Si pour la majeure partie de la population, elle est vue avec méfiance, voire répulsion, sa consommation commence à faire de plus en plus d’adeptes dans le milieu juvénile de la capitale
La cynophagie qui est la consommation de la chair de chien comme aliment est acceptée dans certaines sociétés ouest africaines. Dans le pays bwa, c’est normal de voir un homme conduire sa meute de chiens vers un marché, comme son cousin peul son troupeau de vaches dans le Gourma. Mais quand la pratique fait irruption dans une capitale en milieu juvénile, elle inspire forcément des questions, des méfiances. Pourquoi des jeunes consomment-ils de la chair canine ? Cette chair est-elle dangereuse ? Est-ce légal de consommer de la viande de chien ?
Le récit désopile encore la rate dans les grins. Mais, dans le rang des spécialistes, des cynophiles (amoureux du chien)… il inspire inquiétude et étonnement. « Une seule morsure ou griffure de chien enragé ! C’est fini ! Vous avez la rage ! », mettent en garde les premiers. « Mais qu’est-ce qu’un adolescent de la ville peut trouver de mieux dans la chair canine qu’il ne trouverait dans la chair halal ?», s’interrogent les seconds. Attardons-nous un peu sur cette question. En fait, la plupart de ces fous de « Bâni koudjan » (chèvre à la longue queue, pseudonyme que ces jeunes donnent au chien) fument de l’herbe, s’humectent le gosier et aiment la charogne. Il faut sans doute voir à travers le prisme de ces substances (l’alcool et l’herbe) pour aimer la chèvre à la longue queue.
Nom de code désignant la chair canine à laquelle un amour sans borne lie désormais certains jeunes. Ils chassent les chiens qui errent, n’hésitent pas à abattre le chien du voisin parfois. Le soir, ils en font un souper. Terme qui convient puisqu’ils attendent l’endormissement de tout le quartier pour mettre la marmite sur le feu. « Un soir, je suis rentré tardivement. Dans la rue un groupe de jeunes qui s’apprêtaient à banqueter m’ont invité.
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HÉÉÉÉ…..ÉHHHH…ZANKÉÉ…….!
IL Y A ESPOIR…! NOS JEUNES Á BAMAKO FONT DU BON BOULOT AVEC LA VIANDE DE CHIEN…!!
IL FAUT FAIRE GOUTTER CETTE BONNE VIANDE-DIBI AUX IMAMS DU PAYS AFIN QUE LE PAYS RETOURNE Á LA PAIX.
chariah= voie, chemin, route, ni plus ni moins….
halal veut dire legal ni plus ni moins…
LEGAL CHEZ TOI ILLEGAL CHEZ MOI, V.VS
HALAL VEUT DIRE LEGAL! RECOMMANDE PAR L ARABE! QUI NA PAS LES ANIMAUX QUE NOUS AVONS, S ILS NE MANGENT PAS LE CHIEN CELA NE VEUT PAS DIRE QUE NE DEVONS PAS MANGER CA!
ILS MANGENT LE CHAMEAU, NOUS AUTRES NE COMPRENONS PAS COMMENT ON PEUT MANGER CA! C EST COMME MANGER SON CHEVAL, POUR NOUS AUTRES!
Ce sont les OCCID€NTAUX qui ont fait une fixation raciste sur cette aliment comme un autre!
Ces OCCID€NTAUX qui sont habitué à GA$PILL€R et à CRACH€R dans la $OUP€
« Mais qu’est-ce qu’un adolescent de la ville peut trouver de mieux dans la chair canine qu’il ne trouverait dans la chair halalidiotie ?»
SOGOBEE SOGO, ANW MA SOSGO BO SOGO LA! MANGEZ LE CHIEN LE CHAT TOUT CE QUI EST PROPRE ET DELICIEUX.
La jeunesse Bamakoise est telle que je ne serais pas surpris d’apprendre un jour qu’elle est passée au cannibalisme. 😎😎
Donc le journal l’Essor est désormais à l’image du Mali.
Rien de sérieux.
On veut faire du sensationnel mais comme il n’y a pas d’idée, on invente une imbécilité.
Oui, les jeunes font de la soupe avec la viande de chien et des cailloux comme pomme de terre. A la place de sel ils utilisent la poussière de terre et quand la soupe est prête ils utilisent des fagots de bois comme du pain. Quand ces jeunes sont rassasiés, il boivent leur urine en guise de boisson.
La semaine prochaine, le journal Essor fera un reportage sur d’autres jeunes qui, la nuit tombée, vont dans les cimetières, déterrent les morts et font de la grillade.
Maliweb devrait faire l’effort de faire une selection des articles dignes d’être publier.
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