Le Collectif pour la Défense des Militaires (CDM), en tandem avec le Front pour l’Emergence et le Renouveau au Mali (FER-Mali), le mouvement Songhoy Ganda Bamako, le Collectif pour le Renouveau du peuple et la lutte contre la délinquance juvénile (CRPLDJ), soutenu par les trois familles fondatrices de Bamako (Touré, Niaré Dravé), la grande Mosquée de Bamako, l’Association Nyéléni Taré-Taré, Yéré wolo débout sur les remparts, le collectif des veuves des militaires, etc., ont organisé, le 24 juillet 2021, un grand rassemblement à la Bourse du travail. Objectif : manifester leur mécontentement, et condamner avec la dernière rigueur l’acte lâche, crapuleux et barbare de la tentative d’assassinat du président de la transition, le colonel Assimi Goïta, le jour de la Fête de Tabaski à la Grande Mosquée de Bamako. Les initiateurs de la rencontre ont annoncé la tenue d’une grande marche le 21 août 2021 au boulevard de l’Indépendance pour condamner l’acte et soutenir les autorités de la transition, les lieux de cultes, les institutions du pays.
Alfousseyni Sakiné, secrétaire général du Collectif pour la Défense des Militaires (CDM), dans la déclaration liminaire commune de la rencontre lue, indique : « Nous, CDM, Front pour l’Emergence et le Renouveau Mali (FER-Mali), Songhoy Ganda Bamako, le Collectif pour le Renouveau du peuple et la lutte contre la délinquance juvénile (CRPLDJ), dénonçons vigoureusement l’agression ignoble et lâche dont a été victime le président de la transition, le colonel Assimi Goïta lors de la grande prière de la fête de Tabaski à la grande mosquée de Bamako, le mardi 20 juillet 2021 ». Pour faire échoué les forces du mal, le CDM et alliés, ajoute Alfousseyni Sakiné, invite le peuple malien à sortir massivement le 21 août 2021, sur le boulevard de l’Indépendance afin de soutenir le président de la transition, le colonel Assimi Goïta, les lieux de cultes et toutes les autorités de la transition. Selon Alfousseyni Sakiné, le Mali nous appelle à l’union sacrée pour soutenir les institutions de la République, en l’occurrence la toute première institution qu’est le président de la République.
Nous n’accepterons, insiste Alfousseyni Sakiné, a personne de saboter le Mali et sa transition en marche. C’est pour cette raison, dit-il, que nous multiplierons les actions pour faire entendre notre nos voies, celles qui diront « plus jamais ça au Mali ! ». «Chaque malien, chaque malienne doit comprendre que le Mali est au dessus de toutes les considérations politiques ou partisanes. Afin de dépasser ce cap, cette zone de turbulence, nous devons nous donner la main. Pour ce faire, nous sommes prêts à défendre le Mali au prix de notre sang contre toute barbarie qui est en train de mettre à genou notre pays », a déclaré Sakiné. Par ailleurs, il a conclu que l’opinion nationale et internationale doit comprendre que nous ne capitulerons jamais, que le Mali ne capitulera jamais. Avant d’ajouter : « Nous lançons un appel patriotique à l’assemble des forces vives de la nation malienne, de l’intérieur comme de la diaspora à se joindre à ce sursaut national pour sauver notre patrie.»
L’on pouvait en outre lire sur les pancartes : « Nous condamnons la tentative d’assassinant contre le président Assimi Goïta » ; «Plus jamais ça» ; «Soutien à la refondation de l’Etat» ; «Non à la déstabilisation de la transition en cours». Ont pris part à ce rassemblement, Amadou Aboubacrine Touré de Songhoy Ganda Bamako, le Maire de la commune rurale de Boro dans le cercle de Banamba, région de Koulikoro, Diadié Sow, la présidente des femmes du CDM, Mme Kéita Kadia Sissoko, le président du FER-Mali, Sory Ibréhmia Traoré, Drissa Meminta de Yéréwolo Débout sur les remparts, Mme Konaté Djita Cissé, présidente de l’association Nyéléni Taré-Taré, Bah Sidiki Baba Touré, représentant des familles fondatrices de Bamako. Ce dernier a indiqué sans détour que ce qui est arrivé est de leur faute. Car c’est eux qui l’ont invité à la moquée lors de la fête. Mais par « la Baraka et les bénédictions, il y a eu plus de peur que de mal ». « Nous condamnons l’acte, lui présente nos excuses et lui réitérons notre soutien et accompagnement pour réussir sa mission », a-t-il conclu.
Hadama B. Fofana
Les Alimentaires et autres opportunistes qui ne pensent qu’a leurs intérêts personnels vont marcher dans les rues de Bamako sans se soucié des villages maliens qui sont sous embargo des islamiste armes, pour ces villages martyr il n’a pas de Marcher, mais on peut marcher pour empoche de l’argent à bamako juste pour manger dans la main du pouvoir
Assimi Goïta a besoin de cette marche, c’est pourquoi il a monté de toutes pièces cette histoire d’agression.
Question: Mon Général! Savez-vous la bonne place pour cacher le salaire exorbitant de ces braves soldats multi-coupd’etatistes là où ils ne pourront jamais le retrouver?
Réponse: Évidemment dans leurs bottions de guerre ou de travail!
Babi nin ka yin sen ma ka teme godasi jalan kan!
Ka Mali kisi a yere denw ma!
V
Le président n’a pas confiance en lui. La marche prouve d’ailleurs qu’il ne s’agit que d’un montage grossier.
J’ai lu un roman sud-africain, j’ai ensuite discuté avec son auteur, un ancien membre de l’ANC, ancien représentant de l’ANC dans les pays de l’ancien Est? C’était à Durban, en 2015, à l’Université du Kawzulu Natal. Le titre de son livre, “On est foutu!”
A cela j’ajoute cet adage Bambara : “Le rejeton du feu ardent est souvent la cendre molle refroidie.”
Sommes-nous réellement dignes de nos illustres prédécesseurs ? Sommes-nous réellement leurs descendants.
Nous sommes devenus la risée du monde.
Les indignes , et les alimentaires sans scrupule sont là à pondre des idioties , soutenir qui ? Le pays est entrain de sombrer au lieu de se soucier de cette situation vous êtes là à nous distraire avec des marches inutiles , allez y au Nord pour soutenir ces populations meurtries, nous n’avons pas besoin des guignols et des mendiants. Quelle démagogie de dire que ce qui est arrivé est de leur faute va alors en prison assassin , à cause de quelque billets on est prêt à tout. Des oisifs faits qui ne font rien mais vivent sur le dos de l’état soit disant les familles fondatrices Dieu va vous mettre tous dans l’enfer
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Les idiots aiment marcher pour tout et n’importe quoi. Vu que ce sont les vacances et qu’ils sont au chômage, il peuvent se le permettre.
Les villages de DJONKÈBOUGOU, DINANGOUROU, KALOUMBA, FARABOUGOU, BAGONI, DOGOFRI, … sont sous embargo des djihadistes et ne peuvent compter ni sur l’armée, ni sur ces associations opportunistes comme il y en a toujours existé au Mali. En 2012 pendant que le pays sombrait, plus de 200 mouvements et associations étaient spontanément créés pour soutenir le CNDERRIÈRE. Aujourd’hui on laisse des villages entier à la merci de quelques criminels armés pour venir soutenir la vaillante armée qui qui jette armes et bagages pour sauver les fesses. Dans certains cas comme à DINANGOUROU le siège dure depuis le 2 Mai sans que le camp militaire qui se trouve à une trentaine de kilomètres de là ne puisse aider. À KALOUMBA il n’y qu’une bande sur 6 motos qui font la loi alors que le camp militaire à quelques 20 kilomètres de là. Ne parlons même pas de ces centaines de pauvres massacrés à FARABOUGOU dans l’indifférence totale du camp militaire de BANKASS qui est à 7 kilomètres de là.
Si ces même militaires n’étaient pas des pédés comment se peut-il qu’en temps de guerre ce sont des collectifs de civils qui défendent les militaires et non le contraire ?
Comme en 2012 ces lâches vont faire la bamboula à Bamako pendant que le pays brûle. Et comme toujours ces mêmes opportunistes nous dirons que la France est responsable de notre lâcheté ou que l’humanité toute entière s’est liguée contre leur cher Mali. 😳😳
Yugu, walaye ne yèrè dabali bèe bana péou péou!!!
Notre armée peut vraiment se taper la poitrine d’être parmi les armées les plus pourries au monde.
Quelle honte!!!
Tres heureux de te lire Bougobalini, tu nous manquais beaucoup, merci pour reapparaitre nous t’aimons du fond de nos coeurs! Merci pour ta lumiere!
Le président a t il vraiment besoin de cette marche? ???. Une telle marche et soutien devraient plutôt se faire pour la libération des villages paysans du joug des djadistes et bandits et pour la sécurité du pays en général, et en dénonçant les mauvaises pratiques des djadistes et autres. Les religieux et notables du pays devraient aussi organiser une marche dans ce sens, contre djadistes et autres, en place et lieu des discours.
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