Projet de Kabala : Les premiers tests industriels d’eau prévus en décembre

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Le projet d’alimentation en eau potable de la ville de Bamako à partir de la localité de Kabala est le plus grand ouvrage de la sous région. En principe, la station de pompage produira 288 millions litres d’eau par jour. Dans le souci de mieux s’imprégner de l’état d’avancement des travaux , le ministre de l’Energie et de l’Eau, Sambou Wagué, a visité, hier, ce gigantesque chantier.

A cette occasion, le ministre était accompagné des directeurs de services techniques en charge de l’eau de son département. Après l’accueil, la délégation ministérielle, les responsables de la mission de contrôle et ceux du groupement d’entreprises en charge du projet ont fait le tour du chantier. A ce jour, le taux de réalisation de ce projet qui mettra fin à la pénurie d’eau potable dans notre capitale et ses alentours, avoisine les 80%.

Il ressort des explications des responsables du projet que les premiers tests industriels d’eau sont prévus en fin décembre. Le ministre Wagué a poursuivi sa visite en se rendant sur le site de la station de traitement et de pompage. Là aussi, le taux des travaux est de 80%. La délégation a aussi visité le site de la prise d’eau et de la station d’exhaure dont les travaux de réalisation ont attient 98 % à nos jours.

Le ministre Sambou Wagué a, ensuite, mis le cap sur le chantier des réservoirs de Bacodjicoroni Golf. Ici, les travaux sont presque finis et il ne reste que le raccordement.

Ces deux réservoirs ont une capacité de stockage de 20 millions de litres d’eau. Le chef du département en charge de l’Energie et de l’Eau a également visité le chantier du réservoir de Tomikorobougou qui a une capacité de stockage de 2,5 millions de litres d’eau, ainsi que le château de Sikoro d’une hauteur de 16m pour une capacité de 2 millions de litres d’eau. Il convient de signaler que les personnes touchées par les différents travaux ont été déjà dédommagées. «Le projet d’adduction d’eau potable de Kabala a pour ambition de fournir dans un bref délai 144 millions de litres d’eau par jour à Bamako, et à l’horizon 2030 à peu près 580 millions de litres d’eau par jour», a expliqué le ministre Sambou Wagué. «J’ai constaté que certains travaux avancent normalement. J’ai aussi constaté des problèmes, notamment pour ce qui concerne certains travaux financés par la Banque mondiale», a indiqué le ministre. Par ailleurs, Sambou Wagué a fait savoir que depuis août 2018, la Banque mondiale avait écrit au département de prendre des dispositions quant aux dédommagements de certaines propriétés touchées par les travaux. Ce problème déjà résolu, le ministre entend mettre les bouchées doubles pour que les délais contractuels soient respectés.

Babba B. COULIBALY

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  1. Les expériences du Pentagone en Géorgie provoquent une épidémie de peste porcine en Belgique

    Les expériences du Pentagone en Géorgie provoquent une épidémie de peste porcine en Belgique

    Les 100 000 pages de documents rendus publiques par l’ancien ministre géorgien de la Sécurité nationale, Igor Guiorgadze, laissent apparaître que le laboratoire de Gilead Sciences du Centre Richard Lugar de Tbilisi (Géorgie) poursuivait des tests d’armes chimiques et biologiques pour le Pentagone .

    Ces expériences, prétendument destinées à lutter contre l’hépatite C, ont coûté la vie à 73 patients dont au moins 49 ont été délibérément sacrifiés.

    Selon le responsable de la lutte biologique, chimique et nucléaire au ministère russe de la Défense, le général Igor Kirillov, les souches des animaux morts en 2007-18 de l’épidémie de peste porcine en Russie sont les mêmes que celles du centre Richard Lugar connues sous le nom de Georgie-2007.

    L’épidémie de peste porcine qui s’est propagée au cours de la décennie depuis la Géorgie vers la Russie et les pays baltes d’autre part proviendrait donc, accidentellement ou volontairement, des expériences de Gilead Sciences.

    L’épidémie de peste porcine qui sévit actuellement en Belgique ne semblait pas liée à ce phénomène puisqu’elle est encore loin des zones contaminées. Cependant, le ministre wallon de l’Agriculture René Collin a révélé que l’origine de l’épidémie belge est la base militaire de Lagland, dans la province belge du Luxembourg. Des militaires ayant participé à des manœuvres de l’Otan dans les pays baltes y séjournent.

    Les documents en cours d’étude pourraient également permettre d’établir un lien entre les expériences de Gilead Sciences et les TIQUES porteuses de la fièvre hémorragique Crimée-Congo qui se propagent actuellement au Sud de la Russie.

    Parmi les documents révélés par Igor Guiorgadze figure également un brevet pour un drone capable de disséminer des INSECTES infectés ; une découverte à rapprocher des travaux du Darpa sur l’infection des cultures.

    La Russie a demandé des explications aux États-Unis et se prépare à saisir l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC).

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