Résidence royale de Sebenicoro : Bouba, le fils d’IBK traumatise les travailleurs

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Lors de la dernière sortie médiatique du chef de file de l’opposition, l’honorable député Soumaila Cissé, il a parlé des dérives sans précédent qui se passent au sommet de l’Etat. Mais, ce qu’il a oublié de dire ou qu’il ne sait pas, est l’autre catastrophe humaine qui se passe dans la résidence du président de la République à Sébénicoro. L’«autre fils» du président de la République, Bouba Kéita, celui que personne ne voit, qui est dit d’une discrétion sans pareil par rapport à son frère Karim qui s’est fait entre temps honorable député et non moins président de la Commission défense à l’Assemblée nationale, traumatiserait les travailleurs de la résidence.

 

Aujourd’hui, notre Bouba est dix fois plus craint que le père IBK lui-même, car c’est lui qui passe plus de temps à la maison avec les travailleurs. «Nous n’avons rien à reprocher à Karim Kéita malgré tout ce qu’on dit de lui, car on le voit même pas. Quand il rentre, il salue des mains ceux qu’il voit et continue son chemin, mais son frère Bouba, c’est invivable avec lui. Souvent, il ne veut voir personne, et s’il n’y a personne auprès de lui pour un tel ou tel service, c’est le scandale. Les pauvres travailleurs sont traumatisés et ne savent plus quoi faire. Il se comporte comme une jeune fille capricieuse. Des décisions fermes par-ci, des ordres bidons par-là, des insanités par-ci», ont capté nos radars braqués sur la résidence royale de Sébénicoro.

Allergique aux gardes du corps ? Tout semble l’indiquer, car Son Altesse Bouba de Sébénicoro s’en prend souvent aux hommes déployés dans la cour pour, paradoxalement, le protéger lui et sa famille. Depuis l’article d’un confrère de la place qui a écrit que «les gardes du corps d’IBK achètent 100 FCFA de haricots et 100 FCFA de Spaghetti par personne pour se nourrir quand ils sont de garde».

Les hommes de Sékouba Koné, chef de la sécurité présidentielle, sont devenus des persona non-grata à Sébénicoro. L’exemplaire et le très correct Sékouba Koné, est-il au courant de ces abus de pouvoir sur ses hommes qui risquent pourtant leurs vies chaque jour pour protéger le président et sa famille ?

Son Altesse Bouba de Séebénicoro doit comprendre que d’être le fils d’un président de la République n’est pas une fin en soi, car d’autre l’ont été avant lui et d’autres le viendront après lui. Sinon les enfants Konaré ont été des exemples sur ce terrain et ils étaient cool avec tout le monde, surtout l’entourage direct de la famille. Donc, Bouba Kéita, pour l’intérêt de ta famille, reste ZEN !

A bon entendeur…

Moussa KONDO

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7 COMMENTAIRES

  1. Etre le fils d'1 president cest pa la fin du monde booba ;donc va au diable.ce que le fils du roi Fadh na pa fait ;cest ce que toi tu fait .???????????;n'importe quoi!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  2. HAH!AH!AH!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!, un vrai journaliste n’aurait pas utilisé une goutte de son encre pour des futilités de la sorte. Tu connais quoi de cette famille? rien. N’importe quoi, des gros titres pour ne rien dire. Dieu vous observe tous, vous les soit disant journalistes, et un jour IL vous brulera en enfer pour les médisances que vous faites à longeur de journée, vas au diable

  3. C’est indigne d’un enfant que parce que son père est président. C’est un honte à la religiosité de son père car tout homme se réclamant de Dieu cultivent à ses enfants le respect des autres qu’ils soient esclaves ou collaborateurs. Ce garçon est “gay”, impoli. Son père n’est pas éternel au pouvoir

  4. un article vide et nul retourne à l’école monsieur le journaliste. Tu n’as rien dit dans ton article, il faut que tu saches que Bouba est un mec bien et très différent des autres membres de sa famille. vas à la source au lieu de raconter n’importe quoi…

  5. si tu n’as rien à dire tu peux aller au burkina où l’actu ne fini pas son cours. c’est ca le journalisme? rien que la vie privée des gens.dégelasse!!!!

  6. HUmmm, laissez le fiston se pavaner dans son palais. Si les travailleurs ne posent pas de plainte, la vie continue

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