Le courant ne passe plus entre Sitan Sanogo native de N’tomikorobougou et les populations de la localité. Et pour motif, les habitants l’accusent de s’adonner aux affaires de drogues ou de blanchiment d’argent comme l’indiquent certaines rumeurs et allégations. Pour en savoir davantage sur les raisons de cette mésentente nous l’avons rencontrée en début de semaine, à son domicile.
Pour elle, la liberté de culte est un est droit reconnu à tous sans distinction et privilège d’une confession. A l’en croire, elle est prête à collaborer avec toute la population pour le développement du quartier. « Je veux faire mes activités en me référant à la loi tout en demandant la bénédiction et l’avale de toute la population de N’tomikorobougou », a-t-elle affirmé. Tout en ajoutant « Jamais je ne m’impliquerai dans les affaires de guinns ou de drogues comme l’indiquent les rumeurs »
Malheureusement notre entretien a été interrompu par les éléments du commissariat de polices du 2ème arrondissement pour qu’elle se présente immédiatement audit commissariat pour une affaire la concernant.
ATD