Très vigilant sur tous les actes menaçant la sureté de l’Etat, le directeur général de la sécurité d’Etat, Gal Moussa Diawara, réussit à lever les barricades posées par le collectif ‘’Sirako’’ à Kati qui demandait la réhabilitation de leur route sans condition.
Débutée à Kayes le week-end dernier, la manifestation populaire des jeunes réclamant la réhabilitation de la route nationale reliant Bamako à la capitale des rails, s’est très vite propagée sur tout le long du tronçon.
A Kati, le collectif Sirako a fait le même exercice courant cette semaine, avant d’être reçu par le Premier ministre Dr Boubou Cissé à la primature sans pour autant parvenir à ramener les responsables du collectif à la raison et débloquer la route pour que le trafic routier puisse reprendre son droit.
Sentant le tort causé aux usagers de la route et dans l’optique d’éteindre rapidement l’étincelle à temps dans un pays où les tensions populaires sont prises par des adversaires politiques pour dénigrer le régime, le patron de la sécurité d’Etat est rentré dans la danse en tant que représentant du Chef de l’Etat, pour apporter un début de solution.
Par le biais de ses réseaux, le Gal Moussa Diawara a rencontré les responsables du collectif Sirako, sans intermédiaire, agissant au nom du président de la République afin d’écouter les jeunes et prendre en compte leurs doléances.
Estimant que les revendications du collectif font partie des ambitions du Chef de l’Etat, Gal Diawara a promis à ses interlocuteurs du démarrage des travaux de reconstructions des routes nationales N°3 et N°4, dans trois semaines, et par conséquent, sollicité la levée des barricades.
Rassurés par les paroles du chef des renseignements de notre pays, les responsables du collectif ont décidé de lever leurs barricades comme sollicité par le Général Diawara.
« La sureté de l’Etat et la stabilité du pays nous engagent. Nous sommes rentrés dans le jeu dans ce cadre là. Nous intervenons toujours en dernière position après l’exécutif pour apaiser les tensions », affirme le directeur de la sécurité d’Etat, après sa rencontre fructueuse avec le collectif Sirako.
Homme de confiance du Chef de l’Etat et très soucieux de la bonne marche du pays, le Général Moussa Diawara démontre son pragmatisme et sa vigilance en prenant à bras le corps ce problème qui a failli se propager.
La méthode diplomatique mise en avant par le directeur de la SE pour convaincre ces jeunes montre son efficacité et sauve le Mali.
En tant que premier responsable de la stabilité du pays, la stratégie d’anticipation du patron de la sécurité d’Etat sur des tensions pouvant contribuer de près ou de loin à compromettre la sureté de l’Etat est simplement rassurante.
Ousmane MORBA
“le patron de la sécurité d’Etat est rentré dans la danse en tant que représentant du Chef de l’Etat”
Nous sommes maintenant très en sécurité.
Le chef de la sécurité d’Etat, après la danse de la fête d’anniversaire, s’occupe de négocier avec les manifestants qui bloquent une route en tant que representant du président.
Le Mali est sauvé.
Sangare juste dire que le Dr Boubou Cissé n’a pas présenté sa feuille de route á L’AN so nous devons attendre la declaration de politique générale afin que L’AN puisse contrôler l’activité gouvernementale et mettre fin au mépris du President de la République face a ces premiers ministres. La separation des pouvoirs doit être de mise pour éviter que Bourama ne conduisent la nation a sa perte. L’AN devra suivra de très prêt et se mettre au dessus de l’appartenance politique pour sauver notre Maliba,
Ah bon le General est si efficace alors qu’a t il fait pour éviter Ogossagou et autres crimes qui se sont commis dans la République notamment au centre. Le collectif Sirako est une machination politicien pour redorer son blason entaché. Nous restons vigilant pour les dates annoncées. Concernant Boubou Cissé, nous continuons á croire en ce jeune technocrate qui des sa nomination a pu sauver l’année scolaire et ramener l’accalmie au Centre du Pays. Boubou soit fort et clairvoyant en toi nous croyons pour sauver ce qui reste de notre Nation.
Bonjour
La France et le monde a besoin de médécins, de ¢H€R¢H€UR$ , de scientifiques pas de joueurs de foot!
Bonjour
La France et le monde ont besoin de médécins,, de scientifiques pas de joueurs de foot!
bravo M.SANGARE ONT COMPREND
Qui gouverne réellement dans le Mali d’IBK ?
Il faut rappeler que LE PRÉSIDENT PRÉSIDE et que le premier ministre gouverne.
PRESIDER c’est donner des orientations suivies par le chef de cabinet du président de la république.
GOUVERNER c’est rappliquer les orientations fixées à travers les membres du gouvernement désignés.
Que le président de la république, à travers son chef de la sécurité d’État, s’implique à négocier directement avec les manifestations après que ceux-ci aient rencontré son chef de gouvernement ressemblent fort à une attitude de méfiance.
IBK soupçonne t’il son chef de gouvernement d’entretenir un mouvement populaire contre son régime?
Son sort est-il déjà scellé ?
L’action du chef de la sécurité d’État est un signe que le président de la république ne va plus se contenter de présider, mais qu’il va intervenir directement.
IBK A DISCRÉDITÉ SON CHEF DE GOUVERNEMENT.
Dorénavant, la population s’adressera directement à la présidence à travers le GENERAL MOUSSA DIAWARA.
On sait maintenant que DR BOUBOU CISSE n’a aucune autorité pour refuser ou accepter les revendications puisque la présidence peut publiquement les remettre en cause.
IBK a démis DR BOUBOU CISSE de sa fonction de premier ministre.
C’est l’officialisation qu’on attend.
Autrement, il ne gouverne plus,il ADMISTRE.
IL N’EST PLUS LE CHEF DE GOUVERNEMENT, MAIS LE CHEF D’ADMINISTRATION.
Le chef de gouvernement conduit une politique définie par la majorité présidentielle.
Le chef d’administration exécute les ordres du président comme vient de le faire le GENERAL MOUSSA DIAWARA.
Plus d’un cadre qu’on connaît aurait rendu le tablier après la décision de l’homme de confiance du clan présidentiel.
Le fils D’IBRAHIM LY, le premier des premiers ministres d’IBK est parti pour moins que ça.
Que DR BOUBOU CISSE ait continué à exercer comme si de rien n’était nous fait douter de sa volonté de SERVIR L’INTÉRÊT GÉNÉRAL.
Que le président intervienne directement dans le travail du chef de gouvernement l’empêche d’avoir toute l’autorité nécessaire à exécuter sa mission.
Ce qui fait qu’il n’exerce plus pour le Mali, mais pour lui-même,que c’est la fonction qui l’intéresse, non les missions nobles qu’il doit accomplir pour la population.
Quand on a plus la possibilité de les mener, on rend DIGNEMENT le tablier.
OSER LUTTER, C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
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