Semaine riche en enseignements au sein de cette entreprise qui fait désormais la fierté de notre pays. Actualité oblige, ses portes se sont ouvertes à un médecin, militaire de son état, pour dispenser des cours de prévention sur la terrible fièvre Ebola. Auparavant, les agents s’imprégnèrent des rudiments du syndicalisme. Dans les deux cas, il s’agissait de renforcer les capacités des hommes et femmes qui animent Sécuricom.
Agents à l’école
Dès l’annonce de la découverte de l’épidémie de fièvre Ebola en Guinée Conakry, les autorités maliennes n’ont pas tardé à réagir. A leur suite, citoyennes et citoyennes commencèrent à se mobiliser. A tous les niveaux, l’on prit les mesures qui s’imposent en la matière. C’est dans ce cadre qu’il faut situer l’organisation d’une journée de sensibilisation à Sécuricom. Consciente de son rôle de veille aux aéroports, par exemple, la Direction de l’entreprise a fait appel au médecin – colonel Naouma Sylla pour échanger avec ses agents. C’était dans la journée du jeudi 3 mars.
L’homme de santé publique a fait un brillant exposé, images à l’appui, sur la maladie. A l’attention des agents, il a prodigué les conseils utiles de prévention contre la maladie. Pendant plus de trois heures, les questions réponses ont fini par rassurer les uns et les autres.
A point nommé
La veille, mercredi 3 avril 2014, ce sont les responsables et militants syndicaux qui étaient en apprentissage. Ils avaient eu le privilège de recevoir dans leurs murs l’un des grands experts du pays, M. Yaya Mallé, du monde syndical. En sa qualité de secrétaire à l’Education et aux activités culturelles du bureau de l’UNTM, il était en effet venu partager son savoir – faire et ses expériences avec ses camarades agents de Sécuricom. D’entrée de jeu, il a fait revisiter quelques définitions essentielles. Entre autres, du syndicat, de son but, son rôle et sa place dans une entreprise, …
” Le syndicat est défini comme un groupement volontaire de travailleurs ou d’employeurs, ” a t – il fait remarquer en introduction. Avant d’ajouter : ” Le syndicat est crée pour défendre par tous les moyens légaux appropriés les intérêts de ses membres “. A l’attention de ses camarades – gents, Yaya Mallé soulignera que le syndicat avait cinq fonctions principales : représentative, éducative, normative, revendicative, économique et sociale. Chacune de ces formations a été explicitée. L’expert a mis l’accent sur le fait qu’un syndicat se devait avant tout de ” contribuer à la prospérité de l’entreprise et œuvrer en retour à l’amélioration des conditions de travail de vie de ses adhérents “. Il les invita à s’approprier au préalable les lois et règlements de leur entreprise, à l’ouverture au dialogue et aux concessions en cas de différends, à la patience, à l’humilité, à la courtoisie, etc.
Des questions – réponses ont agrémenté cette journée d’échanges sur le syndicalisme. Aux inquiétudes des agents sur les conduites à tenir souvent, Yaya Mallé a donné des apaisements, sinon des pistes de légalité en toute occasion. Faut – il rappeler que l’entreprise a récemment été victime de mauvaises actions sous le label syndical par certains individus. Durant plusieurs jours, ils refusèrent de travailler, cela est aussi un droit. Mais le mal était qu’ils partaient déranger leurs collègues sur leurs lieux de travail. Pire, certains de ces individus ont osé se présenter chez des clients de la société avec leurs soi – disant doléances. Des menaces et injures furent proférées. Des témoignages attestent. Des coups de poing ont été heureusement évités pour l’instant. Mais jusqu’ à quand ? Va-t-on laisser quelques gens nuire à la quiétude générale ? Force ne devrait – elle pas rester à la loi ? Ne sait – on pas que le monde entier nous observe ? Que Dieu sauve le Mali !
B. Koné
De plus merci de vous relire svp avant de lâcher des messages bourrés de fautes comme ça
Abana koyeeee kabako par ce que le journaliste dit la vérité et que c’est une personne honnête on en déduit qu’il a été acheté par de l’argent??? Pauvre misérable regarder un peu les choses en face pour une fois et puis cher monsieur sabouzoro ou je ne sais quoi faite très attention à vos propos de plus je ne voudrais être désagréable dans mes propos mais si vous voyez que vous parler d’être acheter par de l’argent c’est que vous faite pareil et que vous êtes même pire c’est tout.
Le Mali compte trop de hassidi vraiment yarabi que la vérité continue de triompher alissa
Mr le journaliste toi tu n’est pas un vrais Kone vous defendez la direction du securicom au profit des misirables gardiens ,tu est un pure median acheter par l’argent.
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