La religion musulmane connaît aujourd’hui de nombreux problèmes dans le Monde entier. Le cas du Mali plus précisément à Bamako est particulier n’échappe à cette règle. Les raisons sont multiples. Ce phénomène a sérieusement touchée une mosquée du quartier résidentiel du président de la république. Cette mosquée située à Sébénikoro Wéréda est un théâtre de conflit intervenu à la suite des problèmes liés aux petits intérêts.
Il est inadmissible de voir ou de croire que les fidèles d’une même mosquée priant ensemble à tous horaires de prière soient privés d’un climat d’entente. Et pourtant c’est bien le phénomène typique dans cette mosquée que nous préférons taire le nom pour des raisons d’investigation plus approfondie. A la veille de la fête de tabaski, les fidèles de cette mosquée ont failli en venir aux mains. Toujours dans cette mosquée, selon nos sources « tout se trouve au rendez-vous sauf l’entente et la concorde entre les fidèles ».
La vraie raison, nous déclarent nos sources, serait une minorité de fidèles qui s’oppose à l’actuel imam de la mosquée, serait incapable de faire prier les fidèles. L’imam selon eux doit apprendre mieux pour diriger une séance de prière. Cependant les démarches et les actes posés par l’imam dans ses enseignements de la religion musulmane surtout les prières de vendredi, sont quasiment contestées et mis en cause par ses opposants. L’opposition contre l’imam dans la dite mosquée serait née à l’initiative d’un ancien aventurier. Ce dernier a saisi l’occasion de s’introduire au rang sous prétexte d’aider matériellement les membres des premières heures à construire le lieu saint en plein chantier. Ce volontariste aux dernières heures favorable à la construction de cet endroit aurait une autre idée derrière. Il a certes aidé les initiateurs à réaliser l’édifice. Même quand il s’agit de s’acquitter les frais d’entretien de la mosquée, il mettait la main à la poche pour diligenter les problèmes qui nécessitent dépense. Mais en réalité, selon les sources de certains fidèles, cette bonne volonté a transformé en dernier lieu l’ambition du bienfaiteur.
Dans nos investigations, la mosquée depuis en paillote serait dirigée par l’imam qui dirige actuellement les prières. C’est-à-dire au moment où la mosquée n’avait pas encore existé dont nous préférons taire le nom est l’un des édifices religieux les mieux construits à Sébénikoro, voire toute la ville de Bamako. L’esthétique de l’édifice tout est le contraire à la pratique exercée dans l’enceinte de cette mosquée.
Pourtant les témoins accusent cet arriviste volontaire que la construction de cette mosquée est une chance de l’actuel et le premier imam ne devrait pas être remplacé. Alors que des sources révèlent que cet aventurier n’a donné que la somme de 250.000 considéré comme son appui apporté à la construction de l’édifice. De recoupements, selon les fidèles proches de l’imam, ce conflit interne serait provoqué par une minorité opposante dans ladite mosquée. Cependant, disent- ils, l’imam n’a jamais répondu qui que ce soit avec des propos agressifs. Pour eux, l’imam est un homme de bonne foi qui prône la paix et surtout l’union entre les communautés musulmanes. Pour preuve, attestent-ils, l’imam a même évoqué le problème qui prévaut aujourd’hui au sein de sa mosquée à certains de ses confrères à Sébénikoro pour qu’ils prient afin que la paix et l’union soient retrouvées entre les fidèles de sa mosquée. Et pourtant l’islam prône la paix et l’entente entre les fidèles musulmans, alors que vaut le conflit interne dans cette mosquée, si chaque camp se réclame de musulman convaincu ?
(A suivre…)
La rédaction
La PLUME
Avez vous compris quelque chose à ce charabia?
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