Natif de Ségou, précisément de Faïra, localité située à 15 km de la ville de Ségou, Youssouf Coulibaly était passé au siège du groupe SOMAPRESSE (L’Indépendant et Bamako Hebdo) pour un appui éventuel afin de bénéficier de l’aide de nos lecteurs pour se faire soigner. Ainsi, dans L’Indépendant du 2 février dernier, nous faisions cas de sa situation. Des âmes sensibles s’étaient manifestées et l’argent collecté a permis de faire face aux premières analyses et de lui prodiguer quelques soins urgents pour calmer la douleur atroce qui rythme sa vie.
Actuellement, le mal persiste et Youssouf n’a plus d’argent pour suivre le traitement et les analyses qui s’avèrent très coûteuses.
Présentement, il lui faut faire des examens médicaux dont le coût s’élève à près de 150.000FCFA. Autant de difficultés qui l’ont poussé à venir, pour la deuxième fois, solliciter l’aide des âmes charitables.
Il convient de rappeler que sa maladie remonte à deux ans environ, quand un jour, M. Coulibaly, en partance pour une cérémonie de lecture du Coran, a été victime d’une chute à partir de laquelle son état de santé ne cesse de s’empirer : douleurs abdominales intenses qui remontent à l’œil hypertrophié d’où le sang ne cesse de suinter.
Il a été obligé de vendre ses bœufs de labour pour aller se faire soigner auprès des tradithérapeutes. Les complications l’ont alors obligé à descendre à Bamako pour consulter les ophtalmologues de l’IOTA. Au jour d’aujourd’hui, Youssouf ressent d’atroces douleurs qui ne peuvent être calmées qu’au moyen de puissants analgésiques dont – il est même en manque, faute de moyens financiers pour s’en procurer. Nous savons que la solidarité est une réalité au Mali et que, certainement, il se trouve quelque part des bonnes volontés pour s’ajouter aux âmes sensibles qui ont permis la première phase du traitement.
Fatoumata Mah Thiam KONE
Pour tout contact, s’adresser à son cousin Abdramane Coulibaly au 76 08 40 75 ou au 66 07 39 87.