soit nous devons le soutenir jusqu’à la fin de son quinquennat.
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