Le président de la Convention Nationale pour une Afrique Solidaire C.N.A.S. Faso Hèrè, le Dr. Soumana Sako, accompagné d’une forte délégation constituée des membres du bureau politique du parti et des jeunes de Badalabougou, s’est rendu, le lundi 27 juillet 2020 dans les familles endeuillées et des blessés des événements des 10, 11 et 12 juillet 2020. L’ancien Premier ministre a présenté ses condoléances aux familles endeuillées tout en leur apportant des vivres et une somme d’argent.
La répression au sang des manifestations du M5-RFP des 10, 11 et 12 juillet 2020 à Bamako a été vigoureusement condamnée par plusieurs partis politiques et autres associations de défense des droits de l’homme du Mali. Le président de la Convention Nationale pour une Afrique Solidaire C.N.A.S. faso hèrè et ses militants ont jugé nécessaire de se rendre dans les familles des victimes endeuillées et des blessés pour présenter leurs condoléances et souhaiter prompt rétablissement aux blessés tout en leur donnant des vivres accompagnés d’une somme d’argent. Dans la famille Doumbia où le jeune de 16 ans Sidi Mohamed Doumbia a perdu la vie ,en passant par la famille Traoré où Adama Traoré avait succombé ainsi que les familles Sylla et Bolly où Bah Sylla et Halidou Bolly étaient morts, Dr Soumana Sako a présenté les condoléances du parti. «Notre peine n’est rien à côté de l’épreuve que vous traversez. Nous sommes de tout cœur avec vous. Nous partageons votre peine en ce moment de deuil et vous assurons nos sentiments les plus affectueux. La mort est amère et rien ne peut remplacer une vie humaine», a lancé douloureusement le président de la C.N.A.S. Faso Hèrè. Dans les familles des blessés, la délégation a également souhaité prompt rétablissement aux blessés tout en formulant des prières afin que le Mali ne vive plus un événement du genre et retrouve sa quiétude.
Moussa Samba Diallo
Une démocratie véritable exige la séparation des POUVOIRS.
Quand la séparation est respectée, on parle d’institution forte.
Elle n’est pas respectée,on assiste à la puissance d’une personne comme on le constate en France et dans ses colonies.
La volonté de l’élu au sommet de l’État est plus prise en compte que le respect des règles de fonctionnement de l’État.
Il est, dans la pratique, au dessus des lois car aucun contre pouvoir institutionnel pour le canaliser dans son rôle.
L’homme politique élu ecrase les institutions.
À la fin des fins, le peuple est obligé de s’indigner fortement dans la rue pour faire respecter les règles de fonctionnement de l’État comme on le constate actuellement chez nous,comme ça se fait régulièrement en France.
TOUT DÉPEND DE LA QUAALITÉ DE LA LOI FONDAMENTALE QUI RÉGIT LA PRATIQUE POLITIQUE.
Le constat est fait que les pays qui ont fait le choix du régime parlementaire,les activités des hommes politiques sont encadrées par de façon scrupuleuse.
Les autres POUVOIRS fonctionnent à souhait
Les représentants du peuple jouent parfaitement leurs rôles alors que le parlement est une caisse de résonnance, s’il s’agit d’un régime présidentiel ou semi-présidentiel.
Par exemple avec le régime parlementaire, il serait impossible de signer l’accord d’Alger sans passer par le parlement.
Le pouvoir judiciaire n’a aucune influence de l’homme politique car ne répond qu’au président de la république qui est véritablement au-dessus de la mêlée de part son mode d’élection.
Avec le régime parlementaire, la légitimé est véritablement respectée car ne sont ministres que ceux qui sont élus, le chef de gouvernement est obligatoirement un représentant du peuple
Il est chef de gouvernement pour appliquer les promesses qui lui ont donné la majorité à l’assemblée nationale.
Ainsi, cesseront des militaires, des juges ministres qui ne portent aucun espoir que d’appliquer les instructions d’où trop de ministres qui travaillent sans faire des réformes nécessaires à l’avancée de la nation.
Donc, si les différents pouvoirs sont respectés signifiant les institutions fortes, l’homme politique n’est nécessaire que par ses IDÉES, sa méthode de travail.
Qu’il soit malhonnête, guidé à profiter des deniers publics, il sera épinglé par le pouvoir judiciaire sans qu’il ait la possibilité d’y échapper.
Depuis plusieurs années, le premier ministre israélien est harcelé par les juges.
Ce qui est impossible dans un régime présidentiel, les juge étant intimement liés à l’homme politique élu qui protège ses camarades politiques,ne sont inquiétés que s’ils ne sont plus dans le même camp.
C’est ce qu’on constate dans nos pays signifiant que les institutions sont faibles
La refondation de l’État du Mali consiste à rendre possible la séparation des POUVOIRS.
C’est au constionnaliste de nous proposer des formules adaptées à la société malienne très corrompue.
Des formules qui vont nécessairement diminuer les pouvoirs des hommes politiques pour limiter ou éradiquer les pratiques mafieuses actuellement en vigueur.
Un homme fort comme l’est ZOU peut y mettre fin.
Mais s’il n’est pas là, est on sûr que ça ne va pas reprendre?
C’est pourquoi des séparations des POUVOIRS veritables pour des actions qui ne sont pas liées à un homme politique,mais à la qualité d’une LOI FONDAMENTALE.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
Tienkafo
L’HOMME PROVIDENTIEL,le Mali et l’Afrique n’en ont plus besoin.
ON VEUT DES INSTITUTIONS FORTES PAR LESQUELLES LES HOMMES VÉHICULENT LEURS IDÉES, LEURS ATTITUDES AU SERVICE DU PEUPLE MALIEN.
On parle de KAGAME, il est éternel ?
S’il n’est pas là, est on sûr que ses successeurs vont marcher dans ses pas?
La lutte actuelle à mener n’est pas seulement pour la moralisation des activités publiques, mais pour la refondation de l’État du Mali afin qu’il soit un ÉTAT MODERNE comparable à ceux des grandes démocraties.
Comme d’habitude, ZOU a décidé d’être à côté alors qu’un mouvement démocratique historique est en marche.
Il y a des moments de la vie politique qu’il faut privilégier la nation, en mettant bal à terre en ce qui concerne les divergences d’idées, de méthodes et d’attitudes dans la gestion de l’État.
ZOU est entrain de rater ce moment.
Il s’est même permis de critiquer la méthode des animateurs du M5-RFP.
Ils pensent que ces morts sont de leurs fautes, non d’IBK.
TOUTE ACTIVITÉ POLITIQUE DOIT ÊTRE SÉCURISÉE PAR L’ÉTAT.
On ne donne pas les enfants des autres à la mort en manifestant, mais on les aide à S’INDIGNER face à une situation qui pénalise plus le bas peuple que les élites qui sont dans le comité stratégique de part leurs compétences reconnues.
S’il y a mort, ça veut dire qu’il y a défaillance dans le dispositif sécuritaire.
IL EST FACILE DE SITUER LES RESPONSABILITÉS ET DE LES METTRE À LA DISPOSITION DE LA JUSTICE.
ZOU ne peut ne pas savoir qu’on peut éviter les morts par balle, si les tenants du pouvoir agissent pour préserver la population.
Si on disait, ils sont morts pendant les pillages des édifices publiques, sans impact de balles, on peut disculper les forces de l’ordre.
Pendant quatre jours, le quartier de balabougou a été attaqué comme un camp retranché des jihadistes.
Des balles perdues ont atteint de simples curieux comme ce footballeur qui a aussi perdu son frère.
Après ces visites, l’homme politique ne doit pas seulement présenter ses condoléances, mais dénoncer l’attitude criminelle des autorités politiques en place.
ZOU ne l’a pas fait.
Il déçoit!!!!
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
“ON VEUT DES INSTITUTIONS FORTES PAR LESQUELLES LES HOMMES VÉHICULENT LEURS IDÉES, LEURS ATTITUDES AU SERVICE DU PEUPLE MALIEN.”
Sangare, QUE VEUT DIRE “INSTITUTIONS FORTES”, LE QUALIFICATIF “FORT” REFERE Á QUOI EXPLICITEMENT ??
MERCI, Sangare!
SANÉÉ ANI KONTRON!
Voilà un honnête qu’un vrai leader religieux devrait aimer. Mais ils aiment apportent leur soutien à ceux qui sont connus pour être les fossoyeurs de notre économie et notre culture. On comprend dès lors qu’ils ne cherchent pas de la vertu dans la gestion d’état.
Comments are closed.