La Coordination des Associations et ONG Féminines du Mali (CAFO) a organisé, mercredi dernier, une conférence de presse à la Maison de la presse de Bamako. Parmi, les points inscrits à l’ordre du jour de cette conférence de presse, on peut citer entre autres : la nomination de la présidente de l’organisation Oumou Touré Traoré comme ministre de la promotion de la femme, de l’enfant de la famille, l’appui des femmes de la Cafo à leur ministre pour réussir les missions que les plus autorités lui ont confiées à travers, le Premier ministre et le président de la République, l’appropriation de l’accord pour la paix et la réconciliation nationale et l’apaisement du climat social et le renforcement de la cohésion.
D’entrée de jeu, la présidente par intérim de la coordination des associations et ONG féminines du mali (Cafo), Keita Fatoumata Sissoko, dira qu’elle a été désignée au cours d’une assemblée pour présider provisoirement aux destinées de la coordination des associations et ONG féminines du Mali (Cafo). Pour elle, il s’agira donc de faire face aux différentes préoccupations des femmes tant sur le plan national qu’international. D’autres questions ont été soulevées par la présidente par intérim de la coordination des associations et ONG féminines du Mali (Cafo), Keita Fatoumata Sissoko. Il s’agit surtout de la nomination de la présidente Traoré Oumou Touré comme ministre de la promotion de la femme de l’enfant et de la famille, le soutien des femmes de la Cafo à leur ministre pour réussir les missions que les plus hautes autorités lui ont confiées à travers, le premier ministre et le président de la République, l’appropriation de l’accord pour la paix et la réconciliation nationale et l’apaisement du climat social et le renforcement de la cohésion.
Les Différentes actions entreprises par la coordination des associations et ONG féminines du Mali (Cafo) ont été citées aussi par la présidente par intérim, Keita Fatoumata Sissoko. La conférence de presse a été aussi l’occasion pour les militantes de la Cafo de réaffirmer leur soutien à la présidente Oumou, nouvellement nommée ministre de la promotion de la femme de l’enfant de la famille.
D’autre part, les femmes de la CAFO considèrent qu’une démission de leur présidente son poste est une violation des textes de l’organisme. Car, les textes de la Cafo n’exigent nulle part une démission de la présidente de poste quand elle est appelée à d’autres fonctions. Ce qu’il y a lieu de souligner, avec la désignation de Kéita Fatoumata Sissoko comme présidente intérimaire de la coordination des associations et ONG féminines du Mali, les militantes semblent tourner la page et cela pour mieux faire face aux multiples préoccupations de la Cafo.
Baba Dembélé