En voulant apporter sa touche dans la construction d’un Mali apaisé, libre et démocratique, le mouvement « Sauvons le Mali » a lancé ses activités le samedi 26 mars 2022 à la Bourse du Travail de Bamako.
A travers cette cérémonie de lancement, les responsables du mouvement « Sauvons le Mali Dokèra » ont fait une déclaration pour édifier l’opinion nationale et internationale sur leur intention dans la construction d’un Mali unis, libre, apaisé et démocratique.
A cet effet, « Sauvons le Mali Dokèra », pour une sortie de crise, propose aux autorités de prendre urgemment des mesures pour la levée de l’embargo de la CEDEAO et de l’UEMOA ; Faire adopter un chronogramme consensuel pour la nouvelle transition de commun accord avec la communauté internationale et l’ensemble des acteurs politiques, civils et militaires ; Mettre en place un gouvernement d’union nationale avec à sa tête un Premier ministre consensuel et enfin, prendre toutes les dispositions pour engager les réformes politiques et institutionnelles afin d’organiser des élections libres, crédibles et démocratiques à la fin de la transition.
Selon le mouvement, pour réussir ces défis, il est plus que nécessaire de bannir à jamais la méfiance, l’exclusion et les invectives stériles qui ne feront que creuser davantage le fossé de la division entre les fils et les filles de notre pays à un moment où nous avons plus que besoin de cohésion et d’union sacrée au chevet de notre pays.
Rappelons que le Mouvement « Sauvons le Mali, Dokèra » est un groupement d’hommes et de femmes soucieux de la paix, de la cohésion sociale et de l’entente entre tous les filles et fils de notre pays afin de faire face au développement économique, social, culturel et politique du Mali. L’initiative se donne comme objectif de faire en sorte que les Maliens de tous les bords se retrouvent au chevet de notre pays.
Etaient présents à cette conférence de presse, M. Makan Mary, Dr Moussa Aziz Sangaré, Zeinab Eveline, Mamady Djoula Dramé, Abdoulaye Coulibaly et l’ensemble des membres, partisans et sympathisants du mouvement.
Bourama Camara
