Solidarité : L’ONG Direct Aid offre un château d’eau moderne au CSCOM de Kati Sanafara

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Afin de leur faciliter l’accès à l’eau potable, l’ONG Direct Aid vient d’offrir un château d’eau moderne au CSCOM de Kati Sanafara. Ce joyau a été inauguré le samedi 14 novembre dernier audit CSCOM.

Ce équipement est le fruit du partenariat entre l’ONG Direct Aid et le comité de gestion CSCOM de Kati Sanafara. La cérémonie d’inauguration s’est déroulée en présence du président du conseil de cerce de Kati, Mamadou Traoré, le 4e adjoint du maire de Kati, chargé de la santé et l’ancien maire de Kati Hamala Haidara. Etaient aussi présents, Amadou Tall, chargé de culture et Bakary Coulibaly, chargé de projets ainsi que les populations de Sanafara et quartiers environnants.

Le château permettra de facilitera au CSCOM, aux usagers du marché ainsi qu’aux familles voisines d’accéder facilement à l’eau potable. Selon Sula Togola, membre du comité de gestion du CSCOM, ce château met fin aux problèmes d’eau auxquels étaient confrontés le CSCOM et les populations voisines. Il a aussi invité les bénéficiaires du joyau d’en prendre soin afin de lui assurer une longue vie au profit des populations.

Le coût de la réalisation du château est de 16 millions de francs CFA dont 500 000 francs CFA comme participation des bénéficiaires. Force est de reconnaitre les efforts de N’Begué Koné dans la réalisation de ce château d’eau qui sera d’une grande aide aux populations de Kati Sanafara.

Financée par le contribuable Koweitien, l’ONG Direct Aid, qui est implantée dans notre pays depuis le 2 aout 1988, se trouve également dans 31 pays à travers le monde. Ses domaines d’interventions sont entre autres l’accès à l’eau potable, construction de mosquées et d’orphelinats, distribution de bœufs et de nourritures pendant le mois de carême, prise en charge de prêcheurs et 2500 orphelins.

Ce château, au CSCOM de Kati, l’une des structures sanitaires les plus dynamiques du cercle de Kati, contribuera sans doute au bien être des populations du cercle de Kati.

 

H. Maïga         

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