Après leur meeting qui a mobilisé des milliers de personnes, la plateforme « Oui An son na» n’entend pas s’arrêter en si bon chemin. Elle a rencontré la presse, ce vendredi soir au Grand Hôtel Bamako. Pour restituer son « meeting réussi».
«Personne n’a été mobilisée à son insu», a indiqué Mamadou N’diaye, porte-parole de la plateforme, en réponse aux questions des journalistes. Pour lui, le débat autour du «motif de mobilisation» est un leurre du camp adverse pour discréditer leurs actions. «Personne, à ce que je sache, n’est venu attacher à notre meeting. De plus, ceux qui estiment être dupés étaient libres de partir aussitôt», précise-t-il.
«Ne nous nous laissons pas désabuser, ne nous laissons pas instrumentaliser, ne nous laissons pas diviser. Le Mali a plus que jamais besoin de ses filles et de ses fils unis et solidaires». C’est la quintessence du message passé par les leaders de la plateforme «Oui An son na». «Nous lançons un appel au rassemblement, à l’unité nationale, au respect de nos engagements derrière le président de la République et son gouvernement», communique Youssouf Guindo, un leader de la plateforme.
Le président de la plateforme reprend la déclaration faite au meeting du mercredi dernier. Pour Ismaël Diallo, les points contestés aujourd’hui figuraient dans le projet de révision constitutionnelle d’août 2011 sous Amadou Toumani Touré. Il cite entre autres: la nomination du président de Cour constitutionnelle, la nomination du président de la Cour suprême, le fait de nommer et démettre le Premier ministre ou encore la création d’un sénat.
En poursuivant dans la même dynamique du meeting, la plateforme «oui, an son na» annonce sa prochaine mission: «partir à la rencontre des forces vives de la nation pour une campagne d’information et de sensibilisation de proximité».
Mamadou TOGOLA/Maliweb.net
Ce que j’ai pas compris dans la nouvelle constitution Y a t-il un passage qui preserve l’unité du territoire et encore si c’est l’application de l’accord quelle rapport avec la nomination des présidents des cours ou bien cela fait parti de l’accord de plus quelles ont été la limite de l’ancienne constitution de loin le Sénégal et la Mauritanie des états paisibles ont supprimée le Sénat parce-que bugetivore nous qui sommes un état en crise que ferons nous de ça?
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