Dans une des parutions de la presse, en date du mercredi 10 Novembre 2021, un article intitulé : “Révélation sur la vente illégale de l’or vénézuélien par le gouvernement de Nicolás Maduro: L’homme d’affaires malien, Alou Boubacar Diallo encore épinglé”. Le journal veut faire le lien entre Aliou Boubacar Diallo et cette sordide affaire d’or vénézuélien.
Le site d’informations capital.fr a mis en ligne le 05 Mars 2021 ce même article. L’Expresse de Bamako qui a fait paraître cet article le mercredi 10 Novembre 2021 et qui est repris par d’autres gazettes de la place, s’est donné le luxe d’ajouter le nom d’Aliou Boubacar Diallo pour l’associer à cette affaire dans laquelle il n’a rien à voir.
Aliou Diallo n’était ni président du Mali, ni Directeur de l’aéroport Bamako-Senou à l’époque des faits, comme cela apparaît dans le journal. Nous sommes étonnés et indignés de voir quelques esprits malveillants vouloir à tout prix associer le nom de Aliou Boubacar Diallo à la rocambolesque affaire de vente d’or.
Ces articles n’ont d’autres desseins que de salir l’image de Aliou Boubacar Diallo, seul homme politique qui n’a jamais été impliqué dans les détournements de deniers publics Malien.
Justement ce qui intéresse les Maliens aujourd’hui c’est la lutte contre la corruption, la lutte contre ceux qui ont pillé les maigres ressources du Mali qui auraient pu servir à construire des écoles, des centres santé, des routes et à donner de l’eau et de l’électricité aux Maliens.
Nous savons aujourd’hui que le seul homme politique qui fait des forages, des centres de santés sur fonds propre, c’est Aliou Boubacar Diallo.
Aliou Diallo demeure serein avec la conscience tranquille d’un homme qui a travaillé et continue à travailler pour son pays. Il demande aux militants et sympathisants de l’ADP-Maliba et aux nombreux Maliens qui soutiennent au quotidien ses actions, de rester mobilisés et de continuer le travail de terrain, afin de mieux partager avec les Maliens sa vision d’un Mali de paix et de prospérité.
Aliou Boubacar Diallo se réserve le droit de poursuivre en justice les auteurs de cette diffamation pour atteinte à l’honneur.
L’équipe de communication