Le fonds d’appui à la formation professionnelle et à l’apprentissage (Fafpa) joue toute sa partition dans la mise en œuvre du plan d’action du gouvernement, vision du changement et des objectifs prioritaires édictée par le Président IBK. Il s’agit de la promotion de l’emploi et de la formation professionnelle en vue de créer 200.000 emplois à l’horizon 2014.
C’est dans la réalisation de cet objectif que s’est déroulée la cérémonie de lancement du projet de développement des compétences des femmes des camps militaires. C’était à Kati en fin de semaine dernière sous la présidence effective du ministre de l’Emploi et de la Formation Professionnelle, porte-parole du gouvernement, Mahamane Baby. Accompagné du ministre de la Défense et des Anciens combattants, Soumeylou Boubèye Maïga et plusieurs autres personnalités.
Ce projet du Fafpa va concerner les camps de Kati, Bamako, Ségou, Kayes, Sikasso, Koulikoro et Mopti. Ce sont 1420 femmes qui seront formées dans les camps de Kati et de Bamako avec 72 kits fournis, autant d’activités créées. D’où au finish 1420 emplois créés.
Pour l’occasion, le Directeur général du Fonds d’appui à la formation professionnelle et à l’apprentissage (Fafpa), M. Mohamed Albachar Touré indique que la participation de son service à ce projet est l’illustration que le fonds jouera sa partition dans la mise en œuvre du plan d’action du gouvernement.
Quant au Ministre Baby, il dira qu’il n’y a pas de développement sans la promotion de l’emploi. Pour lui, le projet portant création de 1420 emplois est venu à point nommé, car les femmes des camps font partie des couches les plus défavorisées du développement. La politique, dit-il, remédiera ce que l’on peut appeler les contres-balances du développement. En sa qualité de porte-parole du gouvernement, M. Baby soutient que cette action rentre dans le cadre de la réalisation des promesses de campagne du Président de la République.
Ousmane COULIBALY
Bien vu le FAFPA, ça contribuera à requinquer le moral de nos troupes, sachant que le nansongho est garant à la maison. Il faut penser aussi aux veuves de nos militaires.
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