Alors que les forces armées du Mali ont commencé la reconquête des régions du nord du Mali, le sud du pays était en phase devenir le second front pour les autorités, car les fils du pays favorable au coup d’Etat voulaient semer la zizanie au sud. Ce qui a poussé le président Dioncounda Traoré, a instauré par décret, l’Etat d’urgence pour dix jours, qui vient d’être proroger pour trois mois.
Pendant ce temps, les combats continuent d’opposer les troupes maliennes appuyées par les forces françaises aux bandits armés qui occupent le nord du Mali. Les forces armées récupèrent les villes des régions une à une, et nous ne pouvons que tirer chapeau à ses derniers. Voyant la progression très rapide de l’armée malienne au front, des pays arabes exigent la cessation immédiate des combats et de passer à la table de négociation. Du n’importe quoi ! Mais comme le peuple malien est décidé cette fois-ci pour en finir avec les islamistes et les terroristes, l’armée continue sur sa lancée et tant pis pour les jaloux. Au même moment, nous demandons à nos forces de sécurité de bien sécurisé la ville, car beaucoup sont en train de confondre état d’urgence et couvre-feu. Non messieurs les agents de sécurité, le pays est en alerte maximale et vous devez donc doubler de vigilance car les billets de 500F et 1000F CFA, qui vous aveuglent peuvent faire que vous laissez passer nos ennemis pour qu’ils viennent commettre des actes ignobles et horribles. Alors de grâce, siffler la fin du racket pour le moment, car le pays va mal et l’ennemi en face de nous se déplace comme une feuille morte. Notre ennemi cette fois-ci n’a pas de visage, il est comparable à un caméléon, car il change de position et de visage. Nous vous demandons donc d’être sur vos gardes, maintenant si vous trouvez que ce que nous disions n’est du bluff, sachez que vous serez les premiers visés par ses derniers, alors réfléchissez bien avant de laissez-passer des passagers suspects dans les camions de transport à cause des pauvres billets de banque sales. Nous tirons aussi l’attention de nos sœurs déplacés de guerre, qu’être déplacé n’est pas une fatalité vue la réalité sur le terrain, de grâce arrêtez de grossir le rang des prostitués qui pullulent déjà Bamako. La dignité humaine surtout de la fille avant tout.
Le Fouineur
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mbeɗa min mbelti ko mali e france keɓi doole dow bonɓe yarooɓe diine tawa ɓe ngona diiniyankooɓe yo ALLA fawmen e dow maɓɓe haa ɓe njalta leydi men leydi men wonta ngootiri haala ngoota golle goote.
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