Fortement alité depuis trois ans : Une prise en charge urgente s’impose pour Bourama Traoré

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Sory Bourama Traoré
Sory Bourama Traoré

Agé de 41 ans Bourama Traoré est né avec la drépanocytose.  A cause de cette maladie, il a vu sa vie basculer du jour au lendemain.

 Chauffeur de son état (taxi et benne 10 tonnes), Bourama Traoré est alité depuis trois ans à la suite d’une drépanocytose qui a affecté son pied gauche et sa hanche avant de déclencher chez lui une  nécrose fémorale. Aujourd’hui,  Bourama Traoré a du mal à marcher.  Selon les spécialistes, si une intervention n’est pas envisagée, il risque d’avoir des problèmes avec les genoux et même sur le dos.

A l’hôpital Mère- Enfant le Luxembourg, le professeur Sidibé après analyse a  demandé une intervention dont le coût s’élève à 1.500.000 Fcfa. L’opération en question consiste à remplacer les os de la hanche avec du fer  en changeant l’orientation des surfaces qui glissent les unes contre les autres dans l’articulation. Faute de moyens, le malade a jugé nécessaire de passer voir du côté de l’hôpital de Kati. Là aussi sous les soins d’un certain Dr Sanogo,  le diagnostic est sans appel. Le malade a besoin d’une intervention. On lui a parlé de la somme  de 200.000 Fcfa.  En dépit de la réduction des frais, Bourama n’a trouvé personne pour payer la somme.  Et la douleur est tellement atroce qu’il ne peut plus dormir pendant la nuit. Maintenant, il est à bout de force, il ne peut plus conduire, ni marcher. Sans cette opération, c’est sa vie qui est menacée. Il sollicite l’aide des personnes de bonne volonté.

Pour tout contact appelez-le au 76 28 13 67  ou son ami Sidi Lamine Keita 76 10 64 72.

F. Mah Thiam KONE

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1 commentaire

  1. L’arbre est entain de cacher la forêt! Tenez! comment pour une somme de 200 000 frs, ce malien doit être ajouté à la liste dejà longue des indigents maliens? Notre attention est retenue par les seuls échos en provenance de Kati. Malheureusement, et oui ou sont passés les services sociaux chargés de la prise en charge des cas avérés d’indigence. Poser la question aux ministres succecifs passés à la tête du département? Nous sommes indignés de lire des bassesses de notre pays suspendue à la plume des journalistes. Piêtres sommes et demeurerons. ❓

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