Dans une sorte d’innovation, la délégation Orange Mali, sous la conduite du chef de production Orange Money, Abou Guiyèye, a fait le tour de Bamako avant de se rendre à Kati, le mercredi 16 juillet. Objectif : remettre les lots aux heureux gagnants de la Tombola Sounakari à leurs domiciles. Il était accompagné de l’huissier de justice, Alassane Traoré, de l’étude Bello Camara et des journalistes de la place.
C’est dans l’après-midi du mercredi 16 juillet que la délégation d’Orange Money a débuté la remise des lots aux heureux gagnants de la Tombola Sounakari. Celle-ci a débuté à Daoudabougou, au domicile d’Ami Koïta, une jeune dame, originaire de Dioro, qui travaille comme servante dans la famille de la cantatrice Batoma Cissoko. Grâce à ses transactions à travers Orange Money, elle a reçu des mains d’Abou Guitèye, un billet d’avion pour la Mecque, un chèque de 500 000 FCFA, plus un sac de voyage. Elle a chaleureusement remercié Orange Money, avant de déclarer qu’elle est très heureuse d’offrir, grâce à Orange Money, un voyage à la Mecque à son père.
Par la suite, la délégation Orange Money s’est rendue à Sotuba et à Quinzambougou où le chef de production, Abou Guitèye, a remis un panier de rupture de jeûne et un sac de voyage respectivement aux heureux gagnants Issouf Konaté et Soumana Kéita.
Pour boucler la boucle, la délégation s’est rendue à Kati au domicile de Daniel Cissé, un autre gagnant du gros lot de la super Tombola Sounakari, propriétaire d’une quincaillerie à Kati. «C’est grâce à mes transactions à travers Orange Money que la chance m’a souri», a-t-il confié l’air heureux. L’heureux gagnant étant un chrétien, le responsable Orange Money a déclaré que, avec ce billet d’avion Orange Money, Daniel Cissé pourra visiter un lieu saint de sa convenance, la société de transfert d’argent l’accompagnant avec un soutien financier d’un montant de 500 000 FCFA. Daniel Cissé a beaucoup remercié Orange Money avant d’inviter les autres Maliens à souscrire leurs abonnements à Orange Money.
Pierre Fo’o Medjo
Communes rurales de Touba et Mourdiah :
La Fondation Orange-Mali vole au secours de 500 enfants démunis
L’APDF (l’Association pour le Progrès et la Défense des droits des Femmes Maliennes) avec l’appui de la Fondation Orange, a procédé, le jeudi 10 juillet, à Mourdiah, à la remise des extraits d’actes de naissance à 500 enfants de parents démunis. La cérémonie était présidée par la présidente de l’APDF, Mme Fatoumata Ciré Diakité. C’était en présence de l’Administrateur général de la Fondation Orange, Mme Awa Diallo et des autorités politiques et administratives des deux localités.
Partant du constat que de nombreux enfants maliens qui n’ont pas été enregistrés à la naissance sont privés de reconnaissance officielle, la Fondation Orange Mali a soutenu, sans hésiter, le projet de l’APDF d’offrir des extraits d’acte de naissance aux enfants de parents démunis. C’est ainsi qu’elle a apporté un soutien de taille aux enfants des communes rurales de Touba (Banamba) et Mourdiah (Nara) leur permettant non seulement d’avoir leurs actes de naissances mais aussi de les enregistrer au niveau de leur mairie d’origine. D’un coût total de 10 millions de FCFA, Cet apport inestimable de la Fondation Orange Mali a permis à plus de 500 enfants de parents démunis des localités de Touba et Mourdiah d’obtenir une identité et un accès à une éducation de base.
En effet, les enfants qui n’ont pas d’acte de naissance restent en marge de la société et sont confrontés à des défis majeurs comme l’accès aux soins de santé, à l’éducation et à l’aide sociale. Aussi, les autorités locales ont-elles rendu un vibrant hommage à la fondation Orange Mali pour ce geste et sollicité la continuité de ce projet dans leur localité.
A l’instar des autres fondations du Groupe Orange, la fondation Orange Mali est née de la volonté des actionnaires et du personnel d’Orange de participer, de manière structurée et pérenne, à l’œuvre consistant à se préoccuper de son environnement immédiat. Elle œuvre auprès des autorités, des acteurs sociaux, publics et privés, ainsi que des ONG, pour alléger les souffrances des populations à travers ses 3 axes d’interventions : la santé, l’éducation et la culture. Elle intègre aussi la solidarité de première nécessité compte tenu de son environnement socio-économique.
Pierre Fo’o Medjo
