” Beaucoup de ceux qui marchent sont des djihadistes et c’est le Mali qui sera complètement occupé par les djihadistes.” Ces propos de Moussa Timbiné, président de l’Assemblée nationale a suscité l’indignation et la colère de l’opposant Oumar Mariko, fondateur du parti SADI, qui à travers Ouverture Média n’a pas hésité à demander des explications au puissant jeune président de l’Assemblée nationale concernant le rôle qu’il a joué dans la mise en place des milices au centre du Mali et son implication dans l’assassinat des étudiants au campus de Badalabougou.
Selon Mariko, « Il faut qu’il fasse attention de dire certains mots dont il ne mesure pas la portée. Bien avant lui, au moment où nous défendons les intérêts supérieurs de la nation, ses aînés, à savoir Alpha Oumar Konaré en passant par son mentor IBK, nous ont traité de tous les noms en faisant croire aux yeux du monde qu’on est avec les intégristes. Les premiers terroristes du pays ce sont nos dirigeants qui ont piétiné nos droits. »
A l’en croire les personnes qui critiquent Dicko sont les mêmes qui sont partis demandés sa bénédiction ainsi que celle des associations et regroupements islamiques « ceux qui le critiquent ne peuvent me prouver aucune revendication religieuse faite par l’imam Mahmoud Dicko. » A précisé le patron de SADI
A propos de la crise sécuritaire au centre du pays le président du SADI a souhaité avoir des explications de la part de l’honorable Timbiné concernant sa proximité avec les groupes armés qui opèrent au centre du Mali. « Pour nous distraire et nous détourner de l’essentiel, ils ont financé et armé des gens pour s’entre tuer. Ce que je demande à Timbiné, qu’il me dise quel rôle il a joué dans la prolifération des milices au pays Dogon. Quel a été son apport comme soutien aux groupes d’auto-défense des communautés dogons. Je souhaite qu’il me dise quelles actions il a entrepris pour la stabilité dans cette zone contrôlée par ces hommes armées qui terrorisent à longueur des journées les populations. Aussi je veux qu’il me regarde en face et me prouve qu’il n’a rien à voir dans l’assassinat des étudiants au campus. »
‘’Nous avons fait le coup d’Etat avec la junte de Sanogo en 2012″
« Le premier crime imprescriptible est la violation des droits des personnes. Qui de Alpha Omar Konaré, de ATT ou du président Keïta n’a pas violé la Constitution malienne. Donc Il ne faut pas faire allusion à cette fameuse partie de la Constitution qui rend un coup d’état imprescriptible. Alors si les premières personnes qui sont censées la respecter font le contraire, c’est la boîte à pandore qui s’ouvre. J’ai reconnu que nous avons fait le coup d’état avec la junte de Sanogo en 2012 et je ne l’ai jamais caché » A laissé entendre Dr Mariko
Ben Chérif
Mr.jusque la vous ne ne comprennez rien ,il sagit pas du gauche ou de droite ni de la haut ou de bas mais il sagit du Mali tout court tu crois que ce mouvement du 19/ 06 est de sens ni gauche ni droite mais pour sauver le Mali
Mariko ne sera jamais satisfait un égoïste pur sang le Mali avancera toujours il sera éternellement à l’écart.Apres les djihadiste il est le 2eme ennemi du Mali
Equal a lui même . Le seul qui n’a pas changé . Ton tour est arrivé Barou . Tu merites bien Koulouba .
L’enfant de Kolondiè . Le fils de Karamoko Mariko et Mah Doumbia . Si le Mali avait deux comme toi les choses allaient bien changer
HA HA HA HÔ HÔ HÔ HE LE MALI ALLAHOU AKBAR NOTRE BEAU PAYS EST MORT WALAYE BILAYE
Qu’est ce qui arrive a mariko jadis un homme de gauche. Aujourd’hui, il fait union avec des religieux conservateurs et de la droite malienne. Quelle tristesse
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