Nommé il y a juste quelques temps à la tête du projet jeunes de Sogoniko, Sankaria Maiga commence déjà a marqué cette organisation de son emprunte. En effet, agent de terrain depuis plusieurs années dans le même projet alors dirigé par M. Yacouba Garba Maïga, Sankaria a eu le temps d’apprendre, de comprendre et surtout de connaitre tous les coins et recoins de ce projet sensible et important dans la politique nationale de la sante des jeunes et de la reproduction chez les jeunes.
Né le 05 avril 1969 à Mopti, Sankaria Maïga est un administrateur civil hors pair qui a fait ses preuves dans l’élaboration de documents cadre, l’exécution et Suivi-Evaluation de projets de Développement, l’Analyse de projets, formation des formateurs en matière d’élaboration et de suivi de projets, formation des formateurs en SR et VIH.
EXPERT IEC au Projet Jeunes et cumulativement Chargé de Suivi- Evaluation de la Cellule sectorielle de Lutte contre le Sida au Ministère de la Jeunesse et des Sports, depuis 2007, Maïga a été aussi Coordinateur du Projet sous Régional Info/Santé/jeunes (Mali, RCI, Niger dont la coordination régionale était basée à Dakar) comprenant 1 radio thématique sur la SRAJ et le VIH/Sida/Radio Voix des jeunes (Projet financé par l’UNFPA dans le Cadre du 5ème Programme Mali/UNFPA à travers les fonds Belges de 2003 à 2006).
Chargé de mission au cabinet du Ministère de la jeunesse et des sports en 1999, aujourd’hui à la tête du projet grâce à la vision du Ministre Hamèye Founé Mahalmadane qui consiste à mettre des gens les plus doués dans leurs secteurs respectifs que possible, pour donner plus de résultats concrets et satisfaction. Cette attente semble être déjà comblée car après sa nomination, Sankaria s’est fait entouré des meilleurs agents et a procédé à une certaine redéfinition des taches et des responsabilités.
Sans vouloir faire des commentaires sur sa nouvelle vision afin de combler les attentes, Sankaria Maïga reste optimiste quand à l’avenir de ce projet et surtout à l’accomplissement des missions qui désormais les siennes.
M. KONDO