Malgré le tollé provoqué par le processus de révision constitutionnelle, le Président de la République n’est pas à abandonner son référendum. Il a réaffirmé son intention de poursuivre le processus sur les antennes de l’ORTM dans le journal télévisé de mardi dernier. Manifestement, le Président IBK n’est pas atteint par les vives critiques contre son projet de révision constitutionnelle. Toutefois, il semble décider à changer la démarche. Il veut créer une unanimité autour de son projet. C’est le sens des rencontres qu’il a initiées avec la classe politique, la société civile et les organisations professionnelles.
La Rédaction
La solution est une révolution franco-malienne salvatrice des 2 peuples français et maliens pris en otage par le même groupuscule demagouilleurs éhontés. Les maliens de france doivent s’occuper du renversement de la 5ème République Française hyper-corrompue. La dernière révolution française date de 1789.
Par analyse numérologique de cette date, on voit que 2017 est la meilleure année pour la 2ème révolution française qui donnera le pouvoir effectivement au peuple français appauvri et humilié par cette minorité de magouilleurs qui suce le sang des pauvres français et africains.
Mort à la 5ème République Française et à ces marionnettes imposée un peu partout en Afrique !
Mort à la FrançAfrique !
Vive la révolution franco-malienne !
Vive la 6ème République Française !
Vive la 3ème République Malienne !
ibk n est pas loin d un coup d etat
Mr Le Président, rappelez-vous la sagesse que Mr AOK a eu en abandonnant un projet de révision de la constitution de 1992. C’est votre droit de vouloir changer la constitution. Mais avec les contestations actuelles, il serait mieux de sursoir au projet. Si c’est pour respecter les clauses des accords d’Alger, je me demande quand un accord signé à Alger ou à Tamarrasset a rétabli la paix au Mali ? Ceux de Ouaga ont même été oubliés. Rappelez-vous les réactions après les accords signés à Alger sous ATT. Le plus important dans tout cela reste la cohésion du Mali, or nous en avons besoin plus que jamais aujourd’hui. Nous sommes un pays souverain, pour rien au monde nous ne devons mener des actions dans le seul but de faire plaisir à la France, à l’Algérie ou à quelqu’un d’autre. Ces accords d’Alger ne résoudront jamais les problèmes ethniques des touaregs, qu’on l’accepte ou pas. Or, c’est justement cette rivalité qui prend en otage toute la paix au nord plus que le séparatisme, plus que l’intégrisme religieux. A bon lecteur !
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De toutes les façons nous sommes dans l’œil du cyclone et personne, personne et personne ne peut sauver ce régime qui fait aujourd’hui face à ceux qui ont fait tomber le régime dictatorial de Moussa TRAORE en mars 1991. Quand ces tombeurs de Moussa sont laisser pour compte depuis plus de dix ans, il faut se dire qu’ils ne resterons pas les bras croisés, car ils savent plus se battre que les gens qui sont au tour d’IBK et qui ignorent la capacité de nuisance de ces tombeurs du régime de Moussa TRAORE. Dans la phase de désobéissance civile, les choses irons plus vites car il y a trop, trop, trop de mécontents dans ce régime parce que toutes les ressources de ce pays tournent autour d’IBK, sa famille et quelques amis, ils sont trop peu par rapport à l’ensemble de la population malienne et les grands leaders déchus depuis plus de dix ans. La battre serait âpre mais très courte.
IBK n’a aucun argument pouvant l’amener à renverser la tendance. Le référendum est impopulaire, aucune explication ne peut amener les maliens à accepter ce scrutin qui divise le Mali en deux : Nord et Sud. Il sait pourquoi il reste attaché a ce referendum qui divise les maliens: le camp du Non c’est a dire les vrais maliens, le camp du OUI, les vacanciers .
PRESIDEN DJAGUELA TEE NIGNA, I YERE GNINI.
Monsieur le Président sauvez vous, il ne sert à rien de vous entêter. Le peuple n’est pas d’accord avec la réforme constitutionnelle.
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