Un certain nombre de groupes de défense des droits des femmes ont déposé une plainte contre le gouvernement du Mali devant le tribunal régional d’Ecowas pour essayer de forcer les autorités de Bamako à prendre des mesures contre les mutilations génitales féminines (MGF), selon les confères de radio France Internationale. L’initiative pourrait créer un précédent juridique et avoir des implications plus larges sur le continent.
Le dépôt légal, confirmé par RFI lundi, à la Cour de justice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Ecowas) à Abuja, au Nigéria, conteste l’incapacité du gouvernement malien à promulguer des lois ou une politique interdisant les MGF.
“Nous allons de l’avant avec cela pour voir si cela peut pousser le gouvernement actuel à agir”, a déclaré Grace Uwizeye de EqualityNow, une organisation internationale qui œuvre pour la protection des femmes et des filles.
«C’est notre dernier recours pour voir comment nous pouvons soutenir et protéger les femmes et les filles au Mali de cette pratique», a déclaré Uwizeye.
Obligations légales
Le Mali est partie aux instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme, tels que le Protocole à la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples relatif aux droits de la femme en Afrique (Protocole de Maputo), qui comprend spécifiquement des articles contre l’élimination des pratiques néfastes telles que les MGF.
Néanmoins, malgré la signature du Protocole de Maputo, ainsi que de la Convention des Nations-Unies sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDEF), les gouvernements successifs du Mali n’ont pas criminalisé cette pratique.
“Il y a eu de nombreux gouvernements en place au Mali. Donc, nous ne pouvons plus attendre”, a déclaré Uwizeye, consultant pour l’organisation non gouvernementale, faisant référence aux différents gouvernements au pouvoir avant la junte militaire actuelle qui n’ont pas non plus agi.
L’affaire, qui a été déposée le 29 mars 2021, pourrait créer un précédent juridique et établir la jurisprudence en Afrique de l’Ouest et sur le continent africain dans son ensemble, en utilisant un tribunal régional pour tenir un État responsable de ses obligations de protéger les femmes.
Une telle action en justice a déjà été engagée contre l’État malien en relation avec le mariage des enfants, mais utiliser des voies juridiques similaires pour arrêter les MGF serait une première, selon Uwizeye.
EqualityNow s’est associé à l’Institut pour les droits de l’homme et le développement en Afrique (IHRDA), l’Association malienne pour le suivi et l’orientation des pratiques traditionnelles et l’Association pour le progrès et la défense des droits des femmes dans le cadre de la contestation judiciaire.
Enseignements religieux
Les MGF restent une pratique courante au Mali et les autorités comptent sur la sensibilisation, mais cela ne suffit pas, a déclaré Uwizeye à RFI.
“Le plus grand défi vient des chefs religieux, qui continuent vraiment à croire que la pratique est une exigence religieuse, mais ce n’est pas le cas”, a-t-elle ajouté, décrivant combien de personnalités religieuses avaient effectivement dénoncé publiquement la pratique, et sont allées jusqu’à publier fatwas contre.
Pourtant, tous les enseignants spirituels n’ont pas pris position contre elle, et “un certain groupe de chefs religieux” continue d’avoir une influence sur le gouvernement, ce qui les rend réticents à interdire les MGF, selon Uwizeye.
Le gouvernement malien a précédemment envisagé d’interdire cette pratique, comme l’ont rapporté les médias locaux, bien qu’aucun changement de loi n’ait jamais été promulgué.
Environ 89% des femmes âgées de 15 à 49 ans sont excisées au Mali, selon une enquête démographique et sanitaire de 2018, réalisée par l’agence nationale des statistiques du Mali, avec un financement de l’Agence américaine pour le développement international.
Près des trois quarts des filles âgées de 0 à 14 ans sont excisées et la grande majorité des filles sont excisées avant l’âge de 5 ans, selon l’enquête.
Une majorité d’hommes et de femmes pensent que la pratique est exigée par la religion, mais plus une personne est éduquée, moins elle est susceptible de penser qu’elle devrait continuer.
Rassemblées par Fabrice Abdoul
Source : La PLume
Vive le Mali et la culture africaine
Dames esclaves des Blancs, dont vous cherchez et avez avalé l’argent, sachez que les vœux de ces Blancs ne se réaliseront pas chez nous.
Si les Blancs nous aimaient sincèrement, ils nous auraient laissés tranquilles dans notre culture, qui remonte jusqu’à l’époque pré-pharaonique.
Si elle était négative, notre race serait éteinte depuis belle lurette.
Par contre, nous n’ignorons pas que c’est la culture de vos maîtres, ces Blancs esclavagistes, colonialistes et néocolonialistes qui est dévastatrice car, il y a plus d’enfants en situation monoparentale chez eux que chez nous, à cause du célibat ou pire, du divorce.
Ce que craignent les Blancs arrivera inévitablement : nous les surpasserons de nouveau, comme au temps de Sésostris lll, d’Aménophis lll et de Ramsès ll ; ce, grâce à notre excision-là.
C’est également grâce à celle-ci que nous avons des familles unies, pas comme chez eux où la plupart des enfants d’une même mère sont de différents pères.
Les femmes qui se soustrairont à cette coutume ancestrale seront des nymphomanes jamais satisfaites, bientôt divorcées, tôt ou tard : l’avenir s’occupera d’elles, renégates que vous êtes !
Contentez-vous de manger l’argent des Blanc, sans oublier de m’envoyer ma part.
Toute erreur du gouvernement malien de légiférer contre notre culture suscitera notre révolte disproportionnée.
Est-ce que les gouvernements de vos maîtres, les arrogants Blancs machiavéliques font cela aussi : légiférer contre leurs propres valeurs ?
L’ignorance et la bêtise dans leurs splendeur !
Monsieur,
si vous, vous n’avez pas honte d’écrire de telle idiotie, moi j’ai honte pour vous.
Constater que l’un de mes compatriotes pensent comme cela encore en 2021 me rend triste et honteux.
J’espere pour vous que vous écrivez ces imbécilités par provocation et non par conviction.
Si réellement vous pensez ce que vous écrivez, alors, vous pouvez aller vous jeter dans le fleuve Niger parce que vous êtes la honte du Mali.
FA KAYA !
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Si les Blancs nous aimaient sincèrement, ils nous auraient laissés tranquilles dans notre culture, qui remonte jusqu’à l’époque pré-pharaonique.
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Ce que craignent les Blancs arrivera inévitablement : nous les surpasserons de nouveau, comme au temps de Sésostris lll, d’Aménophis lll et de Ramsès ll ; ce, grâce à notre excision-là.
C’est également grâce à celle-ci que nous avons des familles unies, pas comme chez eux où la plupart des enfants d’une même mère sont de différents pères.
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Contentez-vous de manger l’argent des Blanc, sans oublier de m’envoyer ma part.
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Par contre, nous n’ignorons pas que c’est la culture de vos maîtres, ces Blancs esclavagistes, colonialistes et néocolonialistes qui est dévastatrice car, il y a plus d’enfants en situation monoparentale chez eux que chez nous, à cause du célibat ou pire, du divorce.
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Est-ce que les gouvernements de vos maîtres, les arrogants Blancs machiavéliques font cela aussi : légiférer contre leurs propres valeurs ?
PAUVRE IDIOT
𝕀𝓓𝕀⊗ℂℂ𝕀𝓓€ℕŦ𝔄𝕌X
Bravo mes soeurs nous sommes avec vous, il faut arreter des pratiques barbares et barbariques qui n’ont absolument rien a voir avec la religion musulmane, une pratique pharaonique traditionnelle que le Mali perpetue encore, quelle sauvagerie et quel manque de lumiere. Il faut en finir avec la domination de l’homme sur la femme dans une societe Malienne patriarchale dans laquelle les hommes y incluent nos leaders religieux oublient toujours que c’est une femme qui les a mis sur terre, qui les nourri et elever! Dommage qu’ils ne savent meme pas respecter leurs mamans!
Ce sont les mamans même qui font ces pratiques chez nous sinon les hommes ont autres choses à faire et c’est pas à nous de décider de sa continuité ou non. Pourquoi tu ne vas pas essayer de sensibiliser les femmes sur la pratique? Et puis si cette pratique était aussi nocive qu’on veut nous le faire croire, la race noire serait éteinte il y a très longtemps de cela.
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