La Commission des Nations Unies pour les droits de l’homme pourrait bientôt déférer le Mali à la barre. Devant les horreurs subies, depuis le dimanche 5 avril dernier, par les membres des 7 familles de Lany Tounka refusant l’esclavage par ascendance, certaines ONG et des associations de droits de l’homme ont saisi la commission présidée par l’ancienne présidente chilienne, Michèle Bachelet, pour traduire le Mali pour pratiques esclavagistes et maltraitances de populations civiles.
En cause : la résurgence des violences esclavagistes inouïes qui ont de nouveau ensanglanté la région de Kayes, plus précisément la localité de Lany Tounka, devenue village martyr et symbole de la résistance contre les pratiques de l’esclavage par ascendance, encore pratiquée par une partie importante de la communauté soninké de la région Est.
Des pogroms au Mali
Les démons se sont réveillés le dimanche 5 avril et les assaillants soninkés ont déclenché des violences qu’on aurait crues inimaginables au Mali, et surtout pour des questions d’esclavage. Dans le silence des autorités publiques, refusant voire réfutant la vérité depuis 2018, des jeunes se sont adonnés à des lynchages dignes de la période de la ségrégation aux Etats-Unis, des pogroms que ne renierait pas le nazisme anti-juif à l’heure du triomphe du national-socialisme. N’eût été la police de Diboli, les exactions auraient fait plus de victimes, témoignent les populations attaquées.
Depuis pourtant ce dimanche 5 avril, les violences se sont poursuivies, avec leurs cortèges de blessés et même des morts, un assaillant victime des coups assénés par inadvertance par certains de ses camarades, venus comme lui exercer des représailles contre les membres des 7 familles refusant la soumission esclavagiste qui leur est imposée, une femme violée et battue ayant fait une fausse couche en perdant son bébé mort-né des suites des violences et blessures subies.
«Révoltant, ignoble, lâche…», telles sont quelques-unes des réactions outrées pour qualifier ce qui se passe au Mali depuis ce jour fatidique, des réactions qui sont remontées jusqu’aux cercles les plus haut placés de la communauté internationale bien que la plupart des pays soient confrontés aux hécatombes consécutives à la pandémie du coronavirus.
En substance, indique une de ces réactions, les Soninkés de cette partie du Mali s’adonnent impunément à des violences contre ceux qui refusent de se soumettre à l’esclavage par ascendance, et ni les femmes, dont certaines ont été violées, ni les enfants encore moins les vieillards ne sont épargnés, comme l’illustrent les images de ces horreurs.
Et l’interlocuteur de poursuivre : «Des femmes ont été déshabillées en public (les vidéos existent –ndlr !), d’autres abusées parce qu’elles sont les épouses, les mères ou les filles de ceux qui ont refusé qu’ils ne seront plus esclaves et qui estiment que les lois de la République sont pareilles pour tous les citoyens». Et d’en appeler au sens de la responsabilité des autorités : «il est temps que le gouvernement malien s’en saisisse et y mette fin définitivement»
Depuis plusieurs années, explique un important activiste mauritanien militant anti-esclavagiste, Diko Hanoune, des «groupes violents d’esclavagistes soninkés ressortissants de pays suivants : Mauritanie, Mali, Sénégal, Gambie et les deux Guinées se sont formés dans le but de terroriser toute personne qui prône l’abandon de l’esclavage coutumier au sein de cette communauté. Des militants regroupés autour de GanbanaaxuFedde qu’on peut traduire par «nous sommes tous pareils, semblables ou égaux», sont ciblés dans les villages. La plupart sont victimes de l’esclavage par ascendance dans le milieu soninké depuis plusieurs générations».
Financement international de l’esclavage
D’ailleurs, témoigne l’ancien ministre, Garde des Sceaux, Me Mohamed Aly Bathily, Soninké, et qui n’est pas susceptible de complaisance, témoigne que ce sont très souvent des Soninkés de la diaspora malienne en France qui contribuent à attiser les flammes de ces vestiges esclavagistes, parfois en mobilisant d’importantes ressources financières (affaire des 38.000 Euros) destinées à financer les opérations punitives contre les anti-esclavagistes.
Il en est de même pour certains intellectuels à Bamako qui, à travers les réseaux sociaux comme un certain Mamadou Bathily sur Facebook, incitent les ressortissants soninkés des localités incriminées à venger ceux qu’ils appellent «les victimes tuées par les esclaves». De tels propos et attitudes ne contribuent guère à ramener la raison et restaurer le droit des citoyens d’un même Etat à l’égalité de tous devant la loi.
Toujours est-il que, comme l’assure l’activiste mauritanien Diko Hanoune, «des groupuscules soninkés s’activent de l’étranger, mobilisent beaucoup de fonds en Europe, Etats-Unis, Afrique centrale, Afrique de l’Ouest, les Pays du Golf, l’Asie, le Maghreb et le Moyen-Orient. Ils encadrent et arment des jeunes illettrés, les incitent à s’attaquer par surprise aux villageois qui rejettent l’esclavage coutumier. On peut citer des groupes comme ‘’Démocratie Islamique’’, ‘’Horo-ditanbaana’’, ‘’Kingui contre Ganbanaa’’, ‘’TGV contre Ganbanaa’’, etc.».
Diko Hanoune met en cause l’impunité dont ils jouissent face à l’inertie des autorités maliennes. Parmi celles-ci, le chef de cabinet du Premier ministre, Sidy Kanouté. Il est particulièrement dénoncé comme exerçant des pressions pour faire en sorte que très souvent, il n’y ait aucune suite judiciaire aux affaires de violences du fait des pratiques esclavagistes.
En tout cas, le bilan reste très lourd, entre morts, graves blessures et séquelles physiques handicapantes consécutives aux passages à tabac, des blessés graves dont l’évacuation est retardée parfois à dessein ainsi que des maisons sont incendiées, des biens détruits.
Comme souligné plus haut, plusieurs responsables occidentaux, des ONG et associations militant pour les droits de l’homme ont officiellement écrit pour attirer l’attention des Nations unies, de l’Union européenne, de l’Union africaine, bref, de la communauté internationale sur la situation au Mali et dans d’autres Etats comme le Sénégal, la Mauritanie ou la Gambie. Ces pays sont accusés d’abandonner des populations vulnérables maintenues dans l’esclavage et la traite humaine.
Mohamed Ag Aliou
FAAROHW! KAAFAAROHW! MAASEBEH DENW! YEREWOLODENW!
N OUBLIEZ PAS L ESCLAVAGE A TOUMBOUTOU, A GAO,A KIDAL, A TAOUDENI, A ,MOPTI , A NIORO DU SAHEL CHEZ MBOUILLE LE CHERIF DE NIORO, DANS LES FAMILLES CISSE, HAIDARA, TOURE A. BAMAKO, PARTOUT A LA LISIERE DU SAHARA ARABISE, DU SAHARA ISLAMISE, IL YA DE L ESCLAVAGE!
CHERS MALIENNES ET MALIENS!
L ESCLAVAGE? A L EST AU NORD AU SUD A L OUEST PARTOUT AU MALI DE LIEU EN LIEU DIFFERE EN INTENSITE.
PARTOUT AU MALI SI VOUS RENCONTREZ UNE FAMILLE QUI DETIENT AU MOINS UN ESCLAVE, VOUS ME DIREZ QUE CETTE FAMILLE A UNE MAMAN LE PLUS SOUVENT ET OU UN PERE DE LA ZONE FIERE DE L ISLAM, FIERE DE LA PURETE DE LA LIGNEE ISLAMIQUE, FIERE D UNE DESCENDENCE DU PROPHETE OU DES SAINTS DE L ISLAM, UNE FAMILLE RACISTE ISLAMISTE CONSCIEMMENT OU INCONSCIEMMENT!
CHERS MALIENS, LA OU VOUS AVEZ L ISLAM INTENSIF VOUS AURREZ DES ESCLAVES, L ESCLAVE A ETE LE PETROL, L ESSENCE, L OR LE DIAMANT DES SOCIETES ISLAMISEES, DE L ISLAM ET DES CREATEURS DE L ISLAM!
LES ESCLAVES NE SONT PAS SEULEMENT DES MAIN D OEUVRES GRATUITES, MAIS LES CONCUBINES LES FILLES ET FEMMES DU DESIR DE L ARABE ET DE L ARABISANT, MAIS EN ADDITION ET LE PLUS IMPORTANT L ESCLAVE EST COMME LE MOUTON, LE CHAMEAU, LA CHEVRE ET LE CHEVAL, UNE BETE DE FORTUNE ECHANGEABLE EN TEMPS DIFFICILES POUR LA FAMILLE ESCLAVAGISTE RACISTE! L ESCLAVE EST UNE BETE SANS AME, LE NOIR SURTOUT N A PAS D AME! DIRONT LES ARABES ET L ISLAM DES ARABES!
QUAND A L ACCEPTANCE DE L ESCLAVAGE PAR LE NOIR, SON STATUT D ESCLAVE, RIEN DE DOUTEUX, L ESCLAVE SE DIT MUSULMAN , L ISLAM A UNE PLACE AU PARADIS POUR L ESCLAVE DOCILE ! TOUJOURS LE LOGICIEL ISLAM QUI FAIT FAIRE SUBIR TOUTES LES EXACTIONS POSSIBLES POUR UNE” VIE MEILLEURE AU PARADIS” APRES LA MORT HAHAHA!
SI LE NEGRE A ACCEPTE L ISLAM, ALORS POURQUOI N ACCEPTERAIT IL PAS L ESCLAVAGE QUI EST LE MOTEUR PRINCIPAL DE L ISLAM, L OSSATURE MEME DE L ISLAM, CAR LE PETROL VA TARER MAIS LE PETROL DE L ISLAM, C EST A DIRE DES HOMMES ET DES FEMMES IDIOTISES, ESCLAVAGISES, DANS LES ENCLOS DES TERRES ISLAMISEES AVEC LES RESSOURCES SOUS CES TERRES, CA NE TARIRA JAMAIS!
L HOMME A LE CARACTERE A REPANDRE LE MALHEUR, ET LE FAIRE SUBIR AUX AUTRES CE QU IL A SUBIT LUI MEME! DONC PAS SURPRENANT DE VOIR LES SARAKOLES ESCLAVES EN MAURITANIE ET AU MAROC, PERPETRER L ESCLAVAGE SUR LEURS VOISINS !
L ABRAHAMERAIE EST FONDEE SUR L ESCLAVAGE, L HYPOCRISIE, LE SEXISME, L UNIQUALISME,LA SUPREMATIE DE L ABRAHAMIQUE JUIF OU ARABE C EST LA MEME CHOSE! TOUT CE QUE L ARABE ET LE JUIF TOUCHENT HOMMES FEMMES OBJETS INANIMES TOUS DEVIENNENT SOUILLES D ESPRIT ET INHUMAINS, CAR LEUR BUT C EST SOUMETTRE ET CA SE FAIT SEULEMENT EN TROMPANT EN BRUTALISANT!
” … appeler au sens de la responsabilité des autorités : «il est temps que le gouvernement malien s’en saisisse et y mette fin définitivement»…
…souvent des Soninkés de la diaspora malienne en France qui contribuent à attiser les flammes de ces vestiges esclavagistes, parfois en mobilisant d’importantes ressources financières (affaire des 38.000 Euros) destinées à financer les opérations punitives contre les anti-esclavagistes… ” … /// …
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Ces mêmes Soninkés de la diaspora malienne en France qui contribueraient à attiser les flammes de ces vestiges esclavagistes, sont de ceux qui ” se révoltent en France ” quand un Noir est victime de discrimination ou de comportement raciste venant des Blancs en France.
Mais quand des COMMUNAUTÉS esclavagisées en Afrique, au Mali sont victimes de discrimination ou de racisme…, ces esclavagistes trouvent ça normal… !
Parce que les bourreaux sont leurs frères… ???
Le Gouvernement Malien ne fera rien… !
Si les victimes ne se défendent pas et continuent de subir en pensant que les Autorités Maliennes vont les délivrer…, ils peuvent toujours attendre… !
On parle de l’Esclavagisme chez les Soninké. Et on a bien raison de le dénoncer…
C’est dans cette COMMUNAUTÉ que l’Esclavagisme est des plus violents… !
Mais l’Esclavage existe encore dans les Zones Peulh et Khassonké aussi… !
L’esclavage en milieu Khassonké est moins connu pour sa violence…, dans les médias…, car, non physiquement violent.
Mais en milieu Khassonké la violence esclavagiste existe…, il est psychologique et tout aussi déshumanisant… !
Le Gouvernement Malien ne fera rien parce que les Gouvernants et l’élite de ce pays sont issus des familles dites ” aristocratiques “, c’est à dire des COMMUNAUTÉS dites de ” nobles “.
Il n’y a rien à attendre des Autorités Maliennes.
Des Autorités qui ne reconnaissent même pas l’existence de l’esclavage… !
Comment voulez-vous qu’ils combattent quelque chose dont ils nient l’existence… ???
Si les victimes veulent se libérer, ils devront y parvenir par eux mêmes.
Non aux discriminations.
Non à la perpétuation de l’esclavage par ascendant.
Non au racisme.
Non à l’ostracisme.
Vivement le Mali pour nous tous.
PROGROMOCCID€NTAUX
C’est PARI$ l’€$BROUFRANÇAI$€ qui D€F€ND toujours les RATCAILL€$, a toujours eu la volonté de DIVI$€R comme ils ont partagé l’Afrique!
A nous OPPO$€R les uns contre les autres
OXYUROCCID€NTAL€
U$A 51 états de trop
@MOHAMED AG LIOU dis tes ONG et des droits de personne ou de l’homme je ne sais pas quoi, TU peux aller faire ta propre enquête le village que tu a cité LANI TOUNKA si la pratique d’esclavagisme existe la pratique n’existe pas le GANBANAA ces les gens de provocateurs il faut qu’ils cesse de provocation.
AG ALIOU, cette diabolisation à outrance de quelques énergumènes Soninkés aura le mérite de faire oublier là où le vrai esclavagisme existe au MALI. Je ne dis pas que chez nous Soninkés un accent particulier n’est pas mis sur l’esclavage par ascendance et sur les castes mais personne n’est obligé de se constituer esclave, Forgeron ou Griot de qui que ce soit. Chez nous l’esclavage est volontaire à 99,99 % et c’est les hommes de castes eux-mêmes qui se battent pour entretenir le système sinon tout le monde sera heureux de n’avoir un esclave ou un griot qui vit à son crochet. 💡💡
À entendre cet esclave Mauritanien, les Soninkés du Sénégal, du MALI, de la Mauritanie, de Guinée Conakry, de Gambie et de Guinée Bisau se seraient fédérés contre eux les esclaves, je me demande s’il se rend compte que cet excès rend ses propos dérisoires. Les autorités Maliennes peuvent être corrompues mais si c’est celles de tous ces pays qui sont corrompues et irresponsables devant une pratique d’un autre âge…..
À tous les moralistes et surtout au poltron BAMANKÈ qui ne va tarder à verser des larmes pour ces pauvres esclaves victimes de la sauvagerie des Soninkés, je demande de visionner cette vidéo de 2 minutes que je vai publier. Soyez sûrs que vous avez distingué le visage de chacune des trois danseuses et dîtes moi en toute honnêteté si:
1) Vous croyez qu’un jeune Malien va refuser d’epouser une de ces potentielles Miss au prétexte qu’elle est descendante d’esclaves.
2) Dîtes moi si ces Français de troisième génération sont forcés par quelqu’un à revendiquer leur statut d’esclave.
3) Jugez par vous-même si ces gosses maîtrisent bien cette danse ou si ils tâtonnent.
4) Regardez comment ils sont fiers et contents d’être esclaves !
Je ne défend pas ces pratiques que rien ne peut justifier de nos jours mais je pense qu’il y a des choses ou des raisons qui l’expliquent. Si moi j’étais un descendant d’esclaves, c’est à mes frères esclaves que j’allais faire la guerre avant de m’attaquer aux maîtres d’esclaves. Sur 1000 familles, si c’est 7 familles qui veulent faire la tête alors que les mille autres veulent entretenir la pratique…..
Pardon voici la video.https://www.youtube.com/watch?v=tAcgOuj6T5s
Quand je dis que le Mali ne sortira jamais de l’orniere certains pensent que je vais un peu loin.Comment comprendre qu’au 21em siecle on s’adonne toujours a’ ces pratiques insidieuses ;inhumaines et pretendre faire partie des nations civilisee’s.Le Mali est devenu la jungle ou’ la loi du plus fort est le droit.Honte a’ nos autorite’s qui n’ont pas le cran de se cabrer contre cette plaie qui mine notre societe’.Il en va de meme pour le systeme de caste qui est aux antipodes de la democratie.Allons seulement…
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