Salaha Baby : Un homme compétent et intègre toujours au service du GIZ et du football malien

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Décidemment le président de la ligue de football de Tombouctou, Salaha Baby fait peur, très peur. Cet homme discret, stoïque, peu bavard fait peur ; cet homme travailleur, dévoué, respectueux et loyal fait même très peur ; cet homme, aujourd’hui providence et objet de convoitise, trouble le sommeil aux éternels tourneurs de vestes plus soucieux de leurs intérêts personnels que du développement du Mali et du football malien en particulier. 

Salaha Baby fait peur car depuis son recrutement à la GTZ devenue aujourd’hui GIZ comme agent, chef d’antenne de Diré puis coordinateur, ainsi qu’à la tête de la présidence de la ligue de football (ce qui lui a ouvert les portes de la fédération malienne de football en 2011), il est le seul homme en qui tous ses collaborateurs du projet à savoir le partenaire financier (l’Allemagne), les travailleurs et ceux du monde sportif ont fait et continuent de faire confiance, les yeux fermés. Ce qui n’est pas le cas des prédateurs de  l’agence et du football malien. Du coup on comprend que ça les énerve mais eux ne comprendront pas qu’après s’être enrichis lors de leurs passages, qu’on ne puisse plus leur faire confiance. Et depuis on s’emploie par tous les moyens à le dénigrer pardon à le détruire car il fait peur. Depuis son arrivée à la GTZ devenue  GIZ, ce cadre émérite est reconnu comme un homme travailleur, dévoué, respectueux et loyal où il devient le chef d’antenne de Diré. Avec le départ de Yéhia Ag Mohamed, il a fallu plus d’une année pour désigner un nouveau coordinateur. Du coup  ses pairs du projet ont décidé à l’unanimité de confier ce poste au natif de Tombouctou depuis 2014.  A la faveur de la restructuration des textes régissant le projet portant sur le partage des postes de responsabilité entre l’Etat malien et le partenaire financier, il a été décidé de confier le poste de coordinateur à un fonctionnaire de l’Etat. Ce qui fut fait le 23 mai 2016 avec la nomination de l’ancien ministre de l’Agriculture, Aghattam Ag Alassane car Salaha Baby n’est pas un fonctionnaire de l’Etat. D’ailleurs lors de la prise de fonction du nouveau coordinateur, un vibrant hommage  lui a été rendu pour sa bonne gestion des fonds et ses compétences reconnues. Et depuis avec le calme plat et d’un sentiment de fierté, Salaha Baby continue toujours de servir le projet par son dévouement et ses compétences. Il n’en fallait pas cela pour que ses anciens amis et compagnons devenus subitement ses détracteurs et qui veulent certainement sa mort, se réjouissent de cela comme  si leur bienfaiteur venait d’être chassé du projet. Pourtant s’il existe des personnes qui ont bénéficié de la bienfaisance, des largesses, de l’assistance, du soutien aveugle de ce cadre émérite et compétent du GIZ et non moins président de la ligue de football de Tombouctou ce sont bel et bien eux bien alors qu’il n’était pas encore devenu coordinateur à cette époque. Si cet homme intègre et compétent n’avait pas existé en son temps, il ne faisait aucun doute que ceux qui veulent sa mort seraient dans les oubliettes de l’histoire.  «Nous avons été surpris d’entendre partout dans la ville de telles mensonges sur notre collaborateur apprécié de tous. Mais lorsque nous nous sommes rendus compte d’où viennent ces ragots, nous avons vite compris que ce n’est ni moins ni plus qu’une pure méchanceté contre un homme intègre et compétent. Pour nous le problème est ailleurs pas au niveau du projet car il constitue l’un des maillons essentiels pour la réussite et la pérennisation du GIZ au Mali » confie un cadre du GIZ qui a voulu garder l’anonymat. S’il était permis de sacrifier à un quelconque inventaire des casseroles que trainent ces détracteurs responsables sportifs et administratifs, on serait bien en peine d’en trouver derrière l’actuel président de la ligue de football de Tombouctou. Serait-il si propre qu’il faut le salir ? En effet ces maitres en dissimulation et coups bas n’ont pas hésité à brandir son statut de membre du Collectif des clubs et ligues majoritaires de la FEMAFOOT pour tenter de lui nuire comme si les autres membres étaient des misérables propres. On peut citer Me Bassalifou Sylla, Moussa Konaté, Mamadou Sow, Gaoussou M’Pa Sylla etc. Mais hélas pour eux, ils ne peuvent plus ergoter davantage car non seulement malgré qu’il continue de militer au sein du Collectif, il demeure toujours au cœur des décisions importantes au sein du GIZ. Ils peuvent faire un tour  aujourd’hui pour se rendre compte à l’évidence. Mais ils ne pourront pas sous peine d’être envahi de haine, d’angoisse et de désespoir. Du coup il est aisé de comprendre ces mufles, ces tartufes et ces marchands de calomnies et de dénigrements qui jurent de trouver la petite bête, voire le gros bâton à mettre dans les roues de Salaha Baby. Etonnamment le président de la ligue de football de Tombouctou ne répond jamais car, comme disait Conficus « l’homme supérieur ne se tourmente pas ». Du coup Il a décidé de ne pas répondre à ceux qui, toute leur vie, se tapissent dans l’ombre pour nuire à la bonne réputation des autres, ceux-là même qu’il a vus, connus et entretenus pendant plusieurs années, passer et s’enrichir dans les différents postes qu’ils avaient occupé ; dont il sait la raison de leurs renvois ; dont il connait l’incompétence et les limites. Mais ce que M Baby doit comprendre cela ne doit pas l’empêcher de continuer sa longue et lourde tâche de bienfaisance jusqu’à son dernier souffle sur cette terre car ce ne sont pas des obscurs de personnes, utilisées comme paravent, à la recherche d’une façon de faire parler de soi qui doivent vous distraire. La seule chose c’est de croire en Dieu en les pardonnant tout simplement. Le président de la république, Ibrahim Boubacar Keita n’avait-il pas été annoncé mort par ces plus proches collaborateurs de confiance l’année dernière ? Le prophète Mohamed(PSL) n’a-t-il pas été caricaturé par les hommes ? Bref même le Tout Puissant Dieu n’a pas été épargné par les hommes qu’il a crée lui-même sur cette terre. Et pourtant s’il le veut les détruire, c’est en une fraction de secondes.  La seule chose que Salaha Baby doit retenir c’est lorsque tout semble aller contre toi, souviens-toi que les avions décollent toujours face au vent.

Abdoul Karim Konaté

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