En début de semaine, le climat était très tendu en commune II du district de Bamako. Et pour cause, les populations protestaient contre la décision d’interdiction de pouvoir déposer leurs ordures au dépôt de transit habituel (entre le CFP et le stade Omnisport Modibo Keïta de Bamako). Ce qui les avait poussés à déverser les ordures dans la quasi totalités des artères de ladite commune. Et pour trouver une solution idoine à cette situation, les plus hautes autorités ont décidé de prendre les taureaux par les cornes. C’est ainsi que le ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, Mahamane Baby, et la direction de l’Agence pour la promotion de l’emploi des jeunes (Apej), dirigé par Amadou Cissé ont décidé de conjuguer leurs efforts pour soulager la population. Ils ont, à cet effet, mobilisé des véhicules (Bennes) et des jeunes pour évacuer les ordures de la commune II du district de Bamako. Le dépôt de transit qui avait été fermé a été rouvert pour accueillir les déchets. Le ministre Baby et le directeur général de l’Apej ont été sur les lieux pour constater de visu les travaux d’évacuations. Et dès lors la situation est revenue au calme comme si de rien n’était.
Aguibou Sogodogo
Bravo Commune II…tous les quartiers sont appeles a faire la meme chose. Des maires nullards n’ont plus leur place de fumisterie dans la societe. Il faut les brutaliser cest le seul message qu’ils entendent reellement.
Cet probleme ne conserne pas seulement la commune II mais toutes les communes de Bamako et toutes les villes dy mali.
Le mali est un pays sale tout simplement!
Personne ne veut travailler:
-certains prennent des armes et tuent
-d’autres mentent volent et detournent, leur famille d’abord
-….
Je suis d’accord avec toi. Les maires sont surtout nuls…ils ont vendu tous les espaces verts des quartiers… maintenant dans les quartiers entassé comme Missira et Medina coura il y a meme d’oxygen a respirer… et les maires insensibles se permettent de plus a y accumuler les ordures cest ça là où les habitants ont peter…comme ont dit: cabri trop serré fini par mordre.
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