Finalement, ses parents le ramenèrent à l’hôpital Gabriel Touré où certaines bonnes volontés sont intervenues pour effectuer une première opération. Le mal était si profond qu’une seule opération ne suffisait plus. Hospitalisé au service de neuro- chirurgie depuis six mois, avec le soutien de l’agence nationale d’assistance médicale (ANAM), le jeune homme continue de souffrir. Il est important de savoir que l’Anam intervient dans le cas de Bourama Camara dans la prise en charge des frais d’hospitalisation. Les médicaments, qui constituent l’aspect le plus important, sont à la charge de la vieille et pauvre Nakani qui, malgré le certificat d’indigence délivré par la mairie, n’arrive pas à bénéficier de cette soutenue. Elle est aidée par son frère, infirmier de son état, mais à la retraite.
Selon Nakani, les médecins traitants estiment que son fils doit être opéré à 800.000 Fcfa. Toute chose qui a coupé le sommeil à la pauvre Nakani qui ne sait plus à quel saint se vouer. Ma raison de vivre aujourd’hui est de chercher ” comment rassembler cette somme pour que mon fils puisse remarcher “. La prochaine opération consistera à opérer le dos cassé. Ce qui lui permettra de remarcher avant de s’attaquer à la réparation de la vessie perforée. Une opération qui, selon les spécialistes, n’est pas facile mais qu’il faut tenter. Pour y arriver, Bourama qui n’a que ses yeux pour pleurer, implore l’indulgence des uns et des autres pour l’aider à rassembler les 800.000 Fcfa demandés.
Chers lecteurs, aidez- le, Dieu vous le rendra Inchallah.
Pour tout contact, appelez au 72 04 63 99 ou 76 47 46 25.
- Mah Thiam KONE