Procès pour troubles graves à l’ordre public : Hamadoun Amion Guindo et autres écopent de six mois de prison avec sursis

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Le verdict tant attendu est finalement tombé.  Hamadoun Amion Guindo, Younouss Hamèye Dicko et Rokhia Sanogo de la Copam ; Boubacar Boré, Yacouba Niaré et Mamadou Sangaré, de ‘’Yéréwolo ton’’, ont tous été condamnés à six mois d’emprisonnement avec sursis par le Tribunal de Première Instance de la Commune III du District de Bamako. C’était hier 28 août 2012.

Bakary Boré, président association Yerè Woloton

Si les premiers ont été condamnés pour complicité de troubles graves à l’ordre public, les seconds par contre l’ont été en tant qu’auteurs, ayant pris une part active à la commission de l’infraction.

Les avocats des premiers, pour leur part, estiment que cette condamnation est plus que lourde. Pour Me Moussa Keïta, ni les débats, ni l’enquête  n’ont démontré d’actes de complicité à leur égard. Ils comptent, après concertation, exercer les recours appropriés contre cette décision.

On se rappelle que  Hamadoun Amion Guindo, Younouss Hamèye Dicko et Rokhia Sanogo  ont été les initiateurs de la convention nationale des 21 et 22 Mai 2012  qui a dégénéré et a abouti à l’agression physique du Président de la république Dioncounda Traoré. Le Ministère public avait demandé leur condamnation et les avocats de la défense ont estimé qu’il serait mieux de les relaxer purement et simplement, afin d’aller à l’apaisement, situation politico sociale oblige.

Le président du Tribunal ne les a   pas suivis. Et tous ont été condamnés à six mois d’emprisonnement avec sursis.

La COPAM, tout comme l’association Yèrèwolo Ton, a fait couler beaucoup d’encre et de salive, après les manifestations du 21 mai qui ont conduit à l’agression du président Dioncounda Traoré, dans ses bureaux du palais de Koulouba. A l’appel de la COPAM, pour la tenue d’une convention nationale qui n’avait pas été convoquée par les autorités de la transition, plusieurs manifestants incontrôlés voulant exiger le départ du président par intérim,  ont décidé de marcher sur Koulouba. La suite est connue.

Une enquête a été ouverte pour troubles à l’ordre public. Mais le ministre de la Justice garde des sceaux, prenant la mesure de la gravité de la situation, fit ouvrir un dossier pour tentative d’assassinat, complicité de tentative d’assassinat et non assistance à personne en danger. Le procès qui s’est tenu hier 28 août au Tribunal de première instance de la Commune III concerne, bien entendu, le dossier de « troubles graves à l’ordre public ».

C’est donc le procès opposant le Ministère public aux responsables de la Coordination des organisations patriotiques du Mali (Copam), accusés d’avoir commis des troubles graves à l’ordre public, qui vient de connaitre son dénouement.

Binta Gadiaga


 Verdict du procès des responsables de Yèrèwolo-Ton

Boubacar Boré et ses deux complices condamnés à 6 mois d’emprisonnement avec sursis

Le verdict est enfin tombé hier mardi dans le procès contre les auteurs de troubles graves à l’ordre public. Ils ont été condamnés à 6 mois d’emprisonnement avec sursis par le Tribunal Correctionnel de la Commune III du District de Bamako.

L’affaire remonte au 21 mai 2012 lors d’un soulèvement populaire contre la légitimité du le président de la République par intérim, Dioncounda Traoré, qui a dégénéré à son agression jusque dans ses bureaux à Koulouba.  Les trois leaders de l’association « Yèrèwolo – Ton » (les fils dignes en langue Bambara), Boubacar Boré, Yacouba Niaré et Mamadou Sangaré ont été reconnus coupables. Ils avaient été accusés pour avoir semé des  troubles à l’ordre public le 14 août dernier devant le même Tribunal. Le verdict tant attendu est finalement tombé ce mardi 28 août 2012 sur une condamnation à 6 mois d’emprisonnement avec sursis au lieu de six mois d’emprisonnement ferme comme réclamé par le procureur de la République du tribunal correctionnel de la Commune III. Les troubles graves à l’ordre public  ont obstrué presque toutes les voies publiques de Bamako  par  des attroupements illicites, barricades, allumages ou entretien de feu dans le but d’entraver ou d’empêcher la circulation des personnes ce jour-ci. Cette manifestation a été poursuivie jusqu’au palais présidentiel, entraînant ainsi l’agression de Dioncounda Traoré, président de la République par intérim.

Moussa Dagnoko

Commentaires via Facebook :

14 COMMENTAIRES

  1. Arretez votre haine envers la COPAM. Un jour, on trouvera les vrais coupables. Vous voyez qu’on ne pouvait meme pas les juger pour l’agression de Dioncounda parce qu’il n’y aucune charge contre eux. On les accuse seulement de trouble à l’ordre publique. Les vrais coupables sont ailleurs et il faut les chercher. Cessons les racourcis. S’il y a parodie de justice, c’est vraiment ce proces qui ne devrait meme pas avoir lieu. Il y a eu des videos concernant l’agression de Dioncounda et on reconnait bien ce qui l’ont aggressé. Pourquoi ne pas les rechercher au lieu de faire une vengeance politique. Lorsque les vrais coupables seront decouverts, on retrouvera les commendiatires et certains seront tres surpris parce que certains responsable du FDR sont les vrais commenditaires de l’aggression de Dioncounda. Les premier qui ont beneficie de cette aggression sont qui aujourd’hui? Le plus grand perdant a été la COPAM parce que leur mouvement a perdu son ascension et du jour au lendemain, Dioncounda a été accepté par tous les Maliens. Les Maliens ont un faible pour les victimes. Reflechissons et laissons de coté les commentaires des journalistes au service des forces obscures du Mali.

  2. Parlez-moi de Justice!
    Un procès politique, tout ficelé jusque dans son verdict.
    Nous avons tous entendu parler de ce procès qui soulève les passions, des anti-putchistes et des patriotes de la COPAM. La tenue d’une Convention le 21 Mai, convoquée par la COPAM a mis la ville sens dessus dessous… Le peuple est sorti : gens de bonne foi qui voyaient se profiler à l’horizon une sortie de crise sans le retour des fantômes du passé, voyous et jeunes désoeuvrés, excités et extrémistes de tout bord, soldats déçus par la tournure de leur coup de force, associations qui réclamaient le départ de Dioncounda et tout ce monde a crée embouteillages et retards parmi les citoyens qui se rendaient ce jour-là à leur boulot.
    Pendant ce temps au CICB, la COPAM a décidé, avant de s’atteler aux travaux du jour, de porter un message au PM, à la Primature pour lui transmettre le vœu des membres de ce regroupement : la tenue de cette concertation et le respect de la constitution, sur le thème des 40 jours accordés au Président intérimaire, Pr. Dioncounda Traoré.
    Ainsi, la délégation de la Copam, a quitté le CICB et a pu s’entretenir avec le PM. Une fois leur mission accomplie, ils sont retournés au CICB afin de continuer leurs travaux.
    Entretemps, des milliers de jeunes ont afflué vers Koulouba et, chose inouïe, ils ont pu avoir accès au bureau du Président, ont pu l’agresser violemment, devant des gardes, incapables de réagir et de le protéger, à l’exception d’un d’entre eux, qui a eu la bonne idée de se dépouiller de son casque et de le lui faire porter pour éviter le pire.
    Des zones d’ombre, jamais éclaircies.
    L’indignation que soulève cet acte de barbarie a fait pleurer notre PM qui n’a pas pu annoncer cette atrocité avec les mots qu’il fallait au journal de 20H. Il promet que les acteurs de cette sauvagerie, qu’on a déjà transformée en tentative d’assassinat, seront punis. Et voilà que la justice se met en branle pour trouver des victimes expiatoires.
    A l’époque, le FDR cherchait la tête des patriotes de la COPAM, des articles pleuvaient pour prêter toute sorte de sentiments criminels et opportunistes aux leaders et aux têtes pensantes de ce mouvement.
    Et voilà que l’on convoque, à tour de bras, chez Sombé Théra – le procureur qui a réglé leur compte aux journalistes de l’article de la maîtresse du Président du temps de ATT – les jeunes du Yéleworoton et les vieux de la COPAM … Visite à la Gendarmerie, au Procureur et le chef d’accusation tombe pour nos politiciens : Troubles graves de l’ordre public… On n’a rien trouvé de consistant et les dossiers sont vides de preuves, mais ces gens de la COPAM sont des bêtes à abattre qui pointent du doigt ce qui cloche dans cette transition, les entorses et les malfaçons que l’on fait subir à l’Accord Cadre et aux espoirs du peuple. Ils n’ont pas de poils sur la langue et clament haut et fort ce qui ne va pas. Ils ne sont pas achetables, des durs à cuire, comme ce Professeur Younouss Hamèye Dicko qui donne du fil à retordre par son sens critique et son franc parler…Rokia Sanogo, la Pasionaria du MP22. On les diabolise ces trois responsables, le Président de la Copam, Guindo, la dame de fer du MP22 et le Prof de l’ADR… Bien sûr, le Soufi Diallo, l’avocat du diable, Me. Gakou, et l’Honorable Mariko passent entre les mailles du filet et ne connaissent pas le même sort bien qu’ayant été présents au CICB, ce 21 Mai.

    • Le déroulement du procès ou les faiblesses de notre justice

      Le procès des trois membres de la COPAM, débute le 7 Août, avec plus d’une heure de retard, à trois semaines d’intervalle au cours du mois d’Août. Convoqués à 8 heures du matin, il débute à 9 h passés dans l’irrespect le plus total des avocats de la défense et des accusés. Ceux-ci endurent 4 heures d’interrogatoire sans avoir droit même à cette chaise qui a donné lieu à l’expression courante, « se trouver sur la sellette », « le banc des accusés ». On n’ose pas prononcer le verdict car les dossiers sont vides… On reporte encore d’une semaine. Jamais dans notre capitale, un chef d’accusation de ce genre – trouble à l’ordre public – inventé, imaginé et forgé de toutes pièces, a été puni avec autant d’acharnement… Les avocats démontrent avec panache l’inconsistance de cette accusation non fondée avec exemples à l’appui. Les autorités religieuses, Haidara du HCI a-t-il été poursuivi lorsque, à la suite de son prêche et de son meeting au stade M.K, il y a eu 36 morts ? A-t-on sévi sur les autorités de la Femafoot et la Sécurité lorsque, à la suite du Match, Mali Togo, les supporters se sont dispersés dans la ville et commis des actes violents et répréhensibles, dont d’iniques viols sur des femmes chinoises et détruit tout sur leur passage ? A-t-on jamais coffré les fous des cortèges de mariage qui obstruent les rues et causent des accidents parfois mortels ? Et je pourrais donner mille exemples de cet incivisme et cette sauvagerie qui caractérise les masses en furie et que personne ne programme, ne peut contrôler ni maîtriser… ni les autorités religieuses, ni la sécurité, ni les forces de police, encore moins ces gars de la COPAM, depuis leurs ateliers de travail au CICB.
      S’il faut chercher un coupable… commençons par le commencement et remontons aux forces de sécurité et au Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité nationale qui, à la suite de cette action barbare commise sur notre Président aurait dû démissionner; mais au Mali, l’honneur et la dignité ne sont plus de mise.

      • Un calamiteux verdict tout prêt et qui dépasse les bornes de l’injustice

        Aujourd’hui, 21 jours après le premier procès et une séance commune au Tribunal, où voleurs de grand chemin et hommes politiques sont mis sur le même banc, on vient de prononcer un verdict étonnant qui fait révolter les hommes et les femmes honnêtes de ce pays… La justice vient de crier haro sur ces trois personnes du CICB, qui auraient brûlé des pneus, en les condamnant à SIX MOIS DE PRISON avec sursis. Nous avions cru que Malick Coulibaly amènerait la probité au sein de la justice, vendue et corruptible… Nous sommes-nous trompés ?… un verdict élaboré à partir d’un dossier vide… parachuté d’où ???? Des tréfonds d’une âme sensible qui pleure devant les malheurs du Président mais qui n’est pas assez vaillante pour faire un mea culpa et dire combien la politique sécuritaire de ce pays a été défaillante ??? Et encore on dit dans les coulisses que la peine dictée était de cinq ans de prison ferme.
        Aucun citoyen malien ne sera dupe. On connaît qui est qui dans ce pays et nous sommes conscients que les malfrats, les criminels et les voleurs se promènent gaîment partout. Vous avez désigné des coupables de troubles publics même si leurs dossiers sont vides et si on doit salir la réputation de ces personnes mais pourvu que la CEDEAO gobe cette histoire et que l’âme sensible en soit satisfaite. Quant aux jeunes du Yéléworoton, eux, c’est la prison ferme… et vous croyez que le peuple malien prend les vessies pour des lanternes ? A cette heure-ci les vrais coupables doivent bien se gausser de vous… tristes sires de la justice malienne. Vous n’apprendrez jamais … sacrifier des patriotes pour faire plaisir à des commanditaires, dans un mensonge outrancier ne passera pas… Même si, à l’appel, votre justice les reconnaîtrait mille et mille fois coupables, nous, le peuple et les patriotes du Mali, saurons les acquitter et leur rendre leur honneur sali.

  3. Nous disons un grand merci pour la justice, mais il faudra que les gardes présidentiels aussi soient juges car ce jour-ci ils ont aussi participe en ouvrant les portes aux manifestants. Alors, ils n’ont pas joue leur rôle de sécuriser le président.

  4. A Maliweb, SVP, évitez le plus possible de mettre la photo de Boré, je crains que ma journée ne soit gachée chaque fois que je vois sa tête! 😈 😈
    Merci.

  5. Mais les autres militaires ne peuvent rien dire car ils sont tous désarmés sinon il est évident que beaucoup de soldats sont farouchement opposés à cette junte qui brille par son incapacité.
    Tenez vous bien, Le capitaine SANOGO à été renvoyé du prytanée militaire pour insuffisance de niveau, le lieutenant KONARE a échoué à son brevet de para , quant à l’adjudant Seyba DIARRA il a été renvoyé du régiment para pour indiscipline, voila les trois soulards qui veulent diriger notre armée; Mais que non non et non .Mais dans les jours à venir la donne va changer car le Capitaine SANOGO sera poursuivi par la CPI

    • Merci pour ces infos. Mais pour être sincère, cela était visible dès leurs premières interventions à la télévision !

      • Très profond comme commentaire… heureusement que tu as les émoticones pour que les gens te remarquent!!! C’est des légers comme toi qui font que notre pays et sa justice vont de travers… Ansar Edine ne peut que s’étendre vu notre incapacité à voir détecter le mensonge de la vérité et à adopter les bonnes résolutions et les bonnes conclusions… Les vrais coupables se promènent dans la nature, et des crétins comme toi applaudissent que des innocents soient condamnés pour des crimes qu’ils n’ont pas commis! Pauvre Mali avec des zozos comme toi on n’ira pas loin!!!
        😥 🙁 😥 🙁 😥 🙄 🙄 🙄 🙄 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳

    • SI CETTE INFORMATION EST VRAIE…CE NE SERAIT PAS SURPRENANT ….

      AU MALI…LES CANCRES TROUVENT TOUJOURS UN MOYEN DE SE RETROUVER DEVANT…SACHANT QU’ILS N’ONT AUCUNE SI ILS DEVAIENT RENTRER PAR LA VOIE NORMALE QUI EST LA PORTE…ILS RENTRENT SOUVENT PAR LA FENÊTRE…

      ET DANS LE CAS DE NOTRE BANDE DE FANFARONS PUTCHISTES … ILS SONT RENTRÉS PAR LE TOIT EN METTANT LE FEU PARTOUT…

      MAIS COMME LE MALI EST AUSSI LE PAYS DES PLUS OPPORTUNISTES DU MONDE…CERTAINS…BIEN QUE TRÈS INTELLECTUELS ET SE DISANT DÉMOCRATES…ONT AUSSI VU UNE OPPORTUNITÉ D’ACCÉDER AU POUVOIR ET DIRRIGER LE PAYS…

      SINON…ON NE PEUT PAS SE DIRE DÉMOCRATE… SUPPORTER ET COLLABORER AVEC DES PUTCHISTES…QUI ONT FAIT UN COUP IRRÉFLÉCHI À UN RÉGIME LÉGITIME ET TRÈS LOIN D’ÊTRE OPPRESSIF…

      ILS VONT TE SORTIR TOUTES SORTES D’EXCUSES…MAIS CE SONT SIMPLEMENT DES OPPORTUNISTES AFFAMÉS DE POUVOIR…

      DE CMD … A DJONKOUDA … AU COPAM ET FDR…LA VRAI LESSON DE DÉMOCRATIE … AURAIT ÉTÉ DE MONTRER À SES FANFARONS QUE LES COUPS D’ÉTAT N’ONT PLUS LEUR PLACE AU MALI…MAIS SU LIEU DE CELA…

      AU CONTRAIRE ON A MONTRE QUE N’IMPORTE QUEL FANFARON MILITAIRE…POUR UNE RAISON OU UNE AUTRE … POURRA TOUJOURS FAIRE UN COUP D’ÉTAT AU MALI … ET SE TROUVER DES ALLIÉS PARMI CEUX QUI PRÉTENDES ÊTRE DES DÉMOCRATES ET SUPPORTER ET DÉFENSEURS DE DÉMOCRATIE …

      EN PLUS… ON N’A QUAND MÊME CONNU LE RÉGIME MILITAIRE PENDANT 23ANS…SI ÇA NE NOUS A PAS SORTI DE MERDE EN 23ANS … ÇA NE NOUS SORTIRA JAMAIS DE MERDE..SANS OUBLIER LE CÔTÉ SANGUINAIRE DE GMT ET LA POLITIQUE DE “TAIS TOI OU ON TE FAIT TAIRE..”

      QUELLE MALÉDICTION !

      Moussa Ag, QUI OUBLIE PEUT ÊTRE QUE LA POLITIQUE ET L’OPPORTUNISME VONT ENSEMBLE…SURTOUT AU MALI

  6. On court trop vite la. Le moment n’est pas venu pour ce genre de jugement. Il faut d’abord une reflexion de l’unite nationale, la paix et la securite a travers le territoire. Il reste aussi beaucoup a juger dans ce pays. Le jugement doit aller aussi au sein de la CEDEAO. Parce que tout le monde a seme le desordre et personne n’a respecte sa parole d’honneur.

  7. ET LE SOLDAT RATÉ QUI A INCITÉ LES BADEAUDS AVEC SES PROPOS ET PROMESSES PROPAGANDISTES …JUSTE POUR DEVENIR EX-CHEF D’ÉTAT SANS JAMAIS ÊTRE CHEF D’ÉTAT…

    “DJONKOUDA FERA 40 JOURS ET PAS 1
    HEURE DE PLUS…”…CE N’EST PAS LA OU TOUT À COMMENCE…QUAND LE SOLDAT RATÉ QUU AVAIT PRIS LE PAYS EN OTAGE…N’A PAS TENU SA PROMESSE ET À CHOISI SA POCHE AU DELÀ DES OPPORTUNISTES QUI ESPÉRAIENT LE VOIR PRÉSIDENT…

    PAUVRES OPPORTUNISTES…MAINTENANT VOUS NE PASSEREZ JAMAIS LE TEST DE MORALITÉ DU PM ASTROPACIFISTE ET ALLIÉ DES SOLDATS RATES…

    BON ON VA VOUS AMNISTIER MAIS DITES À VOS BADAUDS DE NE RIEN CASSER À CAUSE DE CETTE DÉCISION SYMBOLIQUE…QUI EST UNE SIMPLE FARCE…

    AU MOINS …ON EST CERTAIN D’AVOIR FINI AVEC LA FAMEUSE INVESTITURE DU SOLDAT RATÉ…MÊME LUI VOUS AVAIT DIT NON…APRÈS SA RANSON . …MAIS L’ART DE L’OPPORTUNISME NE CONNAÎT PAS LE RIDICULE…DEMANDEZ À L’EX-CHEF D’ÉTAT SANS JAMAIS ÊTRE CHEF D’ÉTAT…

    Moussa Ag, QUI DIT QUE L’INTOUCHABLE INCITATEUR EST PLUS COUPABLE QUE LES PAUVRES OPPORTUNISTES…

  8. Est ce que la complicité a été établie? Attention! Évitez la justice facile pour faire plaisir au FDR et a la fausse communauté internationale. Car Dioncounda n a pas été frappé. Il s’était retirer en France pour bien trahir le Mali et le peuple malien laborieux avec la complicité des traites du FDR et des hypocrites chefs d’état mal élus qui ont défilé chez lui. Quand ADO a su qu il ne jouera pas jusqu’au bout la mission à lui confié, lui , il n’a plus voulu aller le saluer dans sa cave. Il arrive et il debale le résultat de la trahison a travers un discours fleuve sans rethorique qui viole la constitution du 25 février 1992 qui fait de lui le président par intérim pour 40 jours. Non seulement il n’a pas démissionner au bout de ses 40 jours, il devient le problème du Mali. Or il voulait faucher l’herbe sous les pieds du PM . Une stratégie a deux sens: acte 1: Dioncounda propose plusieurs organes de manière à fragiliser le PM.
    Acte 2: les destructeurs du FDR montent les enchères pour demander la démission du PM.
    Résultats: soit le PM démissionne car fragiliser par les propositions de création des nouveaux organes
    Soit il reste et devient un PM sans valeur. Mais ces destructeurs n’avaient pas pris en compte la dimension du peuple . Puisque les destructeurs avaient l onction de la CEDEAO. Le résultat est la. Les destructeurs sont défaits et leurs fanfarons porte parole a démissionner et Dioncounda sort vainqueur car il a au moins son poste de président par intérim garanti.

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