Le mardi 2 avril 2024, s’est tenue dans la grande mosquée de Faladié en commune CVI du district de Bamako la traditionnelle rupture collective du jeûne organisée par l’entreprise Orange Mali à l’intention des fidèles musulmans lors du Ramadan. En plus du plateau de confiserie, des paniers garnis ont été offerts aux fidèles à l’occasion.
C’est une tradition bien établie chez Orange Mali de communier avec la population à travers diverses actions de solidarité. Et quid que le mois de Ramadan pour la société de démontrer sa générosité auprès des populations ?
En effet, Orange figure parmi les premières entités qui ont initié l’opération sountigué au Mali autrement dit sa traditionnelle rupture du jeûne qu ‘elle organise dans les 6 communes de Bamako, et à Kati.
Le présent événement dans la mosquée Soukouro à Faladié s’inscrit dans ce registre. Comme de coutume, l’équipe d’Orange a offert, en plus d’un plateau de rupture aux fidèles, des paniers garnis composés de différents articles au grand bonheur des bénéficiaires. En tout 250 paniers ont été donnés dans la mosquée.
L’imam de ladite mosquée, Djibril Dagnoko, a vivement remercié le donateur et formulé des bénédictions pour la pérennité de l’action. Selon l’imam Dagnoko, le geste d’Orange s’inscrit en droite ligne aux préceptes de l’islam qui recommandent générosité et solidarité.
Pour sa part, l’Assistant Service Relation publique et presse d’Orange-Mali, Amadou Salif Kéïta, a remercié les responsables de la mosquée pour le chaleureux accueil. Avant d’ajouter qu’Orange est une entreprise soucieuse du partage et de la générosité, à cet effet, elle se fait toujours un plaisir d’être aux côtés des couches vulnérables.
Khadydiatou SANOGO/maliweb.net
“Sountigué d’Orange Mali à la grande mosquée de Faladié”
Ça serait bien que cette entreprise multinationale prédatrice française arrête de faire les poches des Maliens par ses tarifs exorbitants au lieu d’essayer de se faire une virginité dans les mosquées maliennes.
Par ailleurs, beaucoup de médiocrité à Orange Mali où ils ne savent même pas écrire correctement en alphabet bamanakan : “Suntigɛ” ou “Suntikɛ” et non la transcription erronée de l’alphabet français “Sountigué”.