Le peuple Malien a accompli son devoir civique le dimanche 18 juin. Ils étaient pour et contre une nouvelle constitution qui ouvrira la voie à la 4ème République. Dans l’ensemble, le processus électoral s’est bien déroulé, juste quelques incidents mineurs signalés. Incidents, qui, selon les acteurs électoraux, n’entachent à rien le bon déroulement du scrutin.
En attendant, les yeux sont rivés sur l’Autorité Indépendance de la Gestion des Elections (AIGE) chargé de proclamer les résultats provisoires. Une première expérience pour cette structure. L’on peut dire que c’est une victoire de la démocratie. C’est jour historique pour le pays!
Ils étaient plus de 8 millions de Maliens à être appelé dans les urnes pour écrire une nouvelle page de l’histoire du Mali, ce dimanche 18 juin, à travers le référendum pour la 4ème République. Le constat est que tout s’est bien passé dans l’ensemble, malgré quelques incidents recensés. Les forces de défenses et de sécurités qui avaient voté par anticipation le week-end dernier, étaient mobilisées sur le terrain pour permettre à la bonne tenue de cette fête de la démocratie. Il y avait de l’engouement partout, les électeurs sont sortis massivement pour se prêter à leurs devoirs citoyens. Ainsi, avec la tenue de ce référendum, les autorités de la transition vient de réussir là où des régimes précédents ont échoué. Pour rappel, la dernière tentative remonte de 2017 sous le régime du feu Ibrahim Boubacar Keïta.
Cependant, si les opérations de vote se sont bien déroulées, il faut reconnaître qu’il y a eu des incidents dans certaines localités.
«Il y a eu des individus armés qui sous la menace ont contraint les citoyens à cesser le vote. De nos différentes estimations, nous sommes à peu près à 500 bureau de vote sur les 24 000 bureaux. Ces incidents se sont passés dans toutes les régions du Mali. À Kayes, dans le cercle de Diéma, un bureau de vote a été attaqué, à Koulikoro, nous en avons connu dans l’arrondissement de Tougouni, des incidents enregistrés à Dendérossoà Sikasso. À Ségou, dans l’arrondissement de Sansanding, à Mopti, notamment dans la zone Youwarou, Téninkou, à Tombouctou, dans le cercle de Nienfounké, à Gao et à Kidal, un peut partout, des incidents ont été signalés. Mais au regard même du contexte actuel de notre pays, je dirai que ce sont des incidents très mineurs. Dans la plus part des bureaux n’eut été l’organisation et la promptitude des forces de défenses et de sécurités, on ne serait pas à ce résultat, la casse serait plus grande», a expliqué Abdoul Salam Diepkilé, directeur national de l’administration territoriale.
En effet, c’est dans le groupe scolaire Amadou Haya Sanogo de Kati que le président de la transition, le colonel Assimi Goïta a donné le ton dans le bureau n°6, au compte de ce centre. Après son vote il a salué le peuple pour sa résilience et les forces de défense et de sécurité pour leurs engagements dans la défense et la sécurisation du pays, de ces citoyens et de leurs biens. D’après lui, il est convaincu que ce référendum posera le jalon d’un nouveau Mali.
« Je salue la résilience du peuple Malien qui nous a permis de réaliser cette volonté populaire des Assises Nationales de la Refondation. Je voudrai également saluer et remercier nos forces de défenses et dé sécurités, le creuset de la nation Malienne qui veille sur notre Etat, sur nos populations et qui constituent le premier rempart pour la sauvegarde de notre souveraineté. Je suis convaincu que ce référendum ouvrira la voie à un Mali nouveau, un Malikura, un Mali fort, Mali efficace, un Mali au service du bien être des populations», a-t-il déclaré avant de lancer un appel à tous et à toutes les Maliennes de se donner la main, de faire l’union sacrée autour du Mali quelque que soit les résultats à l’issue de ce référendum.
Quand au premier ministre, Dr. Choguel Kokalla Maïga, qui a voté au centre de l’institut sacré cœur de BacoDjicoroni, en commune V du district de Bamako, dans le bureau n°17, il a mis l’accent sur le caractère symbolique de ce référendum, en appelant chacun à participer à écrire l’histoire du pays. « C’était un vote historique auquel tout Maliens en âge de voter doit se sentir fier de participer, pour être considéré demain par lui-même, par sa famille, par ses enfants, qu’il est un acteur majeur du processus de changement pour la refondation, auquel les Maliens sont en train de travailler avec le président de la transition en tête», a-t-il indiqué après son vote.
C’est au groupe scolaire de Kalaban-Coro Adékène, bureau de vote n°9 que le président du Conseil national de Transition, le colonel Malick Diaw a accompli son devoir citoyen. Comme les autres électeurs, il s’est mis dans le rang et s’est conformé aux normes. À sa sortie, il a également appelé les Maliens à l’unissons. « Aujourd’hui 18 juin, j’étais rassuré, rassuré de la victoire pas d’une victoire du oui sur le non, mais d’une victoire du peuple Malien, d’une victoire de l’Afrique, d’une victoire de la démocratie», a-t-il dit. Pour rappel, avant cette date, les deux courants, ceux du oui et du non, ont eux deux semaines de campagne. Durant lesquelles, les deux camps se sont exprimés librement sur les différents canaux de communication.
Y-a-t-il eu de vote à Kidal ?
En tout cas, à l’édition de 20h de l’ORTM, selon les sources locales, dans la region de Kidal, les opérations de vote référendaire se sont déroulées sans incidents à Aguel-hoc et à Tessalit. Les images nous sont parvenues à travers la chaîne nationale. Dans les images, l’on voyait les électeurs et les personnels de vote enturbannés. Impossible de les identifier. Même si d’autres sources évoques qu’il n’y a pas eu de vote référendaire dans cette partie du Mali.
« Je ne suis pas hostile au référendum, depuis que j’ai découvert que les militaires n’ont pas voté à Kidal, j’ai extrêmement peur des conséquences politiques si jamais on rentrait dans la quatrième République sans Kidal. C’est pourquoi, le législateur avait prévu dans la constitution actuelle qu’il n’y ait référendum si une partie du territoire est occupée. Or, depuis 2012, Kidal n’est pas sous l’autorité du Mali mais de la CMA qui l’administre et y fait la pluie et le beau temps. Sur papier, Kidal est nôtre mais dans les faits, c’est la CMA qui gère tout. Un référendum partout sauf à Kidal fera rentrer le Mali dans la quatrième République sans Kidal et les conséquences me font peurs. Apparemment, tout le monde occulte ce fait gravissime qui risque d’être une arme imparable instrumentalisable contre nous. C’est juste ça mon inquiétude! Sinon, je me plierai à la volonté démocratique du peuple!», s’en est inquité Moussa Djombana, un analyste politique, citoyen malien.
Par ailleurs, d’autres citoyens même s’ils trouvent que c’est déplorable de voter le référendum sans cette contrée, estiment que les populations de Kidal respecteront le verdict comme tous les Maliens.
En tout cas, l’on connaîtra dans quelques jours, les résultats issus de ce référendum constitutionnel, en attendant, les tendances sont favorables pour le Oui. Va-t-on basculer dans la 4ème République? L’AIGE et la Cour Constitutionnelle nous en diront bientôt!
Affaire à suivre!
Moussa Sékou Diaby
IL FAUT CLARIFIER AUX MALIENS CE QUE C EST UNE RELIGION ABRAHAMIQUE EN TOUTE RÉALITÉ, POUVOIR, ARGENT, MENSONGE, DISCRIMINATIONS ESCLAVAGE.
LES POUVOIRS AU MALI DOIVENT AIDER DE MANIÈRES PÉDAGOGIQUES À SE LIBERER, LE PEUPLE ET LA NATION, C EST IMPORTANT SI NOUS VOULONS RÉUSSIR ET FAIRE PARTIE DE L HUMANITÉ AVEC NOTRE PROPRE CONTRIBUTION, PAS EN ÉTANT LES QUEUES SOUILLÉES DES AUTRES ARABES ,CROISÉS JUDÉOCHRÉTIENS OU AUTRES…
LE PEUPLE SE LIBERE AVEC SES PROPRES CODES ANCESTRAUX, PAS EN RÉCITANT BÈTEMENT PAS EN SUIVANT BÈTEMENT PAS EN SINGEANT BÈTEMENT
Tu as raison Observateur, tu te souviens de ce que Mahmoud Dicko a dit quand le Mali a decide de changer de partenaires stratégiques dans la lutte contre le terrorisme: il ne faut enlever ta main de la main d’un Kafir (la France) et la mettre dans la main d’un autre Kafir (la Russie), c’était un moyen pour lui de donner de l’avantage de la guerre a ses amis en inhibant les leaders Maliens pour aller chercher des moyens plus efficaces contre les terroristes en Russie, Assimi et son equipe ne l’ont pas écouté fort heureusement. Mahmoud Dicko est un vrai terroriste, un tres grand allie de Iyad Ag Ali et d’Amadou Koufa et un grand mercenaire au service de la CMA et de la maudite France. En effet tous trois (Iyad, Koufa et Dicko) veulent détruire le Mali avec le support de la CMA, le SADI, le PARENA, YELEMA, et de la maudite France.
L ARABIE SAOUDITE ÉTAIT HIER EN FRANCE ET AVANT HIER À MOSCOU OU À PEKIN, SI LES SAOUDIENS PEUVENT S ALLIER AUX KAFRSFRANÇAIS ET AUX KAFRSRUSSES POURQUOI NOUS LES VRAIS KAFRS HABITANTS DES TERRES KAFRS ,LES VRAIS KAFRS NOIRS NE POURRONS NOUS PAS COLLABOER AVEC D AUTRES KAFRS D AUTRES CIEUX?….HAHAHANANANA HOHOHO, REVEILLONS NOUS TOUUUUUS!!!!!!
Tous les incidents causés lors de ce scrutin sont l’œuvre des partisans de l’imam Mahmoud Dicko.
Grâce à ce referendum les liens tangibles viennent d’être établis entre les terroristes qui ensanglante le Mali et la mouvance salafiste avec l’imam Dicko en tête.
L’imam Dicko et les criminels qui ensanglantent notre pays ont le même objectif, avoir un Kalifa au Mali avec l’imam Dicko 1er kalif du Mali. C’est le rêve de l’imam Dicko d’où son ambiguïté ( mi-politique, mi-Imam).
Partout où les salafistes ont pris le pouvoir, ils ont utilisé les mêmes ambiguïtés.
L’imam Dicko est une menace pour le Mali car il joue à un jeu très pernicieux, très vicieux à l’égard des musulmans du Mali. Ce monsieur est au service des islamistes radicaux de l’Arabie saoudite, essentiellement les prédicateurs qui prêchent la haine et la destruction, c’est à dire Al quaida.
L’imam Mahmoud Dicko est aux ordres de la mouvance salafiste d’Al Quaida.
Je vous assure à 100% que l’imam Dicko est en contact direct avec des émirs d’Al quaida.
Trouvez les répertoires de l’imam Dicko, vous y trouverez Iyad Ag Ali et Koufa, et tous ceux qui veulent détruire le Mali, voire la sous région etc…
L’État doit prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre en echec la mission de Mahmoud. Dicko. Il s’agit d’une urgence vitale pour le Mali et de toute la sous région. Ce gars là est dangereux, très pernicieux!
L’imam Mahmoud Dicko est un vrai salafiste endurci, envoyé spécial des emirs d’Al quaida.
IL FAUT LIBÉRER NOS JEUNES MALIENS DES PRÊCHES ET DES BÊTISES DE L ISLAM TELLES QUE PRÉSENTÉ PAR DICKO ET LES SAOUDIENS ET MAHAMOUTOUN DICKO DISPARAÎTRA DANS LA POUSSIÈRE COMME SON BEAUFILS KAOU DJIM.
LE NORD ET LE CENTRE DU MALI ONT ÉTÉ MINÉS PAR LES ARABES DURANT DES SIÈCLES, LAVAGES DE CERVELLES, MÉTISSAGES DE GUERRES, CRIMINALITÉ. ..
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