Le secrétaire général de la présidence de la République, le ministre Ousmane Sy a reçu hier jeudi 31 janvier 2013, les communautés du nord du Mali au palais de Koulouba. Députés, élus locaux, responsables d’associations et cadres des différentes communautés du nord étaient au rendez-vous. Le but de la rencontre était d’échanger avec eux sur la période post-crise.
Après avoir souhaité la bienvenue à tous, Ousmane Sy s’est mis à l’écoute de tous les représentants. La situation de Kidal a dominé les débats. Presque tous les participants n’ont pas apprécié le fait que les militaires français soient arrivés à Kidal sans les soldats maliens, comme cela s’est passé dans les autres localités libérées. ”Nous sommes d’accord pour la négociation mais pas avec les gens qui ont pris les armes contre le Mali, des gens qui ont tué nos parents. Le MNLA et le MIA sont les mêmes, la négociation oui’‘, a laissé entendre le maire de Goundam, Oumou Sall Seck. Pour elle, la rencontre n’a abouti à aucune conclusion. ”Le secrétaire général nous a écoutés un à un. Chacun a donné sa vision des faits. Mais ce qu’il faut retenir on ne peut comprendre que nos militaires ne soient pas à Kidal, il faut qu’ils s’y soient ”. Comme Oumou Sall Seck, les cadres des communautés arabes ont demandé la même chose, tout comme le COREN qui pense que le MNLA n’est qu’une partie des autres groupes qui se sont attaqués au Mali.
L’autre aspect de la réunion était d’envisager des actions concrètes pour éviter des actes de vengeances, d’amalgames entre les différentes communautés. Les participants ont proposé une campagne de sensibilisation, surtout avec le retour de l’administration. Ils ont aussi mis l’accent sur les structures sanitaires, les banques de même que l’administration publique afin que la vie puisse reprendre son cours normal. Ousmane Sy et son équipe ont pris bonne note des contributions des communautés du nord, qui ont mis l’accent sur la décentralisation, moyen efficace pour régler les problèmes de toutes les populations du Mali, pas seulement du nord. Ces contributions des communautés arabes, touarègues, sonrhaï, peul, bozo, dogon et même bamanan seront transmises au président de la République du Mali par intérim, Dioncounda Traoré. Il faut signaler que le ministre secrétaire général de la présidence de la République rencontrera, la semaine prochaine, les acteurs de la vie politique malienne, les regroupements politiques, les députés, les partis politiques. Pour parler de la gestion du pays après crise, de la situation au nord et l’organisation des élections générales annoncées pour au plus tard le 31 juillet 2013.
Kassim TRAORE
Chers maliens,pour en finir avec ces errements incessants, il faut appliquer les bonnes recettes que les juifs utilisent contre les criminels palestiniens à savoir:
1-à defaut de les tuer, brisez les mains et les jambes des criminels et de leurs complices
2-demolissez leurs habitations et boutiques
3-rendez publiques leurs identités (prenom, nom et photos sur les medias publics (Internet, radios de proximlité, presse ecrite,..)et dans les espaces de regoupement humains pour que nous puissions les traquer partout où ils iront sur le territoire malien. Cette guerre est une guerre d’usure; c’est pour notre survie, notre dignité et notre liberté gravement ménacées.Nous n’avons pas le droite de la perdre!
Mr Omar votre langage ne sert pas votre cause ,l’extrémisme ne vous mènera nulle part ,conseille à tes compatriotes de regarder l’avenir avec optimisme et sérénités .Le Mali dans sa territorialité actuelle appartient à toutes ses composantes . Le mahatma grandi à prône la voie pacifique pour bâtir l’Inde faites en autant !!’,,,,,!’
Paroles d’un frère qui pense à la stabilité du Mali pourvu que notre région se sécurise et se consacre à son développement .
Bonne forme de communication, pourvu que les conclusions soient réellement exploitées, pour que l’avis des populations prédominent sur celui des groupes armés qui ne sont rien que des bandits
Il est important qu’on commence d’abord à laisser de côté l’hypocrisie et qu’une action judiciaire immédiate soit engagée contre les élus de kidal et Diré.
Il n’y aura pas de véritable réconciliation sans justice
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